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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 758

  • 25 octobre 732 : Charles Martel arrête les Arabes à Poitiers

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022

    En 711, soit à peine 80 ans après la mort de Mahomet, les musulmans atteignent l’Espagne, qu’ils traversent en 8 ans, et occupent en 719 le Languedoc actuel. Cette province, entre les Pyrénées et le Rhône, s’appelle alors Gothie, en souvenir des Wisigoths, ou Septimanie, d’après ses sept villes principales (sa capitale Narbonne, Agde, Béziers, Nîmes, Maguelone, Lodève et Elne). Arrêtés à Toulouse, en 721, par le duc Eudes d’Aquitaine, ils tournent alors leurs regards vers l’Est et prennent Nîmes, Arles et Autun en 725.

     

     

    En 732, ils s’approchent de Tours, la ville de Saint Martin.
    A la demande de l’Eglise, le Duc des Francs, Charles Martel, vient au secours d’Eudes, Duc d’Aquitaine. Après avoir rassemblé une armée à la hâte, Charles Martel rejoint les troupes musulmanes, à Moussais, à proximité d’une voie romaine reliant Châtellerault à Poitiers. Le samedi 25 octobre 732, 1er jour du ramadan, les envahisseurs musulmans se décident à engager la bataille, au nord de Poitiers. Leur chef, Abd al-Rahman, est tué pendant la bataille. Sa cavalerie, légère et désordonnée, se heurte au « mur infranchissable » que forment les guerriers francs, à pied, mais disciplinés et bardés de fer. De son côté, Charles Martel attribue sa victoire à l’intercession de la Vierge Marie et parle des anges combattant aux côtés des Francs.

    C’est son fils, le roi Pépin le Bref, qui va libérer Narbonne et chasser définitivement les musulmans de Septimanie en 759, trois ou quatre décennies après leur arrivée.

     

    Source : contre-info

  • Hommage à Lola

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2022

    Une personnalité connue qui voudrait rendre hommage à Lola ferait face à cette inévitable question des journalistes : « n'avez-vous pas peur que votre hommage se mêle à la récupération que fait l'extrême-droite de ce fait divers ? »
    La personnalité en question, pour s'éviter ce genre de questions susceptibles de lui porter préjudice, préfère se taire et laisser son hommage dans sa poche.
    Une sorte de prise d'otage mentale orchestrée par les médias. Similaire à celle qui s'opérait au moment de George Floyd : à l'inverse, mais d'après le même schéma, si vous ne faisiez pas un tweet pour dénoncer le crime, vous étiez suspecté, pour ne pas dire accusé d'être indifférent au sort de ce pauvre bonhomme.
    Il fallait obligatoirement rendre hommage à Floyd sinon vous étiez soupçonnable de racisme. Aujourd'hui, il ne faut surtout pas rendre hommage à Lola sinon vous êtes soupçonnable de racisme.
    C'est pour cela d'ailleurs que toutes les personnalités connues du petit milieu ont parlé de Floyd : parce que c'était une obligation quasi-contractuelle officieuse pour exister dans les médias. Et c'est pour cela aussi que les mêmes personnalités ne disent pas un mot sur Lola.
    En mettant l'accent sur « la récupération » et en l'associant à l'extrême-droite, ils ont empêché que le monde civil s'empare de cette question. C'est du sabotage volontaire, stratégique, politique.
    Les médias sont les matons d'une immense prison mentale.
    Jonathan Sturel
     
    Peut être une image de 5 personnes, personnes debout et plein air
     
     
     
     
     
     
  • Anne a accepté d’accueillir une famille de réfugiés se disant “ukrainiens” pour une courte durée mais ils sont toujours chez elle 6 mois plus tard: “On nous prend pour des pigeons”

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2022

    (…)

    Mais Anne et son mari avaient indiqué souhaiter mettre leur logement à disposition bénévolement pour 3 mois. Si elle a décidé de pousser le bouton orange Alertez-nous, c’est parce que les réfugiés sont toujours chez eux plus de 6 mois plus tard. “Et nous ne voyons aucune perspective“, dit-elle. “Nous avons contacté les différents organismes qui s’occupent des réfugiés ukrainiens et on nous a répondu que maintenant qu’ils étaient placés, ça n’était plus de leur ressort. Mon sang n’a fait qu’un tour.

    Le CPAS a alors indiqué aux bénévoles que c’était à eux de trouver un logement pour la famille. “Ça devait juste être un accueil d’urgence pour permettre à l’Etat de se retourner“, soupire-t-elle. “Et en fait, maintenant, c’est à nous de jouer les assistants sociaux et de passer des heures au téléphone pour trouver une solution.” Et pour l’instant, le couple de Charleroi n’en trouve pas. “Ils ont uniquement un revenu du CPAS donc c’est compliqué“, explique Anne. ” De plus, les propriétaires sont très méfiants de leur statut de réfugiés ukrainiens et de leur confession musulmane. Je ressens même parfois des réactions d’animosité à leur encontre.

    (…)

    www.rtl.be via fdesouche

  • Halloween ou l’américanisation des peuples

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2022

    Auteur : 

    La prétendue fête d’Halloween fait désormais partie du paysage. Elle revient chaque automne, pour nous rappeler dans quel triste état nous sommes. Voilà une fête instituée par on ne sait qui. Elle se répand par imitation, comme la mode vestimentaire ; pour ne pas dire par contagion, comme la maladie. « Les voisins fêtent Halloween. On a parlé d’Halloween à la télévision. Que faites-vous pour Halloween ? »

    Le simple fait que cette fête soit nouvelle devrait suffire à la faire rejeter, par principe, par instinct. Tout le monde devrait se dire : « Mais enfin, qu’est-ce que c’est que cette histoire d’Halloween ? Cette fête n’est pas de chez nous , nous ne la connaissons pas. »

    Mais les Français n’ont plus cette saine méfiance devant la nouveauté. On peut leur changer leur religion tous les jours, ça ne leur fait plus rien. Et puis même la maîtresse en a parlé, donc, allons-y quoi !

    Et puis c’est américain, donc c’est forcément bien ! Nous mangeons américain, nous nous habillons américain, nous parlons américain, nous donnons à nos enfants des prénoms américains (quel crève-cœur !) ; nous faisons même la guerre pour l’Amérique. Au point où nous en sommes, pourquoi ne pas aussi adopter leurs fêtes ?

    Bravo aux militants de la section Mexique de Civitas pour leur action contre Halloween ! C’est un exemple à imiter. Français, refusons l’américanisation, redevenons ce que nous sommes !

    Jules Putois

     

    Source : medias-presse.info

  • Le gouvernement Meloni est né : les plus et les moins

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2022

    Auteur : 

    Le gouvernement du nouveau Premier ministre italien est lancé : Giorgia Meloni et ses ministres ont prêté serment devant l’indéboulonnable Président de la République italienne Sergio Mattarella, toujours à la manœuvre

    La présidente de Frères d’Italie, le parti qui a remporté les élections, devient ainsi le 31e Premier ministre mais le premier à être une femme. « Je jure d’être fidèle à la République, d’observer loyalement la Constitution et les lois et d’exercer mon mandat et mes fonctions dans l’intérêt exclusif de la nation », a déclaré Giorgia Meloni, émue, répétant la formule standard, la même aussi pour les ministres.

    Il y a des signes indéniablement positifs et très innovants dans la naissance du gouvernement Meloni. Tout d’abord la vitesse avec laquelle il a été formé. Les négociations entre les partis de centre-droit, pourtant compliquées et non sans surprises, ont rapidement abouti à une synthèse qui a satisfait tous les acteurs du terrain. Et c’est certainement un mérite du centre-droit, qui le différencie de ceux qui l’ont précédé. Même le chemin qui a conduit à la naissance de gouvernements de solidarité nationale, comme celui dirigé par Draghi, a été parsemé de veto et de négociations épuisantes.

    « L’autre signe de bon augure, note le quotidien italien catholique conservateur, LNBQ, est l’originalité des noms de certains ministères, qui se transforment en quelque chose de moins conventionnel et idéologique et décidément plus pragmatique. Quelques exemples : le ministère de l’Éducation, attribué à Giuseppe Valditara, devient le ministère de l’Éducation et du Mérite, comme pour souligner la nécessité de surmonter une idéologie de gauche dévastatrice dans le monde scolaire qui, au fil du temps, a produit l’homologation et l’aplatissement vers le bas, sans améliorer l’excellence et de vraies compétences ; Eugenia Roccella, qui s’est toujours distinguée par sa sensibilité marquée aux principes de la famille naturelle, est désignée pour le nouveau ministère de la famille, de la natalité et de l’égalité des chances.

    « Troisième exemple : le ministère de la Transition écologique est annulé, remplacé par un ministère de l’Environnement et de la Sécurité énergétique, confié à Paolo Zangrillo. En d’autres termes, l’idéologie, ou plutôt l’idolâtrie verte, cède la place à une vision plus équilibrée de la relation entre l’homme et l’environnement, qui prend en compte la nécessité de ne pas trop pénaliser le développement économique et les initiatives entrepreneuriales.

    « Quelques défauts ne manquent cependant pas. Le ministère de la Santé est confié à Orazio Schillaci, qui était conseiller du ministre sortant, ayatollah du passe sanitaire, Roberto Speranza. On aurait peut-être pu s’attendre à une plus grande discontinuité, tant dans la gestion de la structure ministérielle que dans les positions sur le Covid, mais évidemment le nouveau titulaire du Ministère devra être évalué sur les faits et sur les choix concrets qu’il fera.

     «Par ailleurs, la suppression de toute référence au numérique apparaît discutable. Qui portera les projets de numérisation initiés jusqu’à présent par Vittorio Colao ? Il est important pour l’Italie de renforcer les infrastructures de réseau et d’assurer une couverture adéquate, d’ici 2026, de l’ensemble du territoire national du côté du haut débit et de l’ultra haut débit. »

    Le plus discutable est cependant la nomination au Ministère des Affaires étrangères de l’européiste convaincu, Antonio Tajani, ancien Président du Parlement Européen. Après des jours de débats et de polémiques, le coordinateur national de Forza Italia a été nommé nouveau ministre des Affaires étrangères et vice-Premier ministre du gouvernement dirigé par Giorgia Meloni. Et son premier acte à la tête de la Farnesina trace une direction : sa première action en tant que ministre des Affaires étrangères sera « un appel téléphonique à son collègue ukrainien Dmytro Kuleba » pour exprimer « la solidarité et la proximité avec un pays envahi par la Russie qui, avec le soutien de l’Otan et de l’UE, défend son indépendance ». La réaction du Président ukrainien Zelensky ne s’est pas fait attendre :

    « Je me réjouis de la poursuite d’une coopération fructueuse pour assurer la paix et la prospérité en Ukraine, en Italie et dans le monde ».

    Même Ursula von der Leyen qui avait menacé l’Italie de « représailles » économiques avant ces dernières élections si les Frères d’Italie arrivaient en tête, a envoyé ses félicitations au nouveau gouvernement :

    « Prêt à travailler de manière constructive avec Meloni ». Tous les plus hauts responsables de l’UE ont félicité la nouvelle première ministre italienne et son équipe. Des signes qui, en théorie, n’augurent rien de bon mais en réalité il faudra attendre les faits pour juger de ce nouveau gouvernement.

    Comme l’écrivait Mgr Viganò le 27 septembre dernier après l’annonce de la victoire de Giorgia Meloni, cette dernière, « ne pourra manquer de prendre en compte le fait que ses électeurs exigent d’elle des choix radicaux, et qu’ils considèrent sa modération préélectorale simplement comme un geste stratégique pour rassurer « les marchés ». Des choix que même beaucoup dans la Lega et dans Forza Italia verraient favorablement, au-delà du zèle vaccinal et du zèle belliciste de tel ou tel parlementaire ou gouverneur ».

    A Giorgia Meloni, intronisé Premier ministre, de faire maintenant les bons choix pratiques pour l’Italie et les Italiens, choix qui se conjuguent avec moins d’Union Européenne et plus de souveraineté, moins d’atlantisme et plus de réalisme. Sans eux, elle ne pourra que décevoir les Italiens qui l’ont porté à la tête de l’exécutif italien… et être finalement rejetée.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info