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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 720

  • Vers la fin de la propriété foncière individuelle ?

    Publié par Guy de Laferrière le 14 novembre 2022

    Des terres agricoles ou constructibles, bâties même, ne pouvant plus appartenir à des personnes physiques ou même à des personnes morales non accréditées ? Un démantèlement du bâti du foncier ? Plus de propriétaires immobiliers à moyen terme ? Des fonds de pensions mondiaux propriétaires d’agglomérations ou de régions entières ?

    La maxime du Forum économique mondial, dit « de Davos », est, à l’horizon des années 2030, d’atteindre le fameux « Vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux » qui se voudrait universel et total. Totalitaire ? À l’image d’un système féodal ou communiste collectiviste à outrance qui se rejoignent quelque part, dans les médias, des messages plus ou moins explicites poussent avec, pour fond de raison, les avatars de la  sous couvert du changement climatique…

    Le président de l’Institut du management des services immobiliers, M. Buzy-Cazaux, dans une tribune sur Capital, pose clairement et sans faux-semblants cette contrainte « constitutionnelle » sur le droit à la propriété. La loi Lagleize (2019) avait déjà fait du bruit dans le Landerneau des investisseurs immobiliers sans atteindre la masse des propriétaires français et faisait poindre une généralisation du démantèlement foncier-bâti. Celle-ci est appliquée dans les OHF - Observatoires de l’habitat et du foncier - impliqués dans les programmes locaux de l’habitat (PLH) de la loi  et Résilience et dont les prérogatives ont fait l’objet d’un décret, fin octobre 2022.

    Avec, en parallèle, la multiplication de contraintes règlementaires et de normes à respecter, l’interdiction de louer voire, après, d’habiter des « passoires thermiques », une taxe foncière gloutonne, les propriétaires ainsi terrassés seraient dégoûtés de posséder un bien immobilier et, pour être « heureux », rallieraient, de facto, le statut de locataires-migrants et de citoyens mobiles ?

    Les professionnels des services de l’immobilier (syndics, agents, promoteurs, organismes de contrôles) y voient aussi une manne de chiffre d’ et de pouvoir de décision sur leurs clients loin des préoccupations des propriétaires ainsi forcés et aliénés.

    Le ministre du Logement actuel souhaite que les passoires thermiques ne soient plus louables sur Airbnb. Qu’adviendra-t-il d’un manoir dans le Perche ou d’une ferme typique de l’Angoumois ? Des exceptions ou un retour à la ruine de tous ces édifices comme à la période « romantique » du XIXe siècle, à moins qu’ils ne soient rachetés par des multinationales seules capables de les réhabiliter. S’agit-il d’en faire des lieux « communs » et normés à l’international pour faire de nos pays des parcs d’attractions ?

    Avec un grand ministère de « la » Transition, donc de l’Environnement, qui intégrerait le logement, l’industrie, l’énergie, l’agriculture, la défense… - tout ! -, nous verrions la société et la  entière glisser vers un diktat énergétique sans précédent, seul critère de choix politiques et sociétaux.

    Les citoyens dégoûtés, culpabilisés, dénoncés et taxés ; leurs terres, immeubles et pavillons seraient rachetés par des sociétés tentaculaires sans doute non françaises, vu les montants en jeu…

    Dur de stopper cette vision cauchemardesque, dystopique mais… mondialement plausible.

    Testée par des événements hors normes (migrations, pandémie, terrorisme), la résilience à l’inconcevable a été éprouvée, approuvée. Faut-il aller jusqu’au bout du système pour éveiller les esprits à des formes de résistance nécessaires en ce début de millénaire de peur ?

     
  • Est-il si difficile de prophétiser ?...

    Publié par Guy de Laferrière le 14 novembre 2022

    Est-il si difficile de prophétiser ?...

    Les Mafias de négriers des temps modernes et leurs complices, les collabos de l'invasion de la France, sont tout contents car ils croient, avec l'écoeurante affaire de l'Océan Viking, avoir remporté une victoire. Une de plus. 

    Est-ce si sûr ? Ou, plutôt, n'est-ce pas une "Victoire à la Pyrrhus" ? La vérité est qu'une très large part des Français a été outrée, révoltée, scandalisée par cette mise en scène inadmissible et révoltante. Oui, les Mafias de négriers et les collabos de l'invasion ont une fois de plus réussi leur sale coup, et ont fait entrer, de force, quelques dizaines d'envahisseurs de plus, de trop, chez nous. 

    Mais, gare au choc en retour : à partir d'un certain seuil, trop, c'est trop, et même parmi les plus bornés, les plus butés, les plus sourds et aveugles, on commence à ouvrir les yeux et à dire que, justement, "trop, c'est trop"...

    "...Il y aura une bonne part de la population française qui ne suivra pas ce système là... Il se créera des isolats. La tension sera absolue. Les armes parleront..." (Jean Raspail)

    Comme disait le perroquet du conte de Jacques Bainville (Jaco et Lori) :

    "Ça finira mal !..."

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    Source : lafautearousseau

  • « Entendre son fils hurler, c’est terrible » : à Brunoy (91), la détresse d’une famille victime d’un cambriolage, l’un des auteurs visé par une OQTF

    Publié par Guy de Laferrière le 13 novembre 2022

    Sandrine, une habitante de Brunoy, a surpris deux voleurs chez elle dans la nuit du 29 au 30 octobre. Son fils de 25 ans a été blessé. L’un des auteurs, visé par une ordonnance de quitter le territoire français, doit être jugé en septembre 2023.

    Après le cambriolage mouvementé qu’elle a subi dans la nuit du 29 au 30 octobre, chez elle, à Brunoy (Essonne), Sandrine présente toujours un stress post-traumatique : « Entendre son fils hurler, c’est terrible, c’est d’une extrême violence. »

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Cédric Herrou interrogé par France 3 sur l’arrivée du bateau de SOS Méditerranée: «on se pose la question d’accueillir moins de 250 personnes qui étaient en train de se noyer», «des gens qui sortent de camps de concentration»

    Publié par Guy de Laferrière le 13 novembre 2022

    […]

    “La question que je me pose en fait, c’est comment humaniser ces migrants. Ça devient une arme politique, une arme de dissuasion, c’est grave et triste à la fois. Avec les Ukrainiens, il y avait cette question emphatique” explique le natif de Nice.

    “Ce n’est pas qu’une question de religion, ce n’est peut-être pas qu’une question de couleur de peau non plus, mais on n’arrive même plus à se rendre emphatique car ce sont des gens qui ne nous ressemblent plus du tout. Je crois que c’est le côté le plus pernicieux du racisme, il est là.” développe-t’il.

    […]

    En Libye, comme l’avait déjà révélé le média américain CNN, dès octobre 2017, les migrants sont purement et simplement vendus comme des esclaves. Pour seulement 400 dollars.

    Ce sont des gens qui sortent de camps de concentration, ça s’appelle comme ça, où l’on concentre des gens de la même origine, avec des travaux forcés, avec des viols, de la torture, et ils sont dans des conditions physiques et psychologiques incroyables” s’insurge l’agriculteur de la Roya.

    […]

    Cet humanisme qui est chevillé au cœur de la République pour Cédric Herrou, tend à vaciller d’après lui : “Ce qui me fait peur, c’est que l’on se pose la question d’accueillir moins de 250 personnes qui étaient en train de se noyer. Je pense que si l’on demande à un enfant de 5 ans s’il est normal de tendre la main à quelqu’un qui se noie, il va dire oui. […]

    France 3

  • Flemme, baisse de motivation et d’énergie, pression fiscale, les Français de plus en plus tentés par le canapé

    Publié par Guy de Laferrière le 13 novembre 2022

    S’agissant de la sphère privée, on perçoit par différents indicateurs que la moindre motivation est bien présente chez les Français depuis la crise sanitaire: salles de cinéma ayant du mal à faire le plein, boîtes de nuit en berne, associations n’ayant toujours pas retrouvé leurs licenciés et leurs bénévoles d’avant crise… Cette baisse de motivation se mesure par ailleurs objectivement quand on interroge les Françaises et les Français. Depuis la crise sanitaire, 30 % des sondés déclarent être moins motivés qu’avant. C’est encore plus vrai chez les plus jeunes avec 40 % des 25-34 ans indiquant être moins motivés qu’avant (contre seulement 21 % des plus de 65 ans).

    (…)

    Cette perte de motivation n’est sans doute pas sans lien avec la fatigue accumulée à l’occasion des épreuves occasionnées par la pandémie. En effet d’après notre enquête, 41 % des Français se sentent plus fatigués qu’avant la crise Covid après un effort physique, contre 54 % qui ne ressentent pas de changement et seulement 5 % qui ont la sensation d’être moins fatigués qu’avant suite à un effort physique. Les problèmes physiques de la population et de la jeune génération sont régulièrement documentés depuis plusieurs années maintenant. Ainsi, lorsqu’on compare les résultats à certains tests physiques passés par les adolescents des années 1990 avec ceux passés par les adolescents contemporains, on s’aperçoit que ces derniers ont perdu par exemple un quart de leur capacité pulmonaire en raison du développement de la sédentarité alimentée notamment par les écrans. Conséquence: les jeunes de 2022 mettraient 90 secondes de plus à courir 1600 mètres qu’il y a trente ans.

    (…)

    La perte de motivation au travail touche davantage les jeunes actifs (46 % des 25-34 ans), mais aussi les cadres (44 %) et les professions intermédiaires (43 %), contre 34 % «seulement» parmi les employés et ouvriers, catégories dont on notera qu’elles sont moins concernées par le télétravail. Les contrastes se font également jour en termes d’affiliation partisane. Quand 61 % des électeurs de Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle disent être moins motivés qu’avant au travail, ce n’est le cas que pour 28 % des électeurs d’Emmanuel Macron, de 30 % des électorats Zemmour et Pécresse, et de 34 % des lepénistes. Ces résultats sont intéressants, car ils permettent d’éclairer le débat sur la «valeur travail» lancé par Fabien Roussel à la rentrée et les raisons pour lesquelles une partie de la gauche est mal à l’aise, voire critique, à son égard. Sandrine Rousseau a ainsi, par exemple, revendiqué le droit à la paresse cher à Paul Lafargue. Dans le même ordre d’idées, une autre enquête récente de l’Ifop indique d’ailleurs que près de 4 sympathisants LFI ou EELV sur 10 se définissent comme «peu ou pas travailleurs», cette proportion ne s’établissant qu’à environ un quart des sondés dans les autres familles politiques.

    (…)

    La Grande Flemme : comment la France perd le goût de l’effort