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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 729

  • À Paris, les migrants de retour dans le quartier de La Chapelle : « L’impression de revivre 2014 »

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2022

    Pont Saint-Ange, sur le boulevard de la Chapelle (Paris XVIIIe), la longue errance des migrants s’éternise. Sous les poutrelles métalliques du métro aérien, des centaines de tentes sont alignées et placées sous la haute surveillance de CRS. Ils sont environ 400 très jeunes afghans livrés à eux-mêmes, sinon au soutien de quelques associations. Utopia 56, Solidarité Migrants Wilson, Tendre la main viennent chaque jour témoigner de leur soutien, au côté également de riverains.

    Le 27 octobre, pour la 16e fois depuis le début de l’année, les préfectures de région et de police ont organisé une vaste opération de mise à l’abri au même endroit. Ce sont 634 réfugiés, des hommes seuls regroupés sur le pont Saint-Ange depuis le mois de septembre, qui ont été pris en charge et conduits vers différents centres d’hébergement mis à disposition en Île-de-France et en province.

    […]

    Le Parisien via fdesouche

  • « Je ne veux pas être un deuxième Samuel Paty » : au Grand-Quevilly (76), un professeur menacé de mort par un parent d’élève, les cours ont été suspendus lundi matin, le prof demande à être muté

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2022

    Un professeur du lycée Val-de-Seine au Grand-Quevilly, près de Rouen (Seine-Maritime), affirme avoir été menacé de mort par un parent d’élève. Il a porté plainte. L’affaire est prise très au sérieux. Les enseignants se sont mobilisés et les cours ont été suspendus ce lundi matin. Témoignage.

    Ce lundi 7 novembre, la rentrée a été retardée de quelques heures au lycée Val-de-Seine à Grand-Quevilly, près de Rouen. Les élèves du lycée ont trouvé porte close jusqu’en milieu de matinée. Pour seule communication, ils ont reçu un message la veille leur indiquant que tous les cours étaient annulés jusqu’à 10h15.

    Selon nos informations, cette fermeture était liée à une réunion de crise qui s’est tenue en présence des équipes enseignantes, du proviseur et même de l’inspection de l’académie. Le motif : une violente agression verbale qu’un parent d’élève aurait proféré à l’encontre d’un professeur de l’établissement. Les faits auraient eu lieu avant les vacances, le jeudi 20 octobre. Ce jour-là, l’enseignant dit même avoir été “menacé de mort”. Encore sous le choc, il a accepté de témoigner.

    (…)

    “Si vous continuez je vais vous décrocher la tête”

    Face au professeur, le parent d’élève hausse le ton et se montre agressif : “vous prenez ma fille pour une merde, vous parlez mal à vos élèves.” Un autre professeur intervient pour tenter de le calmer. “Avant de sortir de la salle, il me pointe du doigt et hurle : ‘Si vous continuez comme ça avec ma fille, je vais vous décrocher la tête !’ Il était furieux, son regard était menaçant, je l’ai pris très au sérieux !”

    Depuis cet évènement, le professeur est en arrêt maladie. Son état psychologique a été jugé trop fragile pour reprendre les cours. 

    “Je ne veux pas être un deuxième Samuel Paty. Je ne me vois pas revenir dans cet établissement. J’ai demandé au rectorat à changer de poste pour me protéger.”

    Professeur menacé

    (…)France 3 via fdesouche

  • Bon sens paysan : des agriculteurs déversent du lisier de porc sur des teufeurs obligés de décamper

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Est-ce l’odeur du lisier de porc ou leur philo-islamisme

    qui a fait fuir les teufeurs, on ne le saura jamais vraiment ?

    ​Vers 21 h 30, samedi 5 novembre, les gendarmes ont été appelés par un agriculteur d’Avessac (Loire-Atlantique) craignant la possible installation d’une rave party dans un de ses champs. Avec l’aide des autres paysans il a empêché les teufeurs de s’installer en arrosant son champ de lisier.

    Face à cette détermination sans faille, les teufeurs ont finalement quitté les lieux vers 23 h 30 et ont sorti leurs véhicules qui s’étaient embourbés, notamment celui contenant le matériel de sonorisation.

    Les gendarmes ont été ravis que, pour une fois, justice soit faite sans attendre, en vain, que les autorités préfectorales daignent se pencher sur l’affaire.

    Morale de l’histoire : Le lisier de porc est une arme plus efficace contre les teufeurs indésirables que les gesticulations wokistes de la macronie.

    A bon entendeur, salut !

    Sources : Presse Océan/ Ouest-France

  • Pour le Crédit Mutuel de Bretagne, il semble que l’homme blanc ait disparu de France. Place au métissage !

    Publié par Guy de Laferrière le 08 novembre 2022

  • Tours (37) : un dentiste de 59 ans sauvagement attaqué au couteau dans son cabinet médical par l’un de ses patients (MàJ : un migrant tchadien arrêté)

    Publié par Guy de Laferrière le 07 novembre 2022

    07/11/22

    Le docteur Jean Kseib est dentiste à Tours. Le 17 octobre dernier, il a été sauvagement attaqué au couteau par un de ses patients. Le praticien de 59 ans a bien failli y rester­… À peine sorti de ­l’hôpital, il nous raconte ce moment d’épouvante. Le mobile de ­l’agression laisse pantois !

    Quel est le profil du patient qui a essayé de vous tuer ?

    C’est un Tchadien de 41 ans. Il y a trois ans, je lui ai fait une radio panoramique et un détartrage. ­Depuis, il revenait régulièrement pour des visites de contrôles. Il paraissait satisfait de mes services. Jusqu’à sa dernière visite, en août dernier…

    Que s’est-il passé ce jour-là ?

    Je lui ai fait passer une nouvelle radio panoramique. Le temps que la machine fasse le tour de sa mâchoire, il devait mordre un embout en plastique. J’avais mis un doigté dessus, comme d’habitude.

    Un « doigté » ?

    C’est un petit embout en latex, à usage unique, qui recouvre la partie de la machine mordue par les patients. Tous les dentistes l’utilisent, pour des questions d’hygiène. Il sert à éviter les contaminations…

    Quel rapport avec votre ­agres­sion ?

    Au moment de la radio, quand je lui ai demandé de serrer l’embout, il m’a dit : « Vous me mettez un préservatif dans la bouche ? » J’ai cru qu’il plaisantait, mais non. Je lui ai expliqué de quoi il s’agissait. Je lui ai même montré le sac rempli de doigtés usagés, pour qu’il comprenne que j’en utilise un pour chaque patient. Il n’a rien dit, il s’est laissé faire sans poser d’autres questions ni montrer de signe de colère. Pour moi, il avait compris !

    Le 12 octobre dernier, le président du Conseil de l’ordre des médecins m’appelle : « Un patient vous accuse de lui avoir mis un préservatif dans la bouche, m’explique-t-il. Il demande que vous soyez sanctionné et que vous lui versiez des indemnités. » Je lui ai donc expliqué, photos à l’appui­, que ce n’était pas un préser­vatif mais un doigté !

    (…) Le Nouveau Détective


    J’ai vu le mec arriver sur moi avec un long couteau. Je me suis protégé, parce que je ne pouvais pas fuir ni attraper un objet. J’ai reçu un premier coup sur mon bras, qui m’a coupé l’artère et quatre tendons. Dans ma tête, je me suis dit : “Ça y est, il vient pour me tuer.”

    Docteur Jean Kseib, dentiste à Tours

    Je lui disait : “Arrête, tu vas me tuer, j’ai des enfants.” Et il me répondait : “Oui je veux te tuer. Tu m’a tué, tu m’as mis un préservatif dans la bouche.”

    Docteur Jean Kseib, dentiste à Tours

    J’ai frôlé la mort plusieurs fois. J’ai vécu ma jeunesse au Liban pendant la guerre, avec les obus qui tombaient. J’ai vécu l’explosion à Beyrouth. J’ai été hospitalisé à cause du Covid. Je me suis dit : “Les autres ne m’ont pas tué, je ne veux pas mourir à cause de ça, de quelque chose de si bête.”

    Docteur Jean Kseib, dentiste à Tours

    France 3


    17/10/22

    Muni d’un couteau de 30 centimètres de long et d’un marteau, un homme de 41 ans a fait irruption dans un cabinet dentaire du quartier des Fontaines, à Tours, ce lundi un peu avant 14h. Mécontent d’une consultation intervenue quelques jours plus tôt, il s’est précipité vers le dentiste et lui a porté “de nombreux coups de couteau sur le tronc dont plusieurs dans le dos”, indique le procureur de la République de Tours, Grégoire Dulin, dans un communiqué.

    www.francebleu.fr