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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 567

  • Refus d’obtempérer à Grenoble : doigt arraché pour un policier percuté volontairement par le conducteur d’un scooter volé

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Les policiers ont essuyé un refus d’obtempérer de la part d’un homme sans casque sur un scooter volé. Il a percuté et grièvement blessé l’un des agents, avant de prendre la fuite.

    Un policier de la brigade spécialisée de terrain (BST) a été grièvement blessé à une main ce vendredi soir à Grenoble (Isère) lors d’une intervention, a-t-on appris, confirmant une information du Dauphiné.

    Les forces de l’ordre ont ordonné à un homme à scooter, sans casque, de s’arrêter pour un contrôle à l’angle de l’avenue des Jeux-Olympiques et de la rue de Kaunas. Le conducteur a d’abord ralenti, laissant penser qu’il allait s’arrêter, mais a redémarré soudainement, fonçant sur l’un des agents qui a été percuté. Le fonctionnaire a eu une phalange arrachée. Il a été conduit au CHU de Grenoble.

    Le suspect a abandonné son deux-roues peu après et a pris la fuite vers le quartier Teisseire où un autre homme l’a fait monter sur sa trottinette. Le duo a ensuite disparu. Le scooter, récupéré par la police, était signalé volé. Une enquête a été ouverte.

    Actu 17 via fdesouche

  • La Hongrie poursuit sa politique nataliste, la France fait le choix de l’immigration

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    polemia

    La Hongrie poursuit sa politique nataliste, la France fait le choix de l’immigration

    Par Marie d’Armagnac, journaliste et auteur de Matteo Salvini, l’indiscipliné ♦ Alors que les dirigeants européens, Macron en tête, considèrent que l’immigration est une fatalité face au déclin démographique, des résistants tentent de montrer qu’une autre voie est possible. C’est le cas de Viktor Orbán. Nous partageons ici à nos lecteurs un excellent point de situation publié sur Boulevard Voltaire par Marie d’Armagnac.
    Polémia

    Viktor Orbán poursuit sa politique nataliste : depuis le 1er janvier 2023, les femmes de moins de trente ans décidant d’avoir ou d’adopter un enfant sont exonérées d’impôts. Objectif : doper la natalité et ne pas avoir recours à l’immigration pour assurer le renouvellement des générations. L’an dernier, c’étaient les jeunes de moins de 25 ans qui étaient exonérés d’impôts et, il y a trois ans, les mères de quatre enfants et plus.

    Ces mesures rejoignent le corpus législatif, déjà consistant, d’une politique nataliste volontariste. Florilège : congé parental, réduction d’impôts, allocations familiales, prêt à taux zéro de 33.000 euros pour une naissance dans les cinq ans, aide financière conséquente pour l’achat d’un véhicule sept places dès trois enfants.

    En 2021 a eu lieu à Budapest le quatrième sommet mondial de la démographie, c’est dire si le sujet est d’importance. La politique retrouve ici ses lettres de noblesse : voir et agir pour la prochaine génération plutôt que pour les prochaines élections. Viktor Orbán qui, comme ses alliés du groupe de Visegrád, ne s’embarrasse pas de circonlocutions politiquement correctes, explique que le choix est simple : la démographie repose soit sur une immigration massive – telle que nous la vivons en France – soit sur une politique tournée résolument vers les berceaux. « Les politiques libérales et conservatrices s’affrontent également – ​​et s’engagent même dans une lutte à mort – sur la question des migrations », avait-il dit (propos rapportés par le Visegrád Post).

    Cette politique nataliste porte-t-elle des fruits ? Un rapide coup d’œil sur les statistiques de la Banque mondiale montre que la Hongrie est l’un des rares pays au monde à avoir une courbe ascendante sur les dix dernières années : en 2010, la Hongrie comptait 1,25 enfant par femme ; en 2021, 1,6 enfant par femme. C’est encore trop peu, mais une politique nataliste s’évalue sur le long terme, à l’aune d’une génération. Actuellement, la crise économique due en partie à la gestion de la crise sanitaire mais aussi aux conséquences des sanctions appliquées à la Russie fragilisent cette entreprise.

    Mais plus largement, au-delà même de la survie et de l’avenir d’un pays, cette politique nataliste a le mérite de mettre au centre des décisions politiques au sens noble un enjeu essentiel : le renouvellement des générations. Les mesures favorables aux familles sont la pierre angulaire du maintien de l’identité d’un pays mais aussi de la survie de son système social. Nous l’évoquions récemment, le Danemark a choisi pour cela de réduire drastiquement l’immigration.

    Le lien avec la problématique des retraites, sujet crucial non seulement en France mais partout dans une Europe vieillissante, est évident, naturel. Et pourtant, il semble que le sujet tabou de cette réforme française des retraites soit bien l’incitation à la natalité : comme l’explique Jean-Thomas Lesueur, directeur de l’Institut Thomas More dans une tribune parue dans Le FigaroVox« le système par répartition est fondé sur une solidarité intergénérationnelle qui se conjugue au présent immédiat. Les cotisations d’aujourd’hui servent à payer les retraites d’aujourd’hui. Pour se maintenir à l’équilibre et ne pas devenir écrasant pour les travailleurs, il a besoin d’un nombre important de cotisants. Les chiffres sont connus et répétés à l’envi à chaque nouvelle réforme: alors qu’on comptait plus de 4 cotisants pour 1 retraité en 1960, il y en a 1,7 aujourd’hui. »

    L’adoption d’une vraie politique familiale en France est d’une urgence vitale. En faisant le choix de toujours plus d’immigration, anarchique, sans contrôle et au détriment de la survie physique, morale et spirituelle des Français, le gouvernement actuel comme ceux qui l’ont précédé porte une responsabilité historique. La France a fait depuis longtemps le choix d’une politique d’aide sociale, de chèques-minutes, au détriment d’une politique familiale. Cela procède évidemment d’une vision postmoderne de la société, composée désormais d’individus atomisés, de moins en moins réunis en corps social. Le report de l’âge de la retraite, actuel pont de cristallisation, n’est qu’une arme de distraction médiatique massive.

    La Hongrie nous montre une voie opposant immigration et natalité autochtone. Bien loin de la petite case médiatique « extrême-droite-xénophobe » dans laquelle il est si pratique de l’enfermer, la politique menée par Viktor Orbán montre la nécessité d’agir sur le temps long, face à l’Histoire, pour le bien commun de l’ensemble de la société.

    Marie d’Armagnac
    15/01/2023

    Source : Boulevard Voltaire

  • "Dis papa c'est quoi un écolo ?"

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Bien vu, bien dit Peyliac (sur tweeter) :

    "Dis papa c'est quoi un écolo ? C'est un gars qui t'explique que libérer du carbone dans l'atmosphère va tuer la planète, et donc qui t'oblige a rouler a vélo, t'empêche de bouffer du barbecue, et qui refuse de couper un sapin pour noël mais va le remplacer par ça, un truc de..."

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    À lafautearousseau, on préfère parler d' "escrosol" et de "khmaires verts"...

     

    Source : lafautearousseau

  • Tensions sociales : Darmanin prévient les ministres qu’ils risquent d’être agressés par la population en colère

    Publié par Guy de Laferrière le 16 janvier 2023

    Auteur : 

    « Il faudra que vous limitiez vos déplacements pendant les périodes de tension, car les forces de l’ordre seront mobilisées pour répondre aux manifestations. Et aussi parce que des ministres risquent d’être agressés. » Tel est l’avertissement qu’a lancé Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, à ses collègues, lors de la réunion des ministres du 5 janvier traitant de la réforme des retraites.

    Le ministre de l’Intérieur, et il n’est pas le seul au sein du gouvernement, prévoit en effet une réaction violente d’une part de la population lorsqu’on sera entré dans la phase critique du débat sur la réforme des retraites qui viendra s’ajouter aux tensions sociales liées à la hausse des prix de l’énergie, à l’inflation, aux faillites de commerçants et petites entreprises et à l’appauvrissement de la majorité des Français. D’ores et déjà, le ministre de l’Intérieur constate que les syndicats ont totalement perdu la main sur leurs affiliés et ne seront par les interlocuteurs en mesure de calmer la situation.

    On sait que cette réforme des retraites devrait trouver une majorité parlementaire grâce à l’appoint d’Eric Ciotti et des députés LR qui suivront les directives de leur président. Mais le débat parlementaire promet d’être animé et ralenti par les dizaines de milliers d’amendements que comptent déposer les députés LFI.

     

    Source : medias-presse.info

  • Sondage : près d’un Français sur deux ne se sent pas en sécurité dans les transports en commun

    Publié par Guy de Laferrière le 15 janvier 2023

    Près d’un Français sur deux éprouve un sentiment d’insécurité en montant dans un train ou un métro, selon un sondage CSA pour CNEWS* publié le 13 janvier. Rames bondées, retards quotidiens, couloirs non surveillés, agressions verbales et physiques courantes… Les usagers sont exténués. Si à l’échelle nationale, 46% des citoyens ne se sentent pas en sécurité dans les transports, le chiffre monte à 50% à Paris, où la qualité du service n’a eu de cesse de baisser ces dernières années.

    Toujours selon le sondage CSA, les femmes sont les plus sensibles à ces situations : 49% d’entre elles ne se sentent pas en sécurité contre 42% des hommes. Les jeunes quant à eux s’en sortent encore moins bien, 54% sont stressés à l’idée de prendre un métro, RER ou TER.

    Un chiffre relativement constant. Déjà en 2018, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, 45% des usagers des transports en commun ne se sentaient pas en sécurité. Les femmes étaient déjà les plus touchées avec 51% d’entre elles concernées contre seulement 38% pour les hommes.

    *Sondage réalisé par questionnaire auto-administré, du 12 au 13 janvier 2023, sur un panel de 1.007 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

    Le Figaro via fdesouche