Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022
Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 720
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Brésil, élections
Stanislas Berton@StanislasBertonAu Brésil, Bolsonaro a gagné toutes les régions sauf le Nordeste, la plus corrompue du pays. Au 1er tour, un flux massif et inhabituel de trafic internet avait été enregistré en provenance des USA et en direction du Brésil, où le vote électronique est très répandu. -
Deux fêtes, deux bilans
Publié par Guy de Laferrière le 31 octobre 2022
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Paris : au Musée d’Orsay, une activiste stoppée alors qu’elle s’apprêtait à jeter de la soupe sur un tableau de Gauguin après avoir tenté de le faire sur une œuvre de Van Gogh
Publié par Guy de Laferrière le 30 octobre 2022
Une activiste a été interceptée jeudi par la sécurité du musée d’Orsay, à Paris, avant qu’elle ne jette de la soupe sur un tableau de Paul Gauguin. La scène a été immortalisée et diffusée sur les réseaux sociaux. Les faits se sont déroulés jeudi. 27 octobre. Le musée parisien avait renforcé la sécurité craignant ce genre d’événement très en vogue actuellement. La jeune femme a été conduite à la sortie avant l’arrivée de la police. Une plainte a été déposée.
Pas de garde à vue et pas une goutte de soupe sur le sol du musée d’Orsay ou sur un tableau de la collection. Jeudi 27 octobre, le renforcement de la sécurité a payé dans le célèbre musée parisien, puisqu’il a permis de dissuader une jeune femme qui était sur le point de réaliser un happening en collant son visage contre un tableau et en jetant de la soupe sur un autre.
Selon nos informations, l’activiste était accompagnée de plusieurs caméramans prêts à immortaliser une scène qui allait devenir virale à coup sûr. Mais elle a été prise de court au moment où elle a enlevé son pull dévoilant le message « Just stop oil » imprimé sur un tee-shirt blanc.
Le maillage préventif mis en place par le musée était tel qu’un agent l’a aussitôt empêchée d’approcher de la célèbre toile de Vincent Van Gogh « Autoportrait à Saint-Rémy ». Une œuvre de l’impressionniste hollandais mort à Auvers-sur-Oise (Val-d’Oise), « Les Tournesols », avait déjà été ciblée par des activistes début octobre à la National Gallery de Londres où deux boîtes de soupe avaient été déversées sur la vitre protégeant la peinture.
D’après nos informations, à Paris, la jeune femme voulait d’abord coller son visage sur la peinture de Van Gogh. Mais, empêchée, elle se serait alors dirigée vers une toile de Paul Gauguin, gourde à la main. Là encore, elle n’a pu aller jusqu’au bout de son geste, interceptée par un agent.
Le Parisien via fdesouche
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Saint-Denis (93) : un Haïtien «ultra violent», multirécidiviste, en situation irrégulière, connu pour une trentaine de délits et sous OQTF, interpellé et relâché après sa garde à vue, les centres de rétention administrative étant saturés
Publié par Guy de Laferrière le 30 octobre 2022
Interpellé ce vendredi devant la gare de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), un homme de 24 ans en situation irrégulière et défavorablement connu des services de police a été relâché après sa garde à vue dans une affaire de violences volontaires, selon le service police-justice de CNEWS .Une décision motivée par la saturation des centres de rétention administrative dans l’Hexagone.
De nationalité haïtienne, le suspect est en situation irrégulière sur le territoire. Il s’était vu délivrer à ce titre, par le passé, au moins une obligation de quitter le territoire français (OQTF). Ce dernier est d’ailleurs actuellement visé par une interdiction administrative de retour sur le territoire français et un placement en centre de rétention administrative en vue de son expulsion.
L’homme de 24 ans fait aussi l’objet d’une fiche de recherche pour une peine prononcée à son encontre de six mois de prison et 300 euros d’amende pour violences volontaires inférieures à huit jours d’ITT. Cependant, cette sanction devait lui être notifiée prochainement, lui laissant alors la possibilité de faire appel.
Passé plusieurs fois par des centres de rétention administrative (CRA), il avait notamment agressé l’un de ses surveillants de deux coups de poings à la tête. «Comme il est ultra violent, ça doit être compliqué de le mettre dans un avion...» a confié une source policière à CNEWS pour expliquer les difficultés liées à son expulsion du territoire.
Ce dernier est notamment connu des services de police pour une trentaine de faits différents depuis 2015, dont violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique (PDAP), transport de produits stupéfiants, vols avec violences, abus de confiance ou encore violences sur mineur. Dans bon nombre de ces dossiers, le suspect a été reconnu irresponsable sur le plan psychiatrique et placé dans un établissement spécialisé.
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Brétigny-sur-Orge (91) : un clandestin Libyen, arrivé en France 5 jours auparavant, entre chez Louise, 68 ans, l’étrangle et la frappe. Il ressort libre du tribunal après avoir menacé de se suicider s’il allait en prison (MàJ)
Publié par Guy de Laferrière le 30 octobre 2022
30/10/22
« Il me dit : si je vais en prison, je me suicide. Il fait du chantage », glisse l’avocate de la défense à sa consœur, en faisant rouler ses yeux, durant la délibération du tribunal de la dixième chambre correctionnelle du tribunal judiciaire d’Évry (Essonne), mardi 25 octobre 2022 après-midi.
La raison ? Durant ses quelques jours de détention, le prévenu a fait une grève de la faim, s’est scarifié avec un morceau de métal rouillé et a jeté sa tête contre les murs.
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Rapide rappel des faits. Au beau milieu de la nuit du 22 octobre 2022, un migrant libyen de 28 ans, arrivé cinq jours auparavant en France, s’introduit chez un couple, capuche sur la tête, à Brétigny-sur-Orge.
La femme, une sexagénaire, se réveille alors qu’elle dormait sur le divan du salon. Et aperçoit l’intrus. Elle demande : « Qu’est-ce que vous faîtes chez moi ? »
L’ombre répond : « Je cherche…pour dormir ». Puis, l’individu né à Tripoli décoche brusquement un coup de poing qui arrache l’appareil dentaire de la bouche de la dame, avant de saisir son cou, et de serrer avec force.
Finalement, le mari débarque, et met en fuite l’agresseur. Dix jours d’incapacité temporaire de travail seront accordés à la première victime.
(…)
La plaidoirie de l’avocate de la défense sera brève. Avec deux arguments majeurs : « ça ne répond pas à une bonne administration de la justice [de ne pas renvoyer l’affaire, NDLR] » et « il a indiqué que s’il allait en prison, il se suiciderait ».
Bingo, le prévenu repartira libre du tribunal, avec une peine de 12 mois de prison intégralement assortie d’un sursis.
26/10/22
Mohamed F. était jugé ce mardi 25 octobre par le tribunal correctionnel d’Évry-Courcouronnes, pour un double cambriolage commis samedi en Essonne, durant lequel il a violenté une femme âgée de 68 ans. Il écope d’un an de prison avec sursis.
Il est environ 4 heures du matin dans la nuit de vendredi à samedi. Louise dort au rez-de-chaussée sur le divan, tandis que Michel se trouve dans la chambre à l’étage.
(…)
La suite, c’est son compagnon Michel qui le raconte : « J’ai entendu ma femme pousser un cri, c’était vraiment violent. Je suis descendu et je l’ai mis en fuite », poursuit-il. Le cambrioleur étrangle et assène un coup au visage de Louise avant de quitter le pavillon. « Là, il m’a lâché la gorge. J’ai vu ma mort arriver. Pour moi, il est entré chez moi pour me tuer », estime Louise, qui s’est vue prescrire 10 jours d’incapacité totale de travail.
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Le prévenu, un Libyen né à Tripoli, confie que ses parents ont été tués par des terroristes, et affirme être arrivé en France à peine 5 jours avant le cambriolage.