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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 737

  • Un ancien Ambassadeur de France à Alger : « [Selon l’Algérie] Les clandestins seraient le fruit d’une “certaine occidentalisation”, de notre “mauvaise éducation”, ils auraient été “contaminés” par nos “mauvaises mœurs” et on ne veut pas les voir revenir »

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2022

     
     

    Xavier Driencourt Ambassadeur de France à Alger entre 2008 et 2012, puis entre 2017 et 2020, auteur de L’ÉNIGME algérienne. Chroniques d’une ambassade à Alger (Éditions de L’OBSERVATOIRE, 2022), l’ancien diplomate explique l’état d’esprit des autorités algériennes, qui refusent d’accueillir les Algériens résidant en France et visés par une OQTF. Et il expose ce que peut faire le gouvernement français sur ce sujet.

    LE FIGARO. – L’affaire Lola attire l’attention publique sur les obligations de quitter le territoire français (OQTF), presque toujours inexécutées. Certains pays, en particulier l’Algérie, refusent de reprendre leurs ressortissants entrés ou restés illégalement en France. Pourquoi ?

    Xavier DRIENCOURT. – Beaucoup de pays refusent de reprendre les clandestins, le Maroc comme l’Algérie, la Tunisie comme le Mali. À ce refus, plusieurs raisons. D’une part, j’ai souvent entendu à Alger un argument assez spécieux, brandi officiellement par les diplomates algériens dans des réunions à haut niveau, argument comme quoi ces irréguliers seraient le « fruit d’une certaine occidentalisation », de notre « mauvaise éducation », ils auraient été en quelque sorte « contaminés » par nos « mauvaises mœurs » et on ne tient pas à voir revenir en Algérie ces mauvais sujets… qui d’ailleurs rentrent au pays mal accueillis par leur entourage. Et on nous disait cela sans rire.

    D’autre part, pour tous ces pays, pas seulement l’Algérie, cette émigration irrégulière de jeunes turbulents est aussi une variable d’ajustement démographique pour des pays dont 70 % de la population a moins de 30 ans ! Dans le fond, on nous « repasse » le problème en quelque sorte. Alors, les reprendre est un peu compliqué. Et puis, parfois, je dis bien parfois (mais j’ai entendu cela), on perçoit l’idée sous-jacente, en filigrane, que, dans le fond, tout ceci serait le résultat de la colonisation, ce serait en quelque sorte le prix à payer pour plus d’un siècle de colonisation…

    Une partie des observateurs et de la droite appellent à dénoncer les accords franco-algériens du 27 décembre 1968. Que contiennent ces accords ?

    Ces accords du 27 décembre 1968 ont été négociés et signés à une époque, celle des Trente Glorieuses, où la France cherchait, dans la foulée des accords d’Evian, à faire venir en France une main-d’œuvre algérienne francophone. De ce fait, ces accords comprennent de nombreuses dispositions dérogatoires par rapport aux autres nationalités, y compris les Marocains et les Tunisiens : certificat de résidence de 10 ans, régularisation des sans-papiers facilitée, regroupement familial accéléré, conditions d’intégration dans la société française assouplies par rapport aux autres nationalités, visas étudiants assez généreux etc. Beaucoup de facilités donc au bénéfice des Algériens.

    Pour autant, les accords de 1968 ne créent pas, pour un ressortissant algérien résidant en France, de dispositif dérogatoire et plus favorable s’il est visé par une OQTF. Les accords de 1968 portent uniquement sur les conditions d’arrivée et d’installation des Algériens en France.

    Les autorités algériennes tiennent tout particulièrement à ces accords de 1968. Nous avons essayé à plusieurs reprises de les renégocier, la dernière fois c’était en 2011, et à chaque fois, les accords ont été maintenus et modifiés à la marge. On pourrait effectivement considérer que ces accords de 1968 sont dépassés, car le contexte politique et économique a changé et donc mettre fin à ce dispositif. Il faudrait se mettre autour d’une table avec les Algériens et, de bonne foi, revoir tout le dispositif. Ce sera difficile, car il faut une forte volonté politique ; cela provoquera une crise diplomatique avec l’Algérie. C’est un peu « l’arme atomique » dans nos relations avec Alger.

    […]

     

    Le Figaro via fdesouche

  • Forêts françaises : Les coupes sauvages et les vols de bois se multiplient suite à la forte hausse des prix en Chine

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2022

    (…)

    À cent mètres, les Lafargue découvrent que la moitié de leur parcelle a été coupée. « Comme s’il y avait eu une tempête ou qu’une bombe était tombée là. » Une trentaine d’arbres abattus et emportés sans le moindre soin, des tas de branches enchevêtrées s’élevant sur trois mètres de haut. Des petits charmes sacrifiés pour accéder aux arbres les plus précieux. Un décompte sera effectué. Il manque 28 chênes et quatre hêtres, pour un préjudice avoisinant les 10 000€. Chez les Lafargue, la colère succède au choc. À l’indignation d’avoir été volés s’ajoute le chagrin de voir saccagé un trésor familial que l’on se transmettait de génération en génération. La parcelle appartenait à la belle-mère de Simon et, avant elle, à ses parents et à ses grands-parents.

    (…)

    Alors, lorsque Simon Lafargue découvre sa parcelle rasée le lundi de Pâques 2021, c’est logiquement à lui que l’agent de l’ONF recommande de passer un coup de fil. Car voilà plusieurs mois déjà que Didier Daclin a repéré que quelqu’un « tape comme un sourd » sur la forêt de Garche. Des coupes rases, à blanc, au-dessous de quatre hectares (2), comme l’autorisait a priori la législation, mais tout de même… Soupçonnant quelque chose d’anormal, le forestier a commencé à contacter les propriétaires des parcelles en question. Le Land Cruiser s’arrête devant l’unique arbre resté debout à l’orée d’une portion étroite. Planté dans le tronc du seul chêne survivant de la parcelle, un écriteau indique : « Forêt privée. Accès interdit. » « Le papy qui possède cette parcelle a les larmes aux yeux quand il en parle, soupire Didier Daclin. C’est moi qui l’ai informé que tout avait été rasé. » Plus loin, sur une autre parcelle, une fraction demeure richement peuplée de chênes de belle allure. Sur les 70 ares restants, le désert. « Il y avait un peu de monnaie ici ! grimace-t-il. Environ 27 000 € de bois. Ça a été rasé à blanc. Le mec qui a fait ça n’a laissé que les houppiers (les couronnes des arbres, NDLR) derrière lui. C’est pas un forestier, c’est un boucher-charcutier. » Quand Didier Daclin appelle le propriétaire de la parcelle pour lui annoncer que sa forêt s’est fait « ratatiner », ce dernier, un certain monsieur Dobigny, proteste : « Pas possible, j’ai vu un gars du CRPF, il devait s’en occuper… – Eh ben, il s’en est occupé. »

    (…)

    Voilà quelque temps déjà, dans ce monde minuscule qu’est la foresterie mosellane, que les soupçons commencent à s’orienter vers un individu en particulier. Un trentenaire qui a travaillé pendant plusieurs années au Centre régional de la propriété forestière de Moselle. Didier Daclin le connaissait bien. C’est lui qui l’a formé. (…) L’affaire n’étant pas jugée, le forestier hésite à prononcer son nom devant nous. Nous ne révélerons pas son identité. Appelons-le Arthur Fischer. (…) Au CRPF, Arthur Fischer se trouve donc chargé du regroupement forestier pour toute la Moselle. L’objectif est de convaincre les petits propriétaires de vendre leurs parcelles aux voisins qui se consacrent activement à la valorisation de leurs bois. Pendant des années, il enchaîne les réunions dans les villages, démarche à tour de bras, établit des plans de gestion, use de toutes les ressources disponibles pour acquérir une connaissance fine du cadastre. Le jeune homme se fait connaître et gagne l’estime du milieu. Ce n’est qu’au bout de plusieurs années que des rumeurs commencent à circuler. (…) Au CRPF, certains employés jasent sur son train de vie, qui semble bien supérieur à ses modestes revenus de forestier. Didier Daclin se souvient de cette assemblée de propriétaires organisée dans un château du nord du département. Arthur Fischer avait déboulé dans un crissement de gravier au volant d’une grosse cylindrée. Et c’est en pick-up qu’il arrive au travail. (…) Le jeune homme ne sait pas toujours expliquer à son patron d’où vient cette manne soudaine. Le pick-up aurait été prêté par un notable de Metz qui lui avait confié la gestion de ses bois. Et pour le reste ? Pas de réponse. Le forestier l’ignore encore : Arthur Fischer aurait commencé à se servir de sa position privilégiée au sein du CRPF pour identifier les « bons coups » à faire en forêt. Première dérive.

    (…)

    Profitant de ses fonctions, le jeune homme identifie des parcelles, de préférence mal connues de leurs propriétaires, se présente comme technicien du CRPF et leur propose après estimation de vendre au Groupement forestier des bois mosellans, sans leur dire nécessairement qu’il s’agit de son entreprise. Leur méconnaissance du marché offre des opportunités en or. Une source proche de l’enquête décrit un cas de figure typique : « Il repère une parcelle avec du chêne, il retrouve les propriétaires, il leur dit que la parcelle vaut 1 000 €, il l’achète à ce prix, puis il vend le bois pour 5 000 €. » Il achète d’abord cinq hectares en 2016, puis son affaire s’accroît rapidement, au fil de l’acquisition de dizaines d’hectares de parcelles. La conjoncture est généreuse. Du fait de la demande asiatique, le prix moyen du chêne a doublé depuis le début des années 2010, pour frôler les 200 € du mètre cube en 2018, un pic historique. Coupées sur place, une grande partie des grumes – les tronçons avec leur écorce – sont mises en containers avant d’être expédiées par cargo vers la Chine, qui engloutit 80 % des exportations de chêne français non transformé.

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    La Croix L’Hebdo via fdesouche

  • JO 2024 : 58% des Français doutent de la capacité du gouvernement d’assurer la sécurité de la quinzaine

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2022

    À moins de 650 jours de la cérémonie d’ouverture, l’État va devoir muscler son jeu. Défi majeur se dressant à la moitié du second mandat d’Emmanuel Macron, l’organisation des Jeux olympiques de Paris est un réel sujet d’inquiétude chez les Français. Le chaos de la finale de la Ligue des champions au Stade de France, le 28 mai, a laissé de profondes traces. Le dernier baromètre Fiducial/Odoxa pour Le Figaro révèle en effet que 58 % de nos compatriotes doutent de la capacité du gouvernement à assurer la sécurité de ce grand rendez-vous de 2024 et celui, en novembre 2023, de la Coupe du monde de rugby.

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    Dans le détail, les craintes des Français sont identifiées. Davantage qu’une tragédie de grande ampleur, les sondés craignent que les forces de l’ordre ne soient pas à la hauteur dans la prévention des vols (67 %) et des débordements (62 %) liés aux portiques forcés ou encore aux jets d’objets. Dans une proportion analogue, six Français sur dix disent craindre des affrontements entre supporteurs ou avec des casseurs. Un chiffre que l’on peut mettre en relation avec la récente percée du hooliganisme autour des enceintes sportives. En revanche, les sondés pensent majoritairement (60 %) que la sécurité devrait être garantie sur le front des attentats. Pour les analystes, les Français «anticipent probablement un contrôle drastique à l’entrée des stades et l’efficacité des services de renseignement».

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    Le Figaro via fdesouche

  • Armée chinoise: Des douzaines d’ex-pilotes britanniques forment des pilotes en Chine, “une menace pour les intérêts britanniques” (MàJ : La France également touchée)

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2022

    22/10/2022

    (…)

    Cette vidéo relayée sur Twitter en avril dernier offre un rare aperçu de la très discrète filière de recrutement de pilotes occidentaux par la Chine communiste, alors qu’elle se prépare à un potentiel conflit avec les États-Unis dans le détroit de Taïwan. « L’instructeur » trahit un accent français dans les bribes filtrant de la vidéo de ces pilotes en perdition dans la Chine profonde. Le Figaro est en mesure de confirmer qu’il s’agit bien d’un ancien officier chevronné de l’armée de l’air française, qui s’est éjecté avec son «élève» chinois, après un accident de chasseur JL-10. Un «mercenaire» recruté à grand prix pour accélérer la formation des pilotes chinois et leur apprendre, de l’intérieur, les tactiques employées par les armées de l’air de l’Otan.

    Cette campagne agressive de recrutement se poursuit, comme le révèle le témoignage exclusif d’un ancien pilote de l’aéronavale, récemment approché via une mystérieuse entreprise basée en Afrique du Sud. « L’offre était très alléchante. Ils cherchent des instructeurs qualifiés pour l’appontage sur porte-avions », explique François (prénom modifié), ancien pilote de Super Étendard sur le Charles de Gaulle. Un contrat à environ 20.000 euros par mois, net d’impôts, pour former les instructeurs chinois sur place pendant trois ans, proposé par l’agence Test Flying Academy of South Africa (TFASA). Plus que les juteux cachets offerts par le Qatar à ses instructeurs étrangers. «J’ai failli tenter l’aventure. Ce n’est pas une opportunité courante d’avoir un chasseur entre les mains, et là on me propose le manche d’un J-11», confie le quadragénaire, en référence au chasseur chinois dérivé du Sukhoi 27.

    Ce globe-trotter a déjà été instructeur dans plusieurs pays, notamment en Afrique. L’officine sud-africaine, pilotée par des Britanniques, sert de paravent aux ambitions aériennes chinoises, ciblant des «pilotes en manque d’adrénaline», juge un ancien militaire français. Plusieurs pilotes de chasse ont opéré en Chine ces dernières années, dont un ancien des forces stratégiques, selon nos informations.

    (…)

    Le Figaro


    Wokisme au Royaume-Uni: la Royal Air Force discriminerait les hommes blancs afin d’améliorer sa diversité (MàJ: des douzaines d’ex-pilotes britanniques forment des pilotes en Chine, “une menace pour les intérêts britanniques”)

    19/10/2022

    Tous les anciens militaires britanniques, qui ont accepté de former des pilotes militaires chinois, “améliorent très certainement les connaissances et les capacités militaires de la Chine”, a déclaré un responsable.

    La Chine a recruté des dizaines d’anciens pilotes militaires britanniques pour enseigner aux forces armées chinoises comment vaincre les avions de guerre et les hélicoptères occidentaux dans le cadre d’une “menace pour les intérêts britanniques”, ont révélé des responsables.

    Un fonctionnaire a déclaré qu’une trentaine d’anciens pilotes d’avions à réaction, mais aussi d’hélicoptères – attirés par des salaires annuels d’environ 240 000 £ – se trouvent actuellement en Chine pour former des pilotes pour l’Armée populaire de libération, dans ce qu’un analyste de la défense a décrit comme une stupéfiante atteinte à la sécurité nationale.

    Un officier supérieur retraité de la Royal Air Force a déclaré : “Wow… c’est épouvantable. Mais à quoi pensaient-ils ?”

    Pékin s’efforce activement d’embaucher de nombreux autres pilotes militaires, anciens ou en activité, et d’autres spécialistes de la RAF, de la Royal Navy et de l’armée britannique, ainsi que du personnel d’autres nations occidentales, a déclaré le responsable occidental.

    La situation est si grave que le service de renseignement du ministère de la défense a publié mardi une “alerte menace” pour mettre en garde le personnel militaire actif et ancien contre de telles approches.

    […]

    La Chine recherche des pilotes ayant une longue expérience du pilotage d’avions de guerre britanniques et d’autres avions de l’OTAN, notamment les avions de chasse Typhoon et Tornado et le jet de saut Harrier, qui opérait autrefois à partir de porte-avions britanniques, afin d’enseigner à ses pilotes la meilleure façon de contrer leurs capacités, a déclaré le responsable occidental.

    “Il ne s’agit pas de former des pilotes chinois sur des avions à réaction occidentaux. Il s’agit de prendre des pilotes occidentaux de grande expérience pour aider à développer les tactiques et les capacités de l’armée de l’air chinoise”, a déclaré le fonctionnaire.

    “Il s’agit en fait pour les Chinois de comprendre ce que seraient les tactiques les plus récentes, les approches et les capacités, si l’armée chinoise devait se trouver dans des situations de confrontation avec ce type de moyens.”

    Cela inclut également les hélicoptères militaires britanniques tels que les Wildcat et les Merlin.

    Il est entendu que la Chine a tenté de recruter d’anciens pilotes qui se sont entraînés sur le jet rapide F35 de cinquième génération, un appareil top secret dirigé par les États-Unis.

    Le fonctionnaire a déclaré qu’il pensait que ces efforts n’avaient pas abouti jusqu’à présent. Ces avions – d’une valeur de plus de 100 millions de livres sterling chacun – utilisent une technologie furtive très sensible développée conjointement avec les États-Unis et constituent une cible d’espionnage de choix.

    […]

    Francis Tusa, l’analyste de la défense, a qualifié ces révélations de “stupéfiantes”.

    “Soyons honnêtes, la Chine est un ennemi”, a déclaré M. Tusa à Sky News.

    “Et donc, nous avons des sujets britanniques qui ont décidé que leurs intérêts seraient mieux servis en enseignant à notre ennemi comment nous vaincre. C’est incroyablement effrayant”.

    […]

    Sky News

  • Europe : Une étude démontre que le vote des descendants d’immigrés de seconde génération est orienté à gauche, toutes variables économiques et sociales contrôlées

    Publié par Guy Jovelin le 22 octobre 2022

    Résumé
    Simone Moriconi, Giovanni Peri, Riccardo Turati
    CESifo, Munich, 2022

    Document de travail CESifo n° 9859

    Nous analysons si les immigrants de deuxième génération ont des préférences politiques différentes de celles des citoyens du pays d’accueil, toutes autres choses égales par ailleurs. En utilisant des données sur le comportement de vote individuel dans 22 pays européens entre 2001 et 2017, nous caractérisons chaque vote sur une échelle gauche-droite en utilisant la position idéologique et politique du parti à partir de la base de données Manifesto Project. Dans la première partie de l’article, nous caractérisons l’ampleur du “biais de gauche” dans le vote des immigrants de deuxième génération, après avoir contrôlé un large ensemble de caractéristiques individuelles et de facteurs inobservables des pays d’origine et de destination. Nous trouvons un biais de gauche significatif chez les migrants de deuxième génération par rapport aux natifs observés de manière identique, similaire en magnitude à l’association entre le biais de gauche et l’éducation secondaire, ou le fait de vivre dans des zones urbaines. Nous montrons ensuite que ce biais de gauche est associé à des préférences plus fortes pour l’intervention du gouvernement afin de réduire l’inégalité économique, ainsi que pour l’internationalisme et le multiculturalisme.

    Etude (en anglais) ci-dessous :

     

    descendants d'immigrés,europe,vote à gauche

     

    CESIFO via fdesouche