Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2022
Thomas Joly Président du Parti de la France

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Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2022
Publié par Guy Jovelin le 26 octobre 2022
Auteur : Fabien Laurent
Des militants du groupement écologiste «Scientist Rebellion»
se sont collés au sol du musée Porsche de Wolfsburg.
Les activistes qui s’étaient collé la main au sol chez un concessionnaire automobile allemand ont été piégés par le directeur du site qui les a laissés moisir pendant 42 heures : voici une excellente façon de remettre à leur place ces bobos-écolos-bourgeois. En effet, après avoir ignoré leur présence, l’homme a quitté les lieux laissant ces militants débiles sans chauffage ni lumière. Un vrai retour à la nature sauvage et non consommatrice d’énergie : à se rouler par terre de rire !
L’action se voulait symbolique, rapporte le Figaro, mais n’a pas eu l’effet escompté. Une dizaine de militants du groupement écologiste «Scientist Rebellion» se sont collés au sol du musée Porsche de Wolfsburg, en Allemagne, mercredi 19 octobre. Leur but ? Demander la décarbonation du secteur automobile allemand.
Le responsable a finalement appelé la police, laissant les manifestants englués au sol près des voitures durant près de 42 heures sans solution pour faire leurs besoins.
la majorité des internautes s’en donne à cœur joie pour ironiser sur la situation. «Ils voulaient la décarbonisation, c’est pourquoi le concessionnaire s’est senti obligé de couper le chauffage. La preuve qu’il prend la situation au sérieux», écrit un utilisateur.
Sources : Blick-Suisse / Le Figaro
Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022
Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022
La dame doit avoir environ 70 ans. Ce 1er avril, elle tend à Aurélien Pradié un sac de courses qui pèse lourd. «Vous rendrez ça à l’autre !» lance-t-elle au secrétaire général du parti Les Républicains. «Ce sont les livres de Sarko que mes copines et moi on a achetés. Vous les lui rendrez !» Nous sommes en pleine campagne présidentielle et Pradié repart de Royan (Charente-Maritime), où il vient de tenir une réunion publique, avec le sac sous le bras et armé d’une solide conviction : en s’abstenant de tout soutien vis-à-vis de la candidate LR Valérie Pécresse, et en faisant discrètement connaître son appui à Emmanuel Macron, «l’autre» a pris l’initiative d’un douloureux divorce.
[…]Tous savent que la dame au sac de courses est loin d’être un cas isolé. Durant la campagne présidentielle, les standardistes du siège de LR, rue de Vaugirard à Paris, ont dû traiter des dizaines – au bas mot – d’appels courroucés. «Elles ont vraiment souffert», témoigne un pilier du QG, dont les murs ont été délestés de quelques photos de l’ancien chef d’Etat. […]
En réalité, une explication à cette proximité recherchée par Nicolas Sarkozy circule si intensément au sein de la droite qu’il est impossible de ne pas l’exposer. Personne n’assume de la formuler à voix haute, car elle concerne la partie la plus gênante du sarkozysme : les ennuis judiciaires en série de l’ex-chef de l’Etat. En mars 2020, ce dernier a été condamné à trois ans de prison dont deux avec sursis pour «corruption» et «trafic d’influences» dans le dossier dit «des écoutes». Le procès en appel doit se tenir du 28 novembre au 14 décembre. Et il y a tant d’autres affaires. «La Libye, Bismuth, Bygmalion, c’est gros, explique un pilier de LR. On ne sait pas ce qui peut se passer. On a tout de même mis l’ancien ministre de l’Intérieur [Claude Guéant, ndlr] en prison. Ça lui fait peur. Il se dit que dans le doute, il vaut mieux être sympa avec le pouvoir.»
Un macroniste, observateur privilégié de ce manège : «C’est sûr que quand il voit son pote Patrick [Balkany] qu’il pensait intouchable, quasiment mourir en prison, il se dit que ça peut lui arriver. Sarkozy a une vision tellement “république bananière” de la justice qu’il pense que Macron va lui sauver la mise.» Celui qui parle ici est un interlocuteur très régulier de Nicolas Sarkozy, un connaisseur de son état d’esprit : «Oui, il a ses affaires judiciaires et il est emmerdé par toutes ses histoires. Donc il se dit que c’est toujours ça de pris d’avoir Macron de son côté. L’air de rien, même si les juges sont indépendants, le parquet ne l’est pas.» […]
Libération via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022
C’est un bien curieux imbroglio qui vient d’être détecté par la police marocaine des frontières: sous le coup d’une expulsion du territoire français, un individu, détenteur d’un laissez-passer authentique, délivré par le consulat général du Royaume à Paris, se révèle, en fait, être tunisien. Les explications.
Mercredi 19 octobre à l’aéroport de Casablanca. Un policier aux frontières examine le laissez-passer d’un citoyen marocain, expulsé depuis la France. Le nom, inscrit sur ce laissez-passer délivré par le consulat général du Maroc à Paris est bien enregistré dans sa base de données. Mais l’examen des traits de cet individu, dont les initiales sont S.M.A, et celui de ses empreintes digitales ne correspondent pas à l’identité du citoyen marocain, dont les données étaient accessibles sur son écran.
Ces vérifications préliminaires ont permis au policier de parvenir à cette conclusion certaine: l’homme qui se tenait devant lui n’était pas celui dont le nom était mentionné sur le laissez-passer, délivré par le consulat du Maroc à Paris.
La photographie et les empreintes ne concordaient pas avec l’identité de ce citoyen marocain, dont le nom avait été soumis par les autorités françaises à l’ambassade du Maroc, en France, en vue de délivrer un laissez-passer, document indispensable à son expulsion du territoire français.
La supercherie est vite apparue au grand jour. L’homme, qui est présenté comme un Marocain, se nomme Ahmed Ben Ali, et il est, en fait, de nationalité tunisienne.
Si son laissez-passer est authentique, la photographie d’identité qui l’accompagne n’est pas celle de ce citoyen marocain répondant aux initiales de S.M.A, pour lequel la demande de ce document avait été formulée par les autorités françaises.
(…)
L’abject assassinat de Lola, une collégienne de 12 ans, le 14 octobre dernier, par une femme de nationalité algérienne, a vivement ému l’opinion publique française.
L’assassin présumé de l’enfant faisant justement l’objet d’une OQTF, le débat sur les expulsions d’immigrés clandestins a donc repris de plus belle.
(…) D’après ce que m’a affirmé M. Chakib Benmoussa, alors ambassadeur du Maroc en France, « le Maroc n’a jamais refusé de rapatrier ses clandestins, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s’occuper ». M. Benmoussa est un homme de parole. Il ne dit pas n’importe quoi. Le malentendu est là. Peut-être que les autorités de Rabat auraient dû s’expliquer officiellement sur cette question.