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Rome gèle le décret de la livraison des armes à l’Ukraine.
« Il n’y a actuellement aucun nouveau décret à l’étude pour envoyer des armes à l’Ukraine », souligne le quotidien italien Il Messaggero citant un message du Palazzo Chigi [bureau de la Première ministre italienne) et du ministère italien de la Défense.
« Malgré les rumeurs de ces derniers jours, déclenchées par la demande pressante du président Volodymyr Zelensky pour de nouveaux systèmes de défense aérienne pour lever une barrière contre les bombardements russes de Kiev et d’autres villes ukrainiennes, Rome gèle les nouveaux approvisionnements », continue le média italien : « L’opération d’armement en Ukraine est en stand-by, assurent plusieurs sources gouvernementales ».
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba a demandé au ministère des Affaires étrangères Antonio Tajani « des systèmes de défense aérienne », mais la livraison des missiles antiaériens sol-air sophistiqués SAMP-T et très coûteux et l’Italie dispose de peu de batteries de missiles de ce type. Et, s’il en livrait quelques-uns à Kiev, elle risquerait de perdre son système de défense. D’où quelques perplexités, fait savoir Il Messaggero.
Le ministère italien de la Défense met le doigt sur un deuxième problème : le nouveau décret serait le sixième depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine en février. Et, Rome n’a pas encore livré tous les armements assignés à Kiev avec les quatrième et cinquième arrêtés interministériels. « Il faut donc terminer le travail, avant d’en affronter un nouveau… », racontent-ils à la Défense.
Le gouvernement italien clame vouloir définir le calendrier et les armes à destination de l’Ukraine avec les alliés de l’OTAN.
Ce 12 novembre, c'est la journée mondiale de la vasectomie (stérilisation masculine volontaire). Oui oui, ça existe...
Alors que la surpopulation concerne exclusivement les pays du tiers-monde, les cucks ayant recours à cette pratique sont évidemment des hommes blancs déconstruits vivant dans des pays occidentaux où la natalité des Blancs est en chute libre.
Même si cette pratique reste marginale, elle démontre la wokisation de notre société sans repères et sans foi.
Il est évidemment du devoir des hommes et des femmes blanches de perpétuer notre race face à la vague migratoire sans précédent qui submerge l'Occident.
Deux enquêtes ont été ouvertes après les viols de deux jeunes femmes, qui ont eu lieu à une semaine d’intervalle en pleine nuit dans la rue, dans le quartier de Wazemmes à Lille, à proximité de la rue Gambetta.
Deux femmes d’environ 25 ans ont été violemment agressées et violées en l’espace d’une semaine, fin octobre et au début du mois de novembre à Lille. Les deux faits ont eu lieu en pleine rue, à proximité des rues Gambetta et Solférino.
Selon nos informations, la première victime a été surprise par un inconnu, dans la rue vers 4 h du matin, dans la nuit du vendredi 28 octobre. Elle a été violée. L’auteur a réussi à prendre la fuite. La deuxième attaque, concernant une femme du même âge, a eu lieu une semaine plus tard, dans la nuit du vendredi 5 novembre, dans les mêmes horaires et dans le même secteur. Là aussi, la victime a subi des violences physiques et a été violée par un inconnu qui a réussi à s’enfuir. Lors d’un des deux faits, l’auteur aurait également proféré des menaces, peut-être avec une arme.
L’association Avenir de la Culture a lancé une pétition ayant récolté près de 40 000 signatures contre la nouvelle mosquée de Metz. Le maire François Grosdidier y répond.
[…] Le chantier de la Grande Mosquée de Metz, prévue pour être la plus grande en Lorraine, a officiellement été lancé en cette fin d’année 2021. Face à la multiplication des discours islamophobes à l’approche de l’élection présidentielle, l’occasion s’est présentée aux porteurs du projet comme à la municipalité de donner de la voix contre la haine et pour la concorde. […]
Le président de l’UACM, Mohamed Hicham Joudat, a profité de l’occasion pour faire valoir un message de paix en ces temps troublés par des discours haineux de certains candidats à l’élection présidentielle. « En ce jour historique qui sera gravé dans la mémoire de la communauté musulmane de notre région, faut-il rappeler à tous les citoyens français que la présence musulmane ne date pas d’aujourd’hui », a-t-il déclaré, rappelant l’engagement des soldats musulmans pour la France qui fut au cœur d’une exposition présentée en septembre 2021 à l’hôtel de Ville. « Plus que jamais, ce rappel est indispensable, surtout avec la montée malheureusement ces dernières années en France d’un discours de haine qui instrumentalise la religion musulmane. »
« Notre philosophie considère le respect des valeurs républicaines comme intrinsèque à l’éthique musulmane », a-t-il ajouté, qui rappelle la signature par l’UACM de la charte des principes de l’islam de France. Un acte salué par le maire de Metz, François Grosdidier, qui a déclaré croire au « rôle pédagogique » de la signature du document, en particulier auprès des non-musulmans afin de « lever tous les malentendus que certains s’ingénient à créer » vis-à-vis des fidèles de l’islam.
Fustigeant « la théorie paranoïaque du grand remplacement » et la montée de « l’islamophobie », le premier magistrat de la ville veut combattre ces fléaux « par la raison ». Face aux peurs et à la haine, il faut « répondre à l’excitation par le calme, combler l’ignorance par la connaissance, combattre la démagogie par la pédagogie, désarmer l’agressivité par la fraternité », a-t-il assuré. « Céder à la peur, c’est donner la victoire intellectuelle aux terroristes et à tous les extrémistes. »
« Même si nous ne sommes pas sortis définitivement de cette crise sanitaire, nous savons au moins que la vie ne s’arrête pas et qu’il faut redémarrer et que, dans cette affaire, il faut aller jusqu’au bout », a signifié François Grosdidier, pour qui la construction de la mosquée est « nécessaire » tant pour Metz que pour la France au nom même de la laïcité.
À l’occasion d’une journée d’appel de blocage pour la suppression de Parcoursup et de tout système de sélection, mais aussi la fin de la réforme du bac professionnel, les abords de l’établissement se sont de nouveau embrasés ce jeudi matin, trois semaines après un autre mouvement tendu.
Les nappes de brouillard et de fumées âcres se mêlent, ce jeudi matin, devant l’une des entrées du lycée polyvalent Adolphe-Chérioux de Vitry-sur-Seine, léchée par les flammes jusqu’à l’intervention des sapeurs-pompiers.
Trois semaines après une précédente mobilisation qui avait marqué les esprits dans ce secteur du Val-de-Marne, le syndicat lycéen Fidl appelle à une journée nationale de blocus. Si les élèves du lycée Jean-Macé n’ont cette fois-ci pas pris part au mouvement, Chérioux s’est une nouvelle fois distingué.
Les banderoles ne sont pas de sortie, mais les revendications sont connues. Les principales, avancées par la Fidl, sont les mêmes, à savoir « la suppression de Parcoursup et de tout système de sélection » et « la fin de la réforme du bac professionnel ». À cela, le syndicat ajoute « la gratuité totale de l’éducation », la « lutte contre l’extrême droite » et « l’arrêt de l’usage systématique de la répression policière ».