GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 415

  • Réunion du club Bilderberg à Lisbonne : dix représentants français présents, dont Gabriel Attal et Édouard Philippe

    Publié par Guy de Laferrière le 24 mai 2023

    Du 18 au 21 mai 2023, les réunions du club paramaçonnique et mondialiste Bilderberg se sont tenues à Lisbonne. Parmi les 129 participants, dix représentants français ont pris part à ce rendez-vous annuel privé.

    Le groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou club Bilderberg, est un rassemblement annuel et informel d’environ cent trente personnes, essentiellement des Américains et des Européens, composé en majorité de personnalités de la diplomatie, des affaires, de la politique et des médias.


    Voici une liste des dix représentants français qui ont participé aux réunions du club Bilderberg à Lisbonne :

    • Gabriel Attal : ministre délégué chargé des comptes publics, homme politique du parti Renaissance.
    • Patricia Barbizet : présidente de Témaris & associés, membre du comité directeur du club Bilderberg.
    • Valérie Baudson : directrice d’Amundi, financière.
    • Clément Beaune : ministre des Transports, haut fonctionnaire et homme politique du parti Renaissance.
    • Thomas Buberl : directeur d’AXA, banquier et assureur germano-franco-suisse.
    • Henri de Castries : ex-PDG d’AXA, président du comité directeur du club Bilderberg.
    • Bernard Émié : directeur de la DGSE, haut fonctionnaire.
    • Antoine Gosset-Grainville : inspecteur des finances issu de l’ÉNA, président du conseil d’administration d’AXA et du Fonds stratégique d’investissement.
    • Édouard Philippe : maire du Havre, fondateur et président du parti politique Horizons, ancien Premier ministre de la république française.
    • Patrick Pouyanné : PDG de TotalEnergie.

    Ces dix représentants français ont pris part aux discussions sur des sujets tels que l’intelligence artificielle, le système bancaire, la Chine, la transition énergétique, l’Europe, les défis fiscaux, l’Inde, la politique industrielle et commerciale, l’OTAN, la Russie, les menaces transnationales, l’Ukraine et l’hégémonie américaine.

    Le Bilderberg est un club paramaçonnique et mondialiste dont l’existence a longtemps été niée par les médias, qui accusaient de complotisme ceux qui dénonçaient ses réunions secrètes.

     

    Source

  • Bretagne : les coiffeurs en guerre contre les barber shops, ces salons de coiffure low-cost qui prolifèrent depuis quelques années et employent fréquemment des travailleurs clandestins

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    Des barber shops aux prix cassés, ouverts jusque tard la nuit et où les visages des employés changent régulièrement : c’est la cible de la convention signée lundi 22 mai 2023 entre la Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (Dreets) et des représentants de l’Union nationale des entreprises de coiffure (Unec) à Cesson-Sévigné.

    Les griefs reprochés à ces salons low-cost sont nombreux, à commencer par le statut des gérants et des employés. Alors qu’un Brevet professionnel (BP) est exigé par la loi pour pouvoir s’installer, il y a une prolifération, depuis une quinzaine d’années, des coiffeurs/barbiers qui s’installent sans diplôme, avec des prix de plus en plus bas », indique Jean-Yves Scotto di Cesare et Fabrice Jégo, membres de l’Unec.

    Ouest France

    « La loi prévoit pourtant qu’aux heures d’ouverture, il faut une personne titulaire du brevet professionnel », ajoute Fabrice Jego, coiffeur à Plouay (56) et membre de l’Unec. Nous manipulons des produits dangereux, des rasoirs, des coupe-coupe… On peut blesser des clients. » (…) il y a quelques mois, la police aux frontières a mis le doigt sur un important réseau de travail dissimulé. “Les personnes sans papiers étaient payées 600 euros par mois en liquide”

    Le Télégramme

    Ce Ploubezrien n’est pas près d’oublier son rendez-vous chez le coiffeur, à Lannion (22), ce jeudi. « Mon salon habituel était fermé, j’ai décidé d’en essayer un nouveau, au centre-ville ». Confiant, le client est pris en charge par un jeune coiffeur « qui ne parlait pas un mot de français », précise-t-il. Shampoing, coupe, rafraîchissement, tout se passe normalement jusqu’au moment où le professionnel lui passe une grande quantité de gel dans les cheveux. « Il m’a dit quelque chose, m’a aspergé avec un produit et a sorti son briquet. Puis il a mis le feu ».

    Le Télégramme

    Jean-Baptiste a porté plainte en sortant de l’hôpital. Certificat médical à l’appui avec 7 jours d’interruption temporaire de travail. L’enquête des policiers de Lannion a permis de mettre en lumière des manquements graves. « Le patron du salon était mécanicien, mais en aucun cas titulaire d’un brevet de coiffure », pointait en 2020 le commandant du commissariat de Lannion.

    Le Trégor

  • Paris : le mendiant sort « une grenade » pour contraindre les clients d’un restaurant à lui faire l’aumône

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    « Si on est obligé d’en arriver là pour me donner de l’argent… » C’est ce qu’aurait dit un mendiant ce lundi soir dans un restaurant de Paris (XIXe) après avoir dégoupillé une grenade. L’arme était factice mais les clients n’en savaient rien. Le démuni a été interpellé moins d’une heure plus tard par un équipage du commissariat du XIXe.

    Le démuni se présente vers 23 heures dans ce restaurant. Il fait le tour des clients et leur demande des sous. « Personne ne le calculait, nous raconte ce mardi après-midi un témoin de la scène. Un des clients est venu le voir pour lui demander gentiment de partir ». L’homme sort une grenade, la manipule et la dégoupille avant de la remettre en place. Il soulève ensuite son tee-shirt en laissant apparaître la crosse d’une arme à feu au niveau de son pantalon. 

    Le Parisien via fdesouche

  • Bordeaux : armé d’une lame de 10 cm, un vendeur à la sauvette menace les clients d’un café ; 4 mois de prison ferme et une interdiction du territoire (ITF) de 3 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    L’homme n’a pas supporté que des clients attablés en terrasse d’un café du centre-ville de Bordeaux refusent de lui acheter une rallonge électrique. Il a brandi une lame de 10 centimètres avant de prendre la fuite. Il était jugé en comparution immédiate, ce 22 mai

    (…) « Ce jour-là, je n’étais pas dans mon état normal, assure le prévenu, qui vit à la rue. J’avais pris du diazépam [un anxiolytique, NDLR] et de la coke. Mais je n’ai pas sorti mon couteau et j’ai été insulté. »

    Le tribunal n’a pas cru sa version. Il a été condamné à quatre mois de prison ferme, une interdiction du territoire de trois ans et a été maintenu en détention. Douze mois ferme avaient été requis.

    Sud Ouest via fdesouche

  • L’ex-président de Greenpeace : « Le changement climatique, c’est pour effrayer les gens afin de les contrôler et faire de l’argent »

    Publié par Guy de Laferrière le 23 mai 2023

    La servitude volontaire par la peur

    « Tout ce que les dirigeants ont à faire, c’est de dire au peuple qu’ils ont quelque chose à craindre. Pointez du doigt la source de leur peur, et vous pourrez obtenir des humains qu’ils fassent tout ce que vous désirez. Vous pouvez les rendre obéissants. »
    Goering, Le Journal de Nuremberg, Gustave Gilbert, 1947

    Le marketing de la honte

    « Même dans les pays où le régime de confinement était le plus strict, comme en France, les autorités sanitaires insistaient sur la nécessité de passer un peu de temps à l’extérieur chaque jour. […] Cela permettra de créer des liens plus profonds et plus personnels au niveau individuel avec les éléments “macro” que nous avons évoqués plus tôt concernant la préservation de nos écosystèmes et la nécessité de produire et de consommer de manière respectueuse de l’environnement. »
    Covid-19 : la grande réinitialisation, Klaus Schwab, Thierry Malleret, 2020 Forum économique mondial

    La responsabilisation est la figure moderne de la honte. L’idée du marketing de la honte est de mettre en exergue un prétendu « problème ». Il s’agit  de créer des angoisses, des peurs et des hontes (et non plus un besoin) tout en lui apportant une solution. Le besoin naîtra de lui-même dans la tête du consommateur ! Les marques sont de plus en plus nombreuses à investir dans ce discours de la culpabilité. Elles incitent à se montrer responsable dans chaque acte de consommation courante.

    L’utilisation de la culpabilité se multiplie autant dans les campagnes de prévention (campagne 2014 de la sécurité routière « Trop vite, trop tard. On ne regrette de rouler trop vite que quand il est trop tard ») ou de santé publique (« Pour votre santé, évitez de manger trop gras, trop sucré, trop salé ») mais également pour des publicités de produits (« se faire plaisir sans mauvaise conscience » avec la Honda CR-Z Hybrid).

    Le marketing de l’écologie

    Un exemple : les bouteilles ne sont plus consignées. On  peut toujours taper « bouteilles consignées » sur Service-Public.fr : aucun résultat. Vous n’y êtes pour rien si elles ne sont pas reprises par les commerces, mais si vous les jetez, c’est votre faute. Ça met la planète en danger. En revanche, si vous tapez tri sélectif, vous avez l’embarras du choix. Le ministère de l’écologie vous explique tout en détail : « par exemple, le carton d’emballage de la boîte de biscuits doit être séparé de la barquette en plastique ou du film, avant d’être jeté dans le bac de collecte. »…Les déchets de verre sont à déposer en général au niveau de points d’apport volontaire qui leur sont spécifiques. » Vous remarquerez que les belles bouteilles soigneusement vidées par les amateurs de bon vin, sont déjà  qualifiées de « déchets ».

    Suivez l’argent…

    Si vous triez les bouteilles (c’est-à-dire si vous les cassez) dans une poubelle spéciale, c’est bien, vous êtes éco-responsable. Tout-à-fait accessoirement l’industrie du verre va prospérer. O-I FRANCE est le principal fabricant de bouteilles en Europe et domine le marché français. Son chiffre d’affaires de 2021 frôlait les 800 millions d’euros. Sa maison mère (actionnaires majoritaires : Fidelity et Vanguard) a réalisé un bénéfice de 6,4 milliards de dollars en 2021. Selon une enquête mondiale menée en 2014 par le groupe marketing Nielsen sur la Responsabilité sociale des entreprises, 52 % des consommateurs dans le monde seraient prêts à payer davantage pour des produits fabriqués par des entreprises engagées sur le plan environnemental et social. Actuellement, la facture d’énergie de la verrerie de Puy-Guillaume représente 20 % des coûts fixes. Est-ce bien éco-responsable ?

    Côté plastique, après avoir détruit les petits commerces où on pouvait faire ses courses avec un panier, le gouvernement favorable aux grandes surfaces se rachète une moralité en interdisant les concombres sous cellophane, les poires en barquette, les courgettes en sachet plastique. Tout le reste peut rester emballé (surtout dans les McDo Drive).

    On vous laisse sur le refrain qu’entonne la joyeuse bande du prince Charles, Bill Gates & Cie dans les sélects clubs Bilderberg et Davos.

     

    Source