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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 565

  • Terreur et racket sur le marché du Val-Fourré à Mantes-la-Jolie ; près de 2 millions d’euros détournés : 8 individus condamnés, dont l’ancien maire par intérim Sidi El Haimer (LR), proche de Pierre Bédier (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    16/01/23

    Le tribunal a rendu son jugement ce lundi 16 janvier 2023 dans l’affaire de racket au marché du Val Fourré de Mantes-la-Jolie (Yvelines).

    Ils niaient tous les faits et clamaient leur innocence… Et ils ont tous été déclarés coupables ! Les huit prévenus de l’affaire du marché du Val Fourré ont été condamnés, ce lundi 16 janvier 2023, par le tribunal correctionnel de Versailles. Ils avaient été jugés du 28 novembre au 1er décembre 2022, dans une vaste affaire de racket organisé sur des marchands ambulants. Près de 2 millions d’euros ont été détournés en dix ans, selon les investigations de la PJ de Versailles.

    Sidi El Haimer, ex-maire par intérim de Mantes-la-Jolie, mouillé dans ce dossier pour avoir fait pression sur des victimes afin qu’elles retirent leurs accusations, a écopé d’un an de prison avec sursis, assorti d’une peine de cinq ans d’inéligibilité, conformément aux réquisitions du parquet.

    (…)

    Les frères S. ont écopé des plus lourdes peines

    Les frères S. ont pris les plus lourdes peines. Faiz, ancien employé municipal accusé d’avoir terrorisé des commerçants pour leur soutirer de grosses sommes, absent au procès, a été condamné 5 ans de prison et 15 000 euros d’amende. Un mandat d’arrêt a été décerné à son encontre. Karim, ex-placier qui figurait parmi les racketteurs, a pris quatre ans de prison et 10 000 euros d’amende.

    (…) Actu.fr


    28/11/22

    Le procès d’un vaste racket présumé pour les places du marché du Val-Fourré, à Mantes-la-Jolie (Yvelines), s’ouvre ce lundi 28 novembre à Versailles. Huit hommes comparaissent, parmi lesquels un ancien élu.

    […]

    D’après l’accusation, le système mis en place à partir de 2013 reposait sur l’exigence de pourboires systématiques en échange d’un emplacement sur le marché du quartier populaire du Val-Fourré. Outre des pourboires « quotidiens » permettant de « doubler la redevance », le prix même d’une place a pu monter jusqu’à 12 000 euros. Le préjudice global est estimé à près de 2 millions d’euros.

    Les placiers, qui ont contesté les faits devant la juge d’instruction, comparaissent notamment pour extorsion, un délit passible de sept ans d’emprisonnement. Trois d’entre eux sont aussi jugés pour blanchiment, les enquêteurs ayant mis au jour des transferts d’argent à Dubaï, Madagascar et au Maroc.

    […]

    Les nombreux témoignages de commerçants, faisant « allusion à une mafia, à la terreur qui règne » ont été majoritairement recueillis sous couvert de l’anonymat « par crainte de représailles », selon l’ordonnance de renvoi, qui évoque un système basé sur « une omerta […] efficace ».

    Des camions de commerçants ont été incendiés au cours de l’enquête. […]

    De son côté, Sidi El Haimer, alors premier adjoint à la mairie, (fidèle de Pierre Bédier), est accusé d’avoir fait pression sur une commerçante ayant témoigné en lui envoyant des placiers pour l’amener à se rétracter.

    Celui qui fut ensuite maire par interim quelques mois en 2022, sera jugé pour « subornation de témoin » et risque jusqu’à trois ans d’emprisonnement.

    […]

    Ouest-France

  • Le gouvernement norvégien finance des recherches pour savoir si la peinture blanche est raciste

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    lesobservateurs

    14 janvier 2023 - Le projet de recherche, intitulé « Comment la Norvège a rendu le monde plus blanc (NorWhite) », organisé par l’université de Bergen, décrit la « blancheur » comme « l’une des principales préoccupations sociétales et politiques actuelles ».

    Le Conseil de la recherche de Norvège consacre plus de 1,2 million de dollars américains à un projet visant à découvrir comment le pays a contribué à la diffusion de la « blancheur » dans le monde, par le biais du colonialisme et de la peinture.

    « Au sein et au-delà du monde universitaire, des actions de révolte et de regret cherchent à faire face à notre passé racial. Dans les travaux fondamentaux des études sur la blancheur dans l’histoire de l’art et de l’architecture, la blancheur est comprise comme des structures culturelles et visuelles de privilège », ouvre le projet, principalement dirigé par le professeur associé Ingrid Halland. Son site web se targue d’avoir obtenu une subvention de 12 millions de couronnes de la part du gouvernement.

    Selon la page web du projet, l’objectif est d’aborder « un champ de bataille distinctement différent pour la politique de la blancheur dans l’art et l’architecture ».

    Les chercheurs poursuivent en affirmant que la blancheur présente deux aspects : le racisme systémique et sa « matérialisation » dans la société en tant qu’esthétique.

    « Deux prémisses fondamentales sous-tendent le projet : La blancheur n’est pas seulement une condition culturelle et sociétale liée à la couleur de la peau, aux privilèges et à l’exclusion systématique, mais elle se matérialise partout autour de nous. Deuxièmement, on ne peut comprendre cette matérialisation sans comprendre les conditions sociétales, technologiques et esthétiques de la couleur elle-même », peut-on lire dans le projet.

    « Bien que la Norvège ne soit pas une puissance coloniale conventionnelle, ce projet montrera comment le pays a joué un rôle de premier plan au niveau mondial dans l’établissement du blanc comme couleur supérieure », poursuit le mémoire, sans expliquer ce que pourrait être une « puissance coloniale non conventionnelle ».

    Le projet financé par l’État décrit ensuite comment les chimistes norvégiens ont révolutionné la peinture blanche en 1916, en développant une forme ayant une couverture et une opacité bien meilleures que celles utilisées auparavant. Ainsi, de nombreux bâtiments remarquables du pays ont été peints en blanc brillant.

    Mais les réalisations des scientifiques de la nation ne sont pas nécessairement positives pour Halland et les autres chercheurs.

    « En associant des méthodes historiques, critiques, esthétiques et artistiques à l’engagement et à la sensibilisation du public, NorWhite révèle une histoire complexe et difficile sur la façon dont une innovation norvégienne locale a eu des conséquences planétaires », poursuivent-ils.

    Ils poursuivent en énonçant un objectif clair : découvrir comment la Norvège « a rendu le monde plus blanc ».

    « L’objectif global de NorWhite est d’étudier de manière critique et visuelle les conditions culturelles et esthétiques préalables d’une partie complexe et inexplorée de l’histoire de la technologie et de l’innovation norvégiennes qui a – comme le prétend ce projet – rendu le monde plus blanc. »

    Le projet est notamment parrainé par Titania AS et Kronos Titan, les deux entreprises à qui l’on doit la production et la popularisation de ce blanc brillant qu’est le titane.

    Lire aussi : Une chaîne publique australienne demande : « Les échecs sont-ils racistes ? »

    source: https://www.anguillesousroche.com/culture-societe/le-gouvernement-norvegien-finance-des-recherches-pour-savoir-si-la-peinture-blanche-est-raciste/

  • Rima Abdul Malak, ministre de la culture, menace à demi-mot les patrons et présentateurs de C8 et CNews de ne pas reconduire leur autorisation de diffusion, notamment s’ils “ne respectent pas le pluralisme des opinions”

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    L’automne a été marqué par des débordements dans l’émission « Touche pas à mon poste ! », sur C8. Les réponses apportées par l’Arcom vous paraissent-elles adaptées, suffisamment rapides, et à la hauteur de l’émoi suscité ?

    Nous ne pouvons pas, d’un côté, reprocher à Cyril Hanouna de réclamer une justice expéditive pour le meurtre de Lola [une adolescente de 12 ans tuée à Paris, mi-octobre] et, de l’autre, faire appel à une forme de justice expéditive pour lui ! Nous sommes dans un Etat de droit, il faut respecter le temps des procédures – je rappelle qu’il est arrivé que le Conseil d’Etat donne tort à l’Arcom.

    L’Autorité dispose d’un panel de moyens d’action et de sanctions prévu par la loi. Elle est intervenue une vingtaine de fois depuis 2019 à propos de C8 et de CNews. Il faut responsabiliser les présentateurs, les chroniqueurs, mais aussi les patrons de chaînes, pour leur rappeler que l’autorisation d’utilisation gratuite de leurs fréquences s’accompagne d’obligations, comme celle de traiter les affaires judiciaires avec mesure, celle de respecter le pluralisme des opinions, etc. Lorsqu’on arrivera, en 2025, au moment de l’analyse de leur bilan pour la reconduction de leurs autorisations de diffusion, l’Arcom saura regarder comment elles ont respecté ces obligations.

    Le Monde via fdesouche

  • Toulouse : un homme de 56 ans entre la vie et la mort après avoir été agressé en pleine rue pour une cigarette refusée, deux suspects de 16 et 30 ans interpellés, l’un avait le téléphone de la victime sur lui

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Un homme âgé de 56 ans se trouve dans le coma à l’hôpital après une violente agression à Toulouse (Haute-Garonne), survenue dimanche vers 06h30 raconte La Dépêche. Deux suspects âgés de 16 et 30 ans ont été interpellés et placés en garde à vue.

    La victime sortait d’une nuit festive lorsqu’elle a croisé le chemin de ses agresseurs au niveau de la place Robert-Schuman. Ces derniers lui ont réclamé une cigarette et le quinquagénaire aurait répondu qu’il n’en avait pas. Les deux hommes auraient aperçu un paquet qui dépassait de sa poche et l’ont agressé. Frappée, la victime s’est effondrée avant d’être dépouillée.

    (…) Les deux suspects ont été interpellés par les policiers à proximité du lieu des faits. L’un avait le téléphone de la victime sur lui. Le duo serait passé aux aveux durant ses auditions. Les enquêteurs du groupe d’appui judiciaire (GAJ) sont chargés de l’enquête.

    Actu 17 via fdesouche

  • Valence (26) : Fusillade à la kalachnikov, violences urbaines et installation de barricades dans deux quartiers de la ville ; une cinquantaine de CRS déployés pour maintenir l’ordre

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Ce samedi 14 janvier 2023 en fin de journée, un homme a été blessé par balles dans le quartier du Plan de Valence. Les pompiers ont été contactés pour intervenir. L’homme avait reçu plusieurs balles d’une arme de type kalashnikov. Finalement lorsque les secours sont arrivés, la victime avait déjà été transportée à l’hôpital de Valence dans un état grave. L’enquête a été confiée à la police judiciaire. Des impacts de balles ont été relevés sur les bâtiments à proximité.

    Après cet évènement, le quartier du Plan s’est quelque peu enflammé, il y a eu deux feux de poubelles et de voitures. Pratiquement dans le même temps, le quartier Fontbarlettes a été marqué par des violences urbaines. Des tirs ont été à nouveau signalés à la police. Des jeunes ont ensuite tenté d’installer des barricades. À 22 heures, les deux quartiers voisins étaient calmes.

    Déjà des tirs signalés dans la nuit de vendredi à samedi

    Dans la nuit de vendredi à samedi, des habitants du quartier de Fontbarlettes à Valence avaient déjà signalé de nombreux tirs d’armes à feu. Les auteurs n’avaient pas pu être identifiés. Aucune dégradation n’a été constatée.

    France Bleu

    Une personne a été gravement blessée samedi en fin de journée dans le quartier du Plan, à Valence. La victime aurait été la cible de tirs de kalachnikov. Des violences urbaines auraient suivi aussi dans le quartier voisin de Fontbarlettes. C’est au moins la 9ème fois depuis le 1er janvier que des coups de feu sont tirés dans ces deux secteurs.

    (…) France 3

    Une cinquantaine de CRS est déployée dans le quartier Fontbarlettes de Valence depuis ce samedi 14 janvier. Ce dimanche 15 janvier, le dispositif est maintenu. Le weekend a été marqué par de nouvelles violences urbaines. Il y a eu des feux de poubelles et de voitures dans les Hauts de Valence samedi soir. Lors de cette même soirée, dans le quartier Fontbarlettes lorsque les policiers sont arrivés des jeunes ont tenté d’installer des barricades. Par ailleurs, certains habitants assurent avoir entendu à plusieurs reprises des tirs dans la nuit de samedi à dimanche.

    (…) France Bleu