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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 566

  • Eric Ciotti tente de nous refourguer le « judéo-christianisme »…

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    La droite dure de la feuille…

    Lors de sa cérémonie des vœux 2023, le président des Républicains, qui dit avoir la Droite au cœur, a déclaré que « nous sommes les héritiers d’une civilisation judéo-chrétienne », ce qui est une absurdité sans nom.

    Que cette formule ridicule puisse être prononcée par le patron de la droite française en dit long sur l’état de décrépitude spirituelle de nos élites en général et, ce qui est plus inquiétant, des personnalités de droite en particulier.

    Comme nous le rappelions à Michel Onfray il y a trois ans, le judéo-christianisme n’existe pas.

    La civilisation judéo-chrétienne, bien qu’on entende souvent ce terme, n’existe pas.

    La civilisation chrétienne, la France chrétienne, chacun sait ce que c’est. C’est palpable. C’est notre patrimoine, c’est dans nos villages, c’est dans nos traditions, c’est dans notre littérature et dans notre histoire, c’est même dans les quelques jours fériés qu’on ne nous a pas encore enlevés.

    Mais la civilisation judéo-chrétienne ? Inconnue au bataillon ! Le judéo-christianisme n’existe pas. Il y a le judaïsme, oui. Il y a le christianisme, oui. Mais il n’y a jamais eu de fusion entre les deux, bien au contraire ! Il y a eu le Christ, et les juifs constitués en tant que peuple de religion juive l’ont fait mettre à mort. Les juifs et les païens qui, au début de l’aventure, ont suivi le Christ et ont participé à l’enseignement des nations, se sont dépouillés de leurs anciennes religions, dont le judaïsme, pour proclamer la nouvelle alliance, le christianisme. Ni à l’origine, ni plus tard, le judéo-christianisme n’a existé ! Si l’on veut s’amuser intellectuellement on peut éventuellement discuter de certains cas de pagano-christianisme, et ce serait l’origine de débats interminables, mais le judéo-christianisme est une pure invention, cela n’existe pas ! Un cas récent célèbre de juive convertie au christianisme est Véronique Lévy, la sœur de Bernard-Henri Lévy, hé bien elle a quitté le judaïsme pour devenir chrétienne, elle n’est pas devenue judéo-chrétienne !

    Nous invitons les personnalités qui veulent défendre notre héritage catholique à réviser leur catéchisme, cela leur évitera de dire des bêtises en croyant défendre notre civilisation, et pour qu’ils ne s’égarent pas dans les méandres du modernisme et du prêt-à-penser progressiste, nous les invitons également à se procurer de toute urgence les ouvrages de Monseigneur Lefebvre.

     

    Bruno Hirout secrétaire général du Parti de la France

  • Refus d’obtempérer à Grenoble : doigt arraché pour un policier percuté volontairement par le conducteur d’un scooter volé

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Les policiers ont essuyé un refus d’obtempérer de la part d’un homme sans casque sur un scooter volé. Il a percuté et grièvement blessé l’un des agents, avant de prendre la fuite.

    Un policier de la brigade spécialisée de terrain (BST) a été grièvement blessé à une main ce vendredi soir à Grenoble (Isère) lors d’une intervention, a-t-on appris, confirmant une information du Dauphiné.

    Les forces de l’ordre ont ordonné à un homme à scooter, sans casque, de s’arrêter pour un contrôle à l’angle de l’avenue des Jeux-Olympiques et de la rue de Kaunas. Le conducteur a d’abord ralenti, laissant penser qu’il allait s’arrêter, mais a redémarré soudainement, fonçant sur l’un des agents qui a été percuté. Le fonctionnaire a eu une phalange arrachée. Il a été conduit au CHU de Grenoble.

    Le suspect a abandonné son deux-roues peu après et a pris la fuite vers le quartier Teisseire où un autre homme l’a fait monter sur sa trottinette. Le duo a ensuite disparu. Le scooter, récupéré par la police, était signalé volé. Une enquête a été ouverte.

    Actu 17 via fdesouche

  • La Hongrie poursuit sa politique nataliste, la France fait le choix de l’immigration

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

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    La Hongrie poursuit sa politique nataliste, la France fait le choix de l’immigration

    Par Marie d’Armagnac, journaliste et auteur de Matteo Salvini, l’indiscipliné ♦ Alors que les dirigeants européens, Macron en tête, considèrent que l’immigration est une fatalité face au déclin démographique, des résistants tentent de montrer qu’une autre voie est possible. C’est le cas de Viktor Orbán. Nous partageons ici à nos lecteurs un excellent point de situation publié sur Boulevard Voltaire par Marie d’Armagnac.
    Polémia

    Viktor Orbán poursuit sa politique nataliste : depuis le 1er janvier 2023, les femmes de moins de trente ans décidant d’avoir ou d’adopter un enfant sont exonérées d’impôts. Objectif : doper la natalité et ne pas avoir recours à l’immigration pour assurer le renouvellement des générations. L’an dernier, c’étaient les jeunes de moins de 25 ans qui étaient exonérés d’impôts et, il y a trois ans, les mères de quatre enfants et plus.

    Ces mesures rejoignent le corpus législatif, déjà consistant, d’une politique nataliste volontariste. Florilège : congé parental, réduction d’impôts, allocations familiales, prêt à taux zéro de 33.000 euros pour une naissance dans les cinq ans, aide financière conséquente pour l’achat d’un véhicule sept places dès trois enfants.

    En 2021 a eu lieu à Budapest le quatrième sommet mondial de la démographie, c’est dire si le sujet est d’importance. La politique retrouve ici ses lettres de noblesse : voir et agir pour la prochaine génération plutôt que pour les prochaines élections. Viktor Orbán qui, comme ses alliés du groupe de Visegrád, ne s’embarrasse pas de circonlocutions politiquement correctes, explique que le choix est simple : la démographie repose soit sur une immigration massive – telle que nous la vivons en France – soit sur une politique tournée résolument vers les berceaux. « Les politiques libérales et conservatrices s’affrontent également – ​​et s’engagent même dans une lutte à mort – sur la question des migrations », avait-il dit (propos rapportés par le Visegrád Post).

    Cette politique nataliste porte-t-elle des fruits ? Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années : en 2010, la Hongrie comptait 1,25 enfant par femme ; en 2021, 1,6 enfant par femme. C’est encore trop peu, mais une politique nataliste s’évalue sur le long terme, à l’aune d’une génération. Actuellement, la crise économique due en partie à la gestion de la crise sanitaire mais aussi aux conséquences des sanctions appliquées à la Russie fragilisent cette entreprise.

    Mais plus largement, au-delà même de la survie et de l’avenir d’un pays, cette politique nataliste a le mérite de mettre au centre des décisions politiques au sens noble un enjeu essentiel : le renouvellement des générations. Les mesures favorables aux familles sont la pierre angulaire du maintien de l’identité d’un pays mais aussi de la survie de son système social. Nous l’évoquions récemment, le Danemark a choisi pour cela de réduire drastiquement l’immigration.

    Le lien avec la problématique des retraites, sujet crucial non seulement en France mais partout dans une Europe vieillissante, est évident, naturel. Et pourtant, il semble que le sujet tabou de cette réforme française des retraites soit bien l’incitation à la natalité : comme l’explique Jean-Thomas Lesueur, directeur de l’Institut Thomas More dans une tribune parue dans Le FigaroVox« le système par répartition est fondé sur une solidarité intergénérationnelle qui se conjugue au présent immédiat. Les cotisations d’aujourd’hui servent à payer les retraites d’aujourd’hui. Pour se maintenir à l’équilibre et ne pas devenir écrasant pour les travailleurs, il a besoin d’un nombre important de cotisants. Les chiffres sont connus et répétés à l’envi à chaque nouvelle réforme: alors qu’on comptait plus de 4 cotisants pour 1 retraité en 1960, il y en a 1,7 aujourd’hui. »

    L’adoption d’une vraie politique familiale en France est d’une urgence vitale. En faisant le choix de toujours plus d’immigration, anarchique, sans contrôle et au détriment de la survie physique, morale et spirituelle des Français, le gouvernement actuel comme ceux qui l’ont précédé porte une responsabilité historique. La France a fait depuis longtemps le choix d’une politique d’aide sociale, de chèques-minutes, au détriment d’une politique familiale. Cela procède évidemment d’une vision postmoderne de la société, composée désormais d’individus atomisés, de moins en moins réunis en corps social. Le report de l’âge de la retraite, actuel pont de cristallisation, n’est qu’une arme de distraction médiatique massive.

    La Hongrie nous montre une voie opposant immigration et natalité autochtone. Bien loin de la petite case médiatique « extrême-droite-xénophobe » dans laquelle il est si pratique de l’enfermer, la politique menée par Viktor Orbán montre la nécessité d’agir sur le temps long, face à l’Histoire, pour le bien commun de l’ensemble de la société.

    Marie d’Armagnac
    15/01/2023

    Source : Boulevard Voltaire

  • "Dis papa c'est quoi un écolo ?"

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Bien vu, bien dit Peyliac (sur tweeter) :

    "Dis papa c'est quoi un écolo ? C'est un gars qui t'explique que libérer du carbone dans l'atmosphère va tuer la planète, et donc qui t'oblige a rouler a vélo, t'empêche de bouffer du barbecue, et qui refuse de couper un sapin pour noël mais va le remplacer par ça, un truc de..."

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    À lafautearousseau, on préfère parler d' "escrosol" et de "khmaires verts"...

     

    Source : lafautearousseau

  • Tensions sociales : Darmanin prévient les ministres qu’ils risquent d’être agressés par la population en colère

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Auteur : 

    « Il faudra que vous limitiez vos déplacements pendant les périodes de tension, car les forces de l’ordre seront mobilisées pour répondre aux manifestations. Et aussi parce que des ministres risquent d’être agressés. » Tel est l’avertissement qu’a lancé Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, à ses collègues, lors de la réunion des ministres du 5 janvier traitant de la réforme des retraites.

    Le ministre de l’Intérieur, et il n’est pas le seul au sein du gouvernement, prévoit en effet une réaction violente d’une part de la population lorsqu’on sera entré dans la phase critique du débat sur la réforme des retraites qui viendra s’ajouter aux tensions sociales liées à la hausse des prix de l’énergie, à l’inflation, aux faillites de commerçants et petites entreprises et à l’appauvrissement de la majorité des Français. D’ores et déjà, le ministre de l’Intérieur constate que les syndicats ont totalement perdu la main sur leurs affiliés et ne seront par les interlocuteurs en mesure de calmer la situation.

    On sait que cette réforme des retraites devrait trouver une majorité parlementaire grâce à l’appoint d’Eric Ciotti et des députés LR qui suivront les directives de leur président. Mais le débat parlementaire promet d’être animé et ralenti par les dizaines de milliers d’amendements que comptent déposer les députés LFI.

     

    Source : medias-presse.info