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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 678

  • En 2022, les Français n’ont jamais autant payé d’impôts depuis 30 ans

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

     

    Les Français, ménages comme entreprises, ont payé plus d’impôts qu’ils ne l’ont jamais fait depuis 30 ans. Les prélèvements obligatoires en 2022 ont atteint 45,2% du PIB en 2022, soit  0,9 point de plus par rapport à 2021 où le taux a été évalué à 44.3%. En euros, cela fait une augmentation de 86,4 milliards, pour atteindre 1 194 milliards contre 1 107.7 milliards en 2021, selon les derniers chiffres publiés dans le rapport économique, social et financier (RESF), publié le 4 octobre 2022.

    Dans son rapport de la précédente année, le gouvernement tablait sur une baisse en 2022 du taux de prélèvements obligatoires à 43.5% du PIB. C’est finalement un nouveau pic après celui de 2017 (45,1%) que le RESF a dévoilé.

    Dans son rapport, le gouvernement explique “principalement cette forte hausse par le dynamisme des prélèvements obligatoires, avec une croissance spontanée (+8,2 %) plus élevée que celle du PIB en valeur (+5,6 %), du fait notamment du dynamisme de certaines assiettes macro-économiques (masse salariale, emplois taxables à la TVA, bénéfices des entreprises)”.

    Selon le rapport annuel sur les recettes fiscales de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), la France est le deuxième des 36 pays étudiés où la pression fiscale était la plus élevée en 2021 (ratio impôts/pib de 45.1), derrière le Danemark (46.9%).

    « Où passe le pognon ?”

    L’impôt sur les sociétés, la TVA et l’IRG sont à l’origine des augmentations les plus conséquentes. Les recettes supplémentaires issues de l’impôt sur les sociétés ont atteint 12,7 milliards. Les impôts sur le revenu ont généré 8 milliards en plus. La TVA est à l’origine de la plus grosse augmentation, située à 18 milliards. La taxe sur la valeur ajoutée est ainsi à l’origine de 200 milliards d’euros en 2022, “grâce”, notamment, à l’inflation et la hausse des prix. Celle-ci est d’ailleurs la principale cause, avec la baisse de la croissance du PIB, de la hausse du taux de PO, explique le think tank Ifrap.

    Qui encaisse toutes ces recettes fiscales ? La Sécurité sociale est la grande bénéficiaire en récupérant 45 des 86,4 milliards d’euros supplémentaires. L’État vient en deuxième position, récupérant 34 milliards. Les collectivités locales prennent, quant à elles, 8 milliards d’euros.

    Les prélèvements obligatoires atteignent ainsi un record historique au moment où, paradoxalement, plusieurs secteurs sensibles, à l’image de celui de la santé ou encore de la justice, souffrent de carences en moyens. A la fin du mois de novembre, les magistrats entraient en grève pour dénoncer leurs conditions de travail et réclamer des moyens humains supplémentaires. Plusieurs tribunaux à travers la France exigent des dizaines de juges et de greffiers supplémentaires pour répondre au nombre croissant de dossiers.

    Début 2022, des personnels hospitaliers ont manifesté leur désarroi dans les rues de toute la France pour réclamer des hausses de salaires, mais surtout « des moyens » et des « postes » pour l’hôpital public lessivé par les vagues successives de Covid-19 et l’arrêt des fermetures de lits. Des médias ont également fait état de démissions en raison du manque de moyens et à la dégradation de la qualité du service rendu à l’hôpital public, aggravée par la suspension des soignants non-vaccinés toujours suspendus.

    De quoi rappeler, la question, en janvier 2021, de Charles Gave, essayiste et financier, qui se demandait face au taux de prélèvements obligatoires extrêmement élevés en France, “où passait le pognon (…) Pourquoi, aujourd’hui, la police ne marche pas, la justice ne marche pas, l’armée ne marche pas, la diplomatie ne marche pas, la santé ne marche pas (…) et on a jamais eu des prélèvements sociaux aussi incroyables”.

    “Cela risque de durer”

    La directrice générale de la Fondation iFrap, Agnès Verdier-Molinié, estimait dans une tribune que “la situation est d’autant plus désolante que le gouvernement aurait pu limiter, cette année, la surtaxation des Français et de leurs entreprises. Il était possible et juste de revoir le barème de l’impôt sur le revenu en se fondant sur l’inflation réelle (autour de 7 % à l’indice des prix à la consommation harmonisé de novembre à novembre) et non de 1,5 % comme il a été décidé”.

    Elle regrette que “l’exécutif soit trop tenté d’encaisser les recettes supplémentaires et de les dépenser en faisant des chèques énergie, des chèques de rentrée scolaire, etc. plutôt que de baisser les impôts”. Agnès Verdier-Molinié estime que “cela risque de durer” puisque dans le budget 2023 figure une revalorisation “des bases cadastrales et donc les taxes foncières des ménages et des entreprises de 7 % tout en plafonnant les loyers à +3,5%”. “La France n’en a pas fini avec les records de fiscalité. Les factures d’impôts vont continuer à s’envoler”, conclut-elle.

     
  • La Russie s’apprête à interdire les associations juives qui seront classées « organisations terroristes »

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

     

    par Maurizio Blondet.

    Jerusalem Post :

    La Russie a élargi sa définition des “agents étrangers” et inclut désormais “les personnes qui prennent part à toute activité que les autorités jugent contraire aux intérêts nationaux de la Russie ou qui reçoivent un soutien de quelque nature que ce soit, et pas seulement de l’argent, de l’étranger”, selon le Moscow Time.

    Dans ce cas, les représentants juifs de l’Agence juive ou les représentants d’organisations juives internationales peuvent être qualifiés d’”agents étrangers”.

    Selon le Moscow Times, qui cite la nouvelle loi, “toute personne ayant travaillé avec un “agent étranger” ou ayant reçu un financement de sa part sera incluse dans une nouvelle liste du ministère de la justice de personnes et de groupes “affiliés à des agents étrangers”.

    Le Jerusalem Post a rapporté en exclusivité la semaine dernière que l’Agence juive fait l’objet d’une enquête de la part de fonctionnaires russes depuis trois ans, période au cours de laquelle les informations et le matériel informatique de ses bureaux ont été examinés de près.

    Dans une lettre envoyée à l’Agence juive cette semaine, révélée en exclusivité par le Post, l’Agence a reçu une liste de ce que le ministère russe de la Justice considère comme des violations de la loi et des conséquences de ces violations. Comme indiqué, un haut responsable de la diplomatie israélienne a déclaré que “la Russie a affirmé que l’Agence juive avait illégalement collecté des informations sur les citoyens russes”.

    “La Russia ha affermato che l’Agenzia ebraica ha raccolto illegalmente informazioni sui cittadini russi”.

    Un haut fonctionnaire de la diplomatie israélienne.

    Comme le ferait toute organisation, en particulier celles qui encouragent l’immigration dans un autre pays, les bureaux de l’Agence juive en Russie collectent des informations sur les personnes qui demandent l’aliya ou participent à leurs activités.

    La crainte est que, si l’agence a déjà fait l’objet d’une enquête, la nouvelle loi crée une situation impossible pour les organisations juives et israéliennes qui souhaitent travailler en Russie.

    La semaine dernière, le ministère a indiqué que les fonctionnaires de l’agence en Russie avaient enfreint la loi, car les informations recueillies en Russie sont diffusées dans ses bureaux à Jérusalem ou avec les bureaux du gouvernement israélien, ceci afin de favoriser à l’immigration. La lettre indiquait que l’agence devait répondre aux allégations et qu’elle pourrait devoir cesser ses activités en Russie si elle était reconnue coupable des accusations.

    L’Agence juive répond

    L’Agence juive a déclaré la semaine dernière que : “L’Agence juive souhaite préciser que, contrairement à certaines publications, aucune directive n’a été reçue du gouvernement russe pour mettre fin à nos activités. Par conséquent, tous les plans de l’Agence et toutes les activités planifiées continuent normalement”.

    “Dans le cadre des procédures de contrôle et d’inspection en cours menées par les autorités compétentes en Russie depuis plusieurs années et à la suite d’une procédure d’inspection administrative de plus d’un an, les bureaux de l’Agence à Moscou ont récemment reçu une lettre des autorités [russes]”, a-t-il déclaré.

    La lettre mentionne “principalement des questions administratives et indique les problèmes qui, selon ses auteurs, ont été soulignés, ainsi que leurs éventuelles conséquences juridiques”.

    “La lettre invite l’Agence à répondre par écrit sur les faits qui y sont exposés. Par conséquent, l’Agence a l’intention d’étudier en profondeur la signification des questions soulevées et leurs implications et de les aborder en conséquence dans les conversations en cours avec les autorités”, a déclaré l’Agence juive.

    source : maurizioblondet.it

    Traduction : Strategika

    via Strategika

  • Espagne : le Congrès approuve la loi qui abaisse à 16 ans l’âge pour avorter sans autorisation parentale

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

    Auteur : 

    Espagne – La réforme de la législation sur l’avortement a franchi ce jeudi son pas le plus décisif. Elle autorise les avorteurs à pratiquer l’avortement sur des jeunes filles dès l’âge de 16 ans sans l’autorisation de leurs parents.

    L’approbation de la loi dite organique sur la santé sexuelle et reproductive et l’interruption volontaire de grossesse doit encore être traitée par le Sénat, où elle doit être entérinée, pour entrer en vigueur.

    190 députés (ceux du PSOE, United We Can, ERC, PNV, EH Bildu, Más País et Compromís) ont voté en faveur de cette réforme mortifère, tandis que 154 ont voté contre (ceux du PP, Vox, Ciudadanos et Navarra Suma). Il y a eu cinq abstentions.

    La réforme supprime également le délai de réflexion de trois jours, entre la décision d’avorter et la date de l’avortement, qui existe actuellement, ainsi que l’obligation de recevoir des informations sur les ressources et les aides disponibles si la grossesse se poursuit. Par ailleurs, un registre des professionnels qui ne veulent pas pratiquer d’avortement sera créé, faisant allusion à leur objection de conscience.

    La loi exclura les médecins qui s’opposent à l’avortement des comités cliniques qui interviennent pour confirmer ou non la maladie grave ou incurable du fœtus dans les cas où la mère allègue des raisons médicales pour interrompre la grossesse. La réforme interdira aux médecins qui ont manifesté leur objection de conscience à pratiquer des avortements d’évaluer ces cas, ainsi qu’à ceux qui ont fait partie de ces registres d’objecteurs au cours des trois dernières années.

    Les centres de santé et les centres de service « santé sexuelle et reproductive » distribueront gratuitement la pilule abortive « du lendemain » qui, jusqu’à présent, s’obtenait seulement en pharmacie contre environ 20 euros.

     

    Source : medias-presse.info

  • Focus sur le programme onusien d’Alliance des civilisations qui a fait l’objet d’un forum mondialiste au Maroc

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

    Auteur : 

    C’est un événement mondialiste qui est passé relativement inaperçu en Europe. Les 22 et 23 novembre 2022, la ville de Fès, au Maroc, a accueilli la neuvième édition du Global Forum. L’évènement organisé par l’ONU est loin d’être anodin.  L’Alliance des civilisations devient, à l’issue de son neuvième Forum tenu les 22 et 23 novembre à Fès, une entreprise véritablement mondiale. Dans leur déclaration finale, les participants à cet événement onusien ont assuré que l’Alliance est désormais dotée d’objectifs universels et sensibilisant à la nécessité urgente de promouvoir un leadership responsable dans tous les domaines d’action.

    Les travaux du neuvième forum de l’Alliance des civilisations de l’ONU (UNAOC) ont été introduits par un Message du Roi du Maroc adressé aux participants. L’événement s’est tenu en présence du Secrétaire général de l’ONU et de plusieurs ministres des Affaires étrangères, et avait pour objectif d’insuffler une nouvelle dynamique au travail de l’Alliance onusienne. Dans la Déclaration de Fès ayant sanctionné les travaux de la réunion ministérielle, tenue dans le cadre de ce forum, les participants ont appelé «à la mise en œuvre complète des annonces et des engagements convenus lors du Forum de Fès, afin que les gouvernements, avec le soutien de la société civile, puissent relever les défis et avancer vers les objectifs de vivre ensemble dans des sociétés pacifiques et inclusives pour le développement durable». Une loghorrée digne du Forum économique mondial de Davos et de son gourou Klaus Schwab.

    Il est à noter que c’est la première fois que ce Forum mondial de l’UNAOC se tient sur le continent africain. Le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, y a lancé un appel aux pays africains, les exhortant à rejoindre le groupe des amis de l’Alliance des civilisations. Le ministre marocain a souligné que le continent africain, en particulier l’Afrique subsaharienne, est sous-représenté au sein du Groupe des amis, notant que le continent ne représente que 20% des membres et l’Afrique subsaharienne 15%, alors que l’Europe représente près de 34% des membres et quasiment l’ensemble des pays arabes et de l’Amérique latine sont membres du groupe.

    Le forum mondialiste a été également marqué par la participation du ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, qui a fait une intervention mettant en avant l’importance de la capitale spirituelle du Royaume en tant que ville marocaine et africaine, soulignant la nécessité d’écouter la voix de l’Afrique, sachant que la population du continent devrait atteindre 2,5 milliards à l’horizon 2050.

    Mais qu’y avait-il au programme de ce forum mondialiste ? Parmi les points à l’ordre du jour, on retrouve notamment ceci : « Education à la citoyenneté mondiale : façonner les citoyens du monde grâce à une éducation transformatrice« . Tout est dit. Le Nouvel Ordre Mondial veut s’imposer par l’école qui doit façonner et transformer les enfants. Et ce n’est pas un hasard si les participants insistent sur l’implication attendue de l’Afrique car la citoyenneté mondiale passe aussi par une éducation transformatrice à propos de la propagande LGBT. Or, plusieurs pays africains sont jusqu’ici restés sourds aux revendications du lobby LGBT soutenu par l’ONU.

    Il est à la fois amusant et révélateur de trouver également au programme de ce forum mondialiste un point intitulé : « Halal et casher : rapprocher les civilisations pour générer la prospérité« .

    Quant au point « Le sport comme vecteur de paix et d’inclusion« , les supporters marocains présents sur le continent européen nous en ont offert leur interprétation, tout comme ils nous ont montré comment ils envisageaient leur citoyenneté mondiale

     

    Source : medias-presse.info

  • Procès suisse : Alain Soral écope d’une amende mais échappe à la prison ferme

    Publié par Guy de Laferrière le 18 décembre 2022

    Auteur : 

    Le jugement a été rendu vendredi par le tribunal de police de Lausanne : l’essayiste Alain Soral a été condamné à payer 1500 francs suisses d’amende pour avoir qualifié une journaliste de la Tribune de Genève de «grosse lesbienne militante». Il doit également verser 500 francs suisses à la journaliste pour le tort moral et payer ses frais d’avocat, à hauteur de 7000 francs suisses.

    La présidente du tribunal de police de Lausanne, Malika Turki, a estimé que les propos de M. Soral relevaient de la diffamation mais pas de l’incitation à la haine à l’encontre de la communauté homosexuelle. Un soulagement pour Alain Soral qui était menacé de prison ferme. Alain Soral, qui réside à Lausanne depuis octobre 2019, a déclaré à la presse, après le verdict, que  «le jugement est assez mesuré», soulignant que «l’homophobie n’a pas été retenue». «Je ne m’attendais pas à une relaxe totale», a-t-il ajouté.

    Début du mois d’avril, Alain Soral avait été condamné par le procureur général du canton de Vaud à trois mois de prison ferme par ordonnance pénale pour «diffamation, discrimination et incitation à la haine», les procureurs suisses ayant le pouvoir de condamner à des peines allant jusqu’à six mois de prison.
    Alain Soral avait fait appel de cette sanction et avait dû passer devant un juge mercredi, lors d’une audience publique.

    Les propos reprochés à Alain Soral avaient été prononcés dans une vidéo critiquant la journaliste qui lui avait consacré un article en août 2021.

    La présidente du tribunal a estimé vendredi que ces propos ne démontraient pas «un état de mépris envers la communauté homosexuelle» ou une «haine farouche envers les homosexuels», mais plutôt «une atteinte ciblée envers une personne». «La juxtaposition des termes de grosse lesbienne, militante, queer, pris dans leur ensemble fait bien apparaitre la journaliste comme une personne méprisable. Les propos sont donc attentatoires à l’honneur», a commenté la présidente du tribunal.

     

    Source : medias-presse.info