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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 679

  • Le restaurateur Thierry Marx, favorable à l’immigration de travail, demande la «régularisation rapide» des travailleurs sans papiers en restauration et hôtellerie

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

    Alors que plusieurs mesures gouvernementales ont pour objectif de réduire les difficultés de recrutement rencontrées par certaines professions, le chef Thierry Marx défend une régularisation des travailleurs sans papiers en restauration et hôtellerie afin de faciliter des établissements déjà secoués par la pandémie. Il estime que les secteurs de la restauration et de l’hôtellerie doivent être ajoutés dans la liste des « métiers en tension ».

    Le gouvernement prépare un titre de séjour pour les « métiers en tension ». Qu’en pensez-vous ?

    Il faudrait déjà que notre secteur, la restauration, soit considéré comme en tension de recrutement ! Nous avons 200 000 postes non pourvus et étonnamment, ils ne figurent pas sur la liste permettant de recruter du personnel étranger. Même chose pour l’hôtellerie alors que nous manquons de bras en cuisine, réception, housekeeping… Or ces carences de personnels empêchent le développement de l’activité, voire son maintien à niveau. Même de belles enseignes peinent à trouver des candidats. Ce phénomène avait déjà émergé avant la pandémie . Mais depuis, il s’est accéléré. Notre société ne souhaite plus avoir un rapport sacrificiel au travail. Nous demandons donc à ce que cette liste des métiers en tension soit actualisée afin d’ouvrir les possibilités de recrutement, car nos besoins vont encore augmenter.  […]

    Êtes-vous favorable à la régularisation des travailleurs sans papiers, notamment dans votre secteur ?

    Nous demandons une régularisation rapide de nos salariés étrangers reconnus pour leurs compétences et qui se retrouvent plongés dans l’illégalité du jour au lendemain. L’Umih [Union des métiers de l’industrie et de l’hôtellerie] la réclame depuis longtemps. Ces travailleurs vivent en France depuis de nombreuses années, sont intégrés, ont un logement, un projet professionnel dans lequel ils s’épanouissent. Ils ne posent aucun problème. Et un jour, sans que l’on comprenne pourquoi, leur titre est suspendu. […]

    L’immigration de travail est-elle une nécessité ?

    Elle a toujours fait partie de nos métiers. Au XIXe et XXe siècles, elle provenait de l’intérieur : des habitants des campagnes venaient travailler dans les grandes villes. Puis elle s’est ouverte à l’extérieur, car la France reste attractive. Nous comptons 19 % de salariés d’origine étrangère. Un chiffre qui ne progresse pas depuis cinq ans et qui permet de compenser les départs, le turnover étant assez important. Ces collaborateurs intègrent nos métiers car ils vont pouvoir monter en compétence rapidement : en moins d’un an, un commis de cuisine peut passer responsable de partie. Si vous coupez l’immigration, des secteurs vont être fortement impactés, l’hôtellerie-restauration comme d’autres : BTP, réparation automobile… Ne plus y avoir accès nous poserait un problème. […]

    L’extrême droite dénonce un « appel d’air » migratoire et le fait que ces travailleurs prendraient le travail des Français. Que lui répondez-vous ?

    C’est une mauvaise polémique. En tant que Français, je n’ai jamais eu le sentiment d’être en concurrence avec un étranger. Ce nouveau titre ne vise pas du tout à créer une nouvelle filière d’immigration mais à régulariser ceux qui sont déjà intégrés sur notre territoire.

    Le JDD via fdesouche

  • Volodymyr Zelensky appuie sur le petit boutons rouge de la religion

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

     

    Le président ukrainien s’apprête à remettre en cause le statut de l’Église orthodoxe ukrainienne, dépendante du Patriarcat de Moscou, mais dont le siège est à Kiev.

    Lors de son allocution vidéo de jeudi soir, Volodymyr Zelensky a discrètement décoché vers la Russie un missile politique, de tout premier plan. En annonçant que Kiev s’apprête à limiter les activités sur son territoire des organisations religieuses liées à la Russie, le chef de l’État ukrainien évoque ni plus ni moins la fermeture de l’Église orthodoxe ukrainienne dépendante du patriarcat de Moscou.

    Depuis plusieurs années, le puissant bras armé religieux du Kremlin en Ukraine perd cependant du terrain face à son rival, le Patriarcat de Kiev, érigé en Église unifiée ukrainienne, reconnue par Constantinople. Ces derniers temps, les forces de l’ordre ont multiplié les perquisitions dans plusieurs églises affiliées à Moscou à travers le pays, notamment au monastère des Laures de Petchersk, le siège ecclésiastique du Patriarcat de Moscou à Kiev.

    Officiellement, il s’agit de rechercher des agents et des espions qui seraient hébergés dans les sanctuaires. Mais en réalité, c’est à la racine même de cette guerre coloniale entre la Russie et l’Ukraine que touche Volodymyr Zelensky. L’empire russe naissant avait transféré au XVIIe siècle le siège de l’Église orthodoxe de Kiev à Moscou, établissant quatre siècles de domination spirituelle, de la Russie sur l’Ukraine.

    Source RFI

  • En ce jour de la sainte Barbe, honneur à nos « gueules noires »

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

    Auteur : 


    Bonne fête de la Sainte Barbe, patronne notamment des pompiers, des artificiers et des mineurs avec une pensée particulière pour mon père et mon grand-père qui ont fait partie de ces gueules noires.

    Glück-auf !

    Cassandre Fristot, fille et petite-fille de mineur.

     

    Source : medias-presse.info

  • Autriche : les autorités sont confrontées à une importante vague migratoire. L’État se dit « dépassé »

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

    Auteur : 

    Pauvres envahisseurs appelés par les journalistes « réfugiés »

    En Autriche, les autorités font face à une forte hausse du nombre d’arrivées de demandeurs d’asile. Depuis janvier 2022, 96 000 demandes d’asile ont été enregistrées en Autriche. À ce chiffre, s’ajoute l’arrivée des réfugiés ukrainiens. Les centres d’hébergements sont surchargés et des zones d’attentes sont installées partout dans le pays.

    La vidéo de France24 :

     

     

    Si la gestion est incontrôlable, c’est par la faute du gouvernement autrichien que « ne garantit pas sur place un accueil digne à ces personnes« , pleurniche la journaliste de France 24, chaîne du service public français, chaine totalement immigrationniste.

    Quand à ceux qui voudraient voir dans cette invasion la continuation du grand remplacement, attention Big Brother veille…

     

    Source : medias-presse.info

  • La Russie «n’acceptera pas» le plafonnement du prix de son pétrole : déjà la Chine et l’Inde refusent de s’associer à cette mesure suicidaire

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

    Auteur : 

    Ursula Van der Layen, la folle de Chaillot, veut

    entraîner le monde dans un puits sans fond

    À trois jours de l’entrée en vigueur de l’embargo européen, les pays de l’UE, puis ceux du G7 ainsi que l’Australie se sont mis d’accord vendredi pour plafonner le prix du pétrole russe à 60 dollars le baril.

    À travers ce plafonnement, les pays occidentaux veulent porter un nouveau coup dur aux finances de Moscou en limitant ses moyens de poursuivre sa guerre contre l’Ukraine. Cela passera d’abord par l’entrée en vigueur lundi de l’embargo européen sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, lequel intervient plusieurs mois après celui déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

    Avec cet embargo, l’UE, cornaquée par l’hystérique Van der Layen, espère supprimer les deux tiers de ses achats de brut à la Russie. L’Allemagne et la Pologne ayant par ailleurs décidé d’arrêter leurs livraisons via un oléoduc d’ici à la fin de l’année, les importations russes totales seront touchées à plus de 90%, affirment les Européens, premiers clients de Moscou jusqu’à présent.

    La Russie a affirmé samedi 3 décembre qu’elle «n’acceptera pas» le plafonnement du prix de son pétrole après que l’Union européenne, le G7 et l’Australie se sont mis d’accord la veille sur un tel mécanisme qui pourrait limiter les moyens de Moscou pour financer son offensive en Ukraine.

    Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov a balayé cette nouvelle sanction en déclarant que Moscou s’était «préparé» en amont «pour un tel plafond», sans donner plus de détails.

    Un peu plus tôt ce samedi, la présidence ukrainienne a assuré que l’économie russe «sera détruite» par l’introduction prochaine du plafonnement du prix de son baril de pétrole à 60 dollars.

    «Nous atteignons toujours notre objectif et l’économie de la Russie sera détruite, et elle paiera et sera responsable de tous ses crimes», a indiqué sur Telegram le chef de cabinet de la présidence ukrainienne, Andriï Iermak, selon qui «il aurait toutefois fallu abaisser (le prix plafond) à 30 dollars pour la détruire plus rapidement».

    Selon l’agence de presse Reuters, la Chine et l’Inde n’ont pas pris part à l’initiative du G7. Sachant que la Russie, deuxième exportateur mondial de brut, avait prévenu qu’elle ne livrerait plus de pétrole aux pays qui adopteraient ce plafonnement.

    La Russie a tiré 67 milliards d’euros de ses ventes de pétrole à l’UE depuis le début de la guerre en Ukraine, tandis que son budget militaire annuel s’élève à environ 60 milliards, rappelle Phuc-Vinh Nguyen, un expert des questions énergétiques à l’Institut Jacques-Delors.

     

    Source : medias-presse.info