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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 724

  • « Je ne le ferai plus. Je veux rester dans votre beau pays » : un Pakistanais de 18 ans agresse sexuellement la veilleuse de nuit de son foyer à Lagarrigue (81)

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    Un Pakistanais de 18 ans a été condamné à 18 mois de prison ferme par le tribunal de Castres pour une agression sexuelle commise dans un foyer de Lagarrigue.

    « Je demande pardon, je ne le ferai plus, je ne pensais pas que cette erreur me conduirait devant le tribunal. Je veux rester dans votre beau pays qui m’a si bien accueilli », lâche les larmes aux yeux ce Pakistanais de 18 ans à la barre du tribunal correctionnel de Castres traduit par une interprète. Mais les juges ne se sont pas laissé attendrir par ce migrant, pourtant sans casier judiciaire, considérant qu’il « n’avait pas pris la mesure de la gravité des faits ». Il a été condamné à 30 mois de prison, dont 12 mois avec sursis probatoire durant 2 ans avec l’obligation de travailler, d’indemniser la victime, de ne pas rentrer en contact avec elle et de se soigner.

    Le jeune homme était poursuivi pour une agression sexuelle sur la veilleuse de nuit du foyer pour jeunes migrants installé dans un ancien hôtel de Lagarrigue où il est hébergé dans le cadre d’un contrat jeune majeur de l’Aide sociale à l’enfance.

    La Dépêche via fdesouche

  • « Elle va voir ce qu’Allah va lui faire » : menacée et filmée à son insu par une élève en abaya, une professeure de Montauban placée sous protection policière (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    11/11/22

    La professeure avait fait une remontrance à une élève qui s’était présentée en classe vêtue d’une abaya. Cette dernière avait enregistré puis diffusé l’échange sur les réseaux sociaux.

    Une professeure d’espagnol du lycée Antoine Bourdelle de Montauban (Tarn-et-Garonne) a été placée sous protection policière après avoir fait une remontrance à une élève, qui s’était présentée en classe vêtue d’une abaya, un vêtement féminin traditionnel dans les pays du Maghreb et au Moyen-Orient. L’incident s’est déroulé avant les vacances de la Toussaint.

    “Dès que je suis rentrée en classe, bah en fait la prof m’a dit: ‘mais qu’est ce que c’est que cette robe de chambre’, en voyant que j’avais une robe dans ce style, une abaya ça s’appelle”, a expliqué la lycéenne de première rencontrée par BFMTV.

    La professeure filmée à son insu

    À la fin du cours, l’élève est convoquée. Elle va alors enregistrer l’échange à l’insu de sa professeure, puis le diffuser sur les réseaux sociaux. Alerté par les services de l’Éducation nationale, le proviseur du lycée Bourdelle, le plus grand de l’académie de Toulouse en termes d’effectif, a décidé de saisir la justice. La professeure a également porté plainte.

    (…) BFMTV


    09/11/22

    Montauban : Un lycée subit des “tentatives de déstabilisation” islamistes répétées et coordonnées, alertent les services de renseignement ; une prof menacée par une élève tchétchène. “Elle va voir ce qu’Allah va lui faire”

    Le lycée Bourdelle de Montauban fait face à des atteintes répétées à la laïcité. Une vidéo menaçant une enseignante a été diffusée sur Tiktok. Et un appel à se présenter dans l’établissement en « abayas ou robes longues » ce 9 novembre vient de nécessiter l’intervention des équipes académiques.

    (…) Plusieurs documents internes consultés par Marianne font état de « divers incidents » au lycée Bourdelle de Montauban (Tarn-et-Garonne). Les services de renseignement territoriaux s’en inquiètent dans une note du 20 octobre. L’académie a mis en place une organisation spécifique pour cette journée du 9 novembre, alors que circulait un appel pour les élèves à se présenter en « abayas ou robes longues ».

    Cela fait plusieurs mois que le lycée est confronté à des atteintes à la loi de 2004 sur les signes religieux ostensibles. « Depuis la rentrée 2022 et dans les mois qui ont précédé, plusieurs d’entre vous nous ont fait part de leur inquiétude quant à la résurgence de tenues qui interrogent le respect de la loi du 15 mars 2004 au sein de notre établissement », peut-on lire dans un courrier envoyé par le chef d’établissement à ses équipes le 10 octobre.

    Plus inquiétant encore, deux sources au sein de l’Éducation nationale confirment, sans donner plus de précisions, qu’une enseignante aurait été filmée à son insu. Selon une source policière, une élève tchétchène prise en cours en train de remettre son voile aurait rétorqué à son enseignante qui la rappelait à l’ordre qu’elle serait « raciste. Avant de lui tenir un discours sur le ton : vous allez voir ce que vous allez voir, en faisant référence à son père et son frère ». « Cet échange a été enregistré par l’élève et diffusé sur TikTok, indique notre source policière. À la fin, elle tient des propos du type “elle va voir ce qu’Allah va lui faire”. » (…)

    APPEL À SE PRÉSENTER EN « ABAYA OU EN ROBES LONGUES »

    (…) « Les actions des jeunes filles suggèrent que leurs revendications relèvent d’une entreprise concertée », abonde notre source policière qui évoque des professeurs divisés : « Il y a un camp majoritaire pour l’application d’une laïcité stricte et un camp, qui s’appuie sur une enseignante, pour une laïcité plus ouverte. »

    Marianne

  • Lège-Cap Ferret (33) : « C’est très dur ! », un couple de retraités handicapés contraint de vivre dans leur voiture

    Publié par Guy de la Ferrière le 12 novembre 2022

    Michèle Baril et Frédéric Tavitian, un couple de retraités handicapés, vit dans sa voiture à Lège-Cap-Ferret. Expulsés de leur dernière location, Michèle Baril et Frédéric Tavitian ont dû quitter le camping qui les accueillait. Ils vivent dans leur voiture à Lège-Cap-Ferret, en Gironde, depuis début novembre. Ces retraités n’ont pas trouvé de logement à prix abordable et adapté à leur handicap.

    Leur Clio est devenue leur maison. Michèle et Frédéric vivaient depuis plusieurs mois sous une tente au camping d’Arès sur le Bassin d’Arcachon, après avoir été expulsés de leur dernier logement. Mais l’établissement a fermé pour l’hiver, fin octobre. Ils dorment depuis dans leur voiture, où ils ont entassé leurs affaires. Pas de logement adapté malgré 2000 euros de revenus

    Malgré 2000 euros de revenus mensuels, ce couple de retraités n’a pas trouvé de logement dans ce secteur prisé du Nord-Bassin. Et la dernière offre d’appartement social à Andernos-les-Bains, dans un immeuble sans ascenseur, n’était pas adapté à leur handicap, explique Frédéric.

    Il y a près de 2 ans, le couple vivait encore dans une location jusqu’à son expulsion dont ils s’estiment victimes.

    « On nous a dit que nous n’avions pas assez de revenus pour nous loger. C’est faux ! On a 2000 euros de revenus mensuels et le loyer était de 600 euros, ça ne tient pas debout. »

    Le maire de Lège-Cap Ferret a été informé de la situation des retraités et a contacté notamment plusieurs centres d’action sociale du Bassin d’Arcachon. « Nous allons travailler avec les CCAS d’Andernos, d’Arès ou de Lège pour essayer de faire une proposition à ce couple, de façon à ce qu’il puisse avoir un logement décent. » a affirmé, Philippe de Gonneville, maire SE de Lège-Cap Ferret

    En attendant, Michèle et Frédéric continuent de vivre dans leur voiture stationnée sur une aire de parking. Des conditions spartiates pour ce couple qui réclame un toit en s’acquittant d’un loyer.

    France 3-régions via fdesouche

  • Surpopulation carcérale : la contrôleure des prisons exhorte le gouvernement à « affronter la réalité »

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    Cellules qui débordent, cafards qui pullulent… Alors que la France est en passe d’établir un nouveau record du nombre de détenus, la contrôleure des prisons, Dominique Simonnot, exhorte le gouvernement à “affronter la réalité” carcérale et “agir” contre la surpopulation, dans un entretien accordé à l’AFP. “J’ai vu des gens à trois par cellule avec 0,8 m2 d’espace vital par être humain“, raconte Dominique Simonnot, qui demande au gouvernement d'”agir” contre la surpopulation.

    Nommée contrôleure générale des lieux de privation de liberté (CGLPL) il y a deux ans, l’ancienne journaliste du Canard enchaîné a, au gré de visites de contrôle, pu constater le “cauchemar” de la situation actuelle.

    À son arrivée à la tête de l’autorité indépendante, vigie des droits fondamentaux, les prisons étaient occupées à 100,7%, avec quelque 61.100 détenus pour 60.650 places. Elles comptent désormais, selon les derniers chiffres officiels, 72.350 détenus, 2053 matelas posés à même le sol, et le taux d’occupation atteint 119,2% en moyenne.

    À la maison d’arrêt de Bordeaux-Gradignan, occupée à plus de 200%, “j’ai vu des gens à trois par cellule avec 0,8 m2 d’espace vital par être humain“, décrit Dominique Simonnot à l’AFP. La nuit, le troisième détenu dort par terre et se sert d’une porte pour y poser son matelas afin de ne “pas respirer des petits cafards au milieu de la poussière“, explique-t-elle.

    Gradignan, c’est quand même une prison où les surveillants nous ont dit ‘moi (si j’étais) détenu, je ne rentrerais pas dans les cellules’, nous ont parlé de leur détresse. Et où les détenus répondent ‘il faut les comprendre, ils sont à bout, on est trop’“, souligne encore la contrôleure générale.

    Après cette visite, le CGLPL a adressé en juillet des recommandations en urgence dénonçant des conditions “inhumaines” de détention, mais son avis n’est pas contraignant.  […]

    msn via fdesouche

  • Ils partent en Algérie mais rentrent chaque mois toucher leur RSA dans le Rhône : 6 mois de prison avec sursis pour deux frères algériens

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    En 2021, sur 35,6 millions de contrôles, les Caisses d’allocations familiales (CAF) de France ont détecté 43 200 fraudes.

    Le Rhône n’est pas épargné, à l’instar de cette affaire jugée dans la semaine au tribunal judiciaire de Villefranche-sur-Saône. Deux frères installés en Algérie depuis cinq ans revenaient ensemble chaque mois, le même jour, pour toucher leur RSA dans le Rhône.

    Face aux enquêteurs, ils ont expliqué que le retour en Algérie avait été temporaire, pour veiller sur leurs proches durant l’épidémie de Covid-19.

    Une version peu crédible qu’ils n’ont pas eu l’occasion de présenter aux juges puisqu’ils n’ont pas fait le voyage jusqu’au tribunal.

    Selon le Progrès, la justice caladoise les a condamnés à 6 mois de prison avec sursis. Il leur est également demandé de rembourser les sommes réclamées par la CAF du Rhône, soit un préjudice de 16 059 par frère, soit plus de 32 000 euros au total.

    Si 1% des contrôles réalisés mettent au jour des fraudes à la CAF, un quart permet a contrario d’apprendre aux allocataires qu’ils peuvent prétendre à des versements plus importants.

    Lyon Mag via fdesouche