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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 416

  • Des guérilleros mapuches attaquent une chapelle catholique au Chili et y mettent le feu

    Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2023

    Chili – La chapelle Nuestra Señora de los Rayos a subi l’attaque d’hommes armés qui y ont mis le feu.

    Magdalena Lira, directrice nationale au Chili de l’Aide à l’Église en Détresse (AED), a raconté : « Les voisins étaient consternés de voir comment, en quelques instants, l’endroit était réduit en cendres. Leur douleur est grande et ils ne comprennent pas la raison de cette attaque.”

    Plusieurs médias chiliens locaux ont également signalé que les assaillants avaient laissé des pamphlets éparpillés revendiquant l’attaque au nom de la Resistencia Mapuche Malleco, un groupe de guérilleros censé défendre les droits du peuple indigène mapuche, et qui a déjà commis plusieurs attentats.

    « Les flammes ont consommé la chapelle catholique en quelques minutes, laissant la communauté, elle-même majoritairement composée de familles mapuche, sans lieu de culte. La petite chapelle a été construite par les mêmes habitants en 1952, d’où la douleur qu’ils ont exprimée en voyant tout brûler et réduit en cendres. La police n’a trouvé que des restes du toit en métal et quelques poutres qui ont résisté au feu. », poursuit Lira. “Comme un petit miracle, une petite statue en plâtre d’une Vierge qui était restée longtemps dans une grotte voisine a été sauvée.”

    Malheureusement, cette attaque n’est pas un cas isolé. Ce n’est qu’une des nombreuses attaques qui ont été menées depuis plusieurs années contre des églises et chapelles dans le pays.

    “Beaucoup de ces attaques ont eu lieu en octobre 2019, à la suite de la soi-disant épidémie sociale qui s’est produite au Chili, mais avant cela, il y a eu plusieurs attaques dans la région de La Araucanía liées à des groupes subversifs qui prétendent défendre la cause mapuche. Ce sont des groupes minoritaires violents, qui ne représentent pas la majorité du peuple mapuche », explique le directeur d’ACN Chili.

    « Pour certains de ces petits groupes, qui utilisent la violence comme moyen de réclamer la restitution des terres, le christianisme est un symbole de la colonisation, ce qu’il n’est pas. Diverses études montrent que la grande majorité du peuple mapuche est et se sent catholique. Ils ont le droit de voir leur foi respectée, afin que leur liberté religieuse ne soit pas violée. De nombreuses chapelles ont été construites avec beaucoup d’efforts par toute la communauté, comme la chapelle qui vient d’être incendiée. Pouvez-vous imaginer la douleur et l’impuissance de la communauté à voir comment le feu a consumé quelque chose qu’ils ont construit et entretenu avec tant de soin ? Le temple, ce n’est pas seulement les murs, le temple garde la mémoire de toute une communauté qui a développé sa vie de foi autour de lui », ajoute-t-il.

    Le père Juan Andrés Basly Erices, administrateur diocésain de l’évêché de Temuco, a partagé une déclaration dans laquelle il a exprimé sa tristesse pour ce qui s’est passé.

    « En tant que Peuple de Dieu, nous continuons à prier pour notre peuple et ses communautés et nous appelons saint Joseph, saint patron du diocèse, pour sa protection pour tous. En ce temps de Carême, nous vous invitons à vivre la conversion et à transformer nos cœurs”, a-t-il conclu avec son message.

     

    Source : medias-presse.info

  • ALERTE : spectacle idéologie du genre à Nantes

    Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2023

    ALERTE : spectacle idéologie du genre à Nantes

     

    AUX PARENTS QUI AIMENT LEURS ENFANTS

    Au moins 35 classes nantaises – y compris des établissements privés- sont conviées au spectacle musical « Fille ou garçon » les 6 et 7 avril à Nantes.
    Spectacle de Marion ROUXIN et Eric DORIA, organisé par l’association nantaise La Bouche d’Air, Il est destiné à « tout public à partir de 5 ans ».

    Cette représentation s’inspire en fait d’un livre disque de 11 portraits chantés par Madame ROUXIN qui posent « la question des différences entre les sexes et l’influence du monde adulte sur les enfants ».

    L’histoire trace l’itinéraire de Camille, « une fille dans un corps de garçon », en abordant « le thème de l’homoparentalité ou en s’interrogeant sur leur identité », et vise à « remettre en cause les stéréotypes », peut-on lire sur le site de l’ouvrage. Il s’agit en fait d’une propagande grossière des théories subversives et déconstructrices de la famille naturelle et traditionnelle dont la philosophe américaine Judith BUTLER, féministe radicale, fut la théoricienne dans les années 1980.

    Parents qui aimez vos enfants, faites connaître votre désaccord aux enseignants, refusez d’inscrire vos enfants à cette sortie, alertez les autres parents d’élèves et la paroisse dont dépend votre école ! Dites NON au prétendu droit de l’école de disposer de vos enfants par cette intrusion idéologique intolérable et cette caution donnée à des plaidoyers militants, au détriment du bien de l’enfant.

    civitas-institut.com
    civitas.loire.atlantique@gmail.com

     

    Source : lesalonbeige

  • Raciste

    Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2023

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  • Bordeaux : l’église du Sacré-Cœur taguée, un feu allumé sur le parvis

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Une dizaine de tags ont été inscrits dimanche soir sur l’église du Sacré-Cœur à Bordeaux. Un feu a même été allumé sur son parvis. L’un des tags affirme explicitement que l’église dérange dans le quartier bordelais de la gare Saint-Jean. En plus de ces tags, un feu de détritus avait été allumé devant la porte de l’église du Sacré-Cœur de Bordeaux, dimanche soir.

    «Lucifer à raison», «Diable, emmène-moi avec toi», «Thank you Satan». Les tags se détachent en lettres rouges sur les murs de l’église du Sacré-Cœur à Bordeaux, dégradés avec un marqueur ou peut-être même un rouge à lèvres. Au-dessus de la référence à la chanson de Léo Ferré surmontée d’un A cerclé, signe de reconnaissance des anarchistes, on peut encore lire : «Brûle tout gratos». Une déclaration suivie d’une intention : les auteurs de ces dégradations ont également allumé un feu de détritus sous le porche de l’édifice religieux. Les flammes, rapidement éteintes par les pompiers, n’ont pas eu le temps de l’endommager.

    Les auteurs de ces détériorations ont également profané son intérieur. «Tout s’effrite, mais on doit ébruiter» et «n*** ta mère» ont été rédigés d’une écriture ronde sur une porte en bois, tandis que la façade présente une autre dégradation visant directement le quartier de la gare Saint-Jean. «Les voisins détestent l’Église», avance ainsi une inscription sur cette paroisse située à 92 mètres du centre Jean-Paul II. Le diocèse de Bordeaux, qui a porté plainte contre X, «partage l’émotion des fidèles catholiques et des habitants choqués par ses actes».

    Une enquête a été ouverte par la Direction départementale de la sécurité publique qui soupçonne des débordements liés à la consommation d’alcool. Les caméras de surveillance doivent être exploitées et des voisins interrogés.

    La municipalité de Bordeaux a réagi à ces profanations indiquant dans un communiqué que «Pierre Hurmic s’émeut des actes de vandalisme et de dégradation perpétrés cette nuit sur l’église du Sacré-Cœur». Le maire de Bordeaux a dépêché Laurent Guillemin, son adjoint aux cultes, «auprès du père Benoît Davos afin de lui apporter le soutien de la Ville». Quelques heures plus tôt, le préfet de la Gironde, Étienne Guyot dénonçait sur Twitter «des tags haineux et des actes intolérables».

    Le Figaro via fdesouche

  • Boissy-le-Châtel (77) : pour échapper à un contrôle, il compose le « 17 » et invente un enlèvement en cours ; un migrant clandestin interpellé

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Les enquêteurs ont mené des investigations et se sont rendus compte que cette affaire d’enlèvement avait été inventée. Ils ont retrouvé l’homme à l’origine de l’appel qui a été condamné à quatre mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros.

    Une fausse alerte pour tenter d’échapper à un contrôle de police qui se termine par une condamnation. Le 28 février dernier, un homme a composé le 17 pour alerter la police, affirmant qu’il assistait en direct à un enlèvement à Boissy-le-Châtel (Seine-et-Marne) raconte Le Parisien. Selon le requérant, quatre hommes armés de fusils et de battes de base-ball ont arrêté de force un automobiliste avant de l’obliger à monter dans une Peugeot 207 et de s’enfuir.

    Lorsque les policiers sont arrivés sur place, ils ont découvert que le témoin avait disparu et que la zone était déserte. Les techniciens de l’identité judiciaire de la police judiciaire de Meaux sont alors intervenus pour essayer de trouver des indices sur les lieux, mais n’ont rien découvert.

    Le lendemain, les enquêteurs ont repris leurs investigations, mobilisant de nombreux enquêteurs de la PJ de Meaux et de Coulommiers, ainsi qu’un substitut du procureur de Meaux. Ils ont envisagé toutes les hypothèses et ont examiné attentivement une Peugeot 207 qui pourrait correspondre à celle des ravisseurs. Ils ont également exploité le numéro de téléphone ayant contacté les secours.

    Finalement, les policiers ont réussi à contacter l’homme ayant donné l’alerte, qui a fini par leur avouer qu’il avait… tout inventé. Le trentenaire, qui est le patron d’un garage en Seine-Saint-Denis, a ensuite été convoqué par les enquêteurs de la PJ de Meaux. Il ne s’est pas présenté aux deux premiers rendez-vous mais s’est présenté au troisième, ce mercredi.

    En situation irrégulière, sans permis et sous l’empire de la drogue

    Le soir de son appel calomnieux, le gérant automobile était venu chercher une Renault Clio avec deux mécaniciens. L’un des employés a pris le volant, tandis que le second s’est installé à côté. Peu après, le convoi a été arrêté lors d’un contrôle de police. Le conducteur de la Clio était en situation irrégulière, sans permis et était positif aux stupéfiants. Pour tenter de détourner l’attention de la police, le trentenaire a décidé de composer le 17 et d’inventer un enlèvement. La procédure visant ce mécanicien sans-papiers ne s’est pas arrêtée.

    Le gérant a été condamné par le tribunal correctionnel de Meaux ce jeudi, dans le cadre d’une procédure de “plaider-coupable”, à une peine de quatre mois de prison avec sursis et à une amende de 1500 euros. L’article 434-21 du code pénal prévoit une peine de six mois d’emprisonnement et une amende de 7500 euros pour avoir dénoncé de manière mensongère des faits constitutifs d’un crime ou d’un délit qui ont exposé les autorités judiciaires à des recherches inutiles.

    Actu 17 via fdesouche