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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 761

  • Pénurie volontaire de carburant : avec un salaire proche des 70 000€ bruts annuels, les ouvriers des raffineries Total sont bien au dessus du salaire médian en France.

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2022

    Concarneau. La pénurie d'essence atteint la ville - Brest.maville.com

    Les communistes très bien payés de la CGT n’en ont jamais assez : parfaitement égoïstes, ils sont près à mettre dans le plus grand embarras les travailleurs français pour leur petit intérêt.  C’est une mentalité à part, typique de leur idéologie.
    On notera la complaisance du gouvernement face à cette prise d’otage.

    « On a vu partout des queues interminables dans des stations-services. On a vu des scènes tendues entre automobilistes. On a vu un scénario bien huilé se répéter une nouvelle fois : quelques grévistes prendre en otage des centaines de milliers de personnes.

    Il n’est pas courant que le secrétaire général du 1er syndicat de France désavoue les pratiques du deuxième. Pourtant, c’est ce qui s’est passé samedi matin quand Laurent Berger, au nom de la CFDT et au micro de « On n’arrête pas l’éco », a vertement reproché à la CGT de mener une grève préventive chez TotalEnergies, sans même chercher à négocier.

    C’est bien ce que l’on a sous les yeux : une date de négociation sur les salaires avait été calée, c’était prévu en novembre, date que Total s’est déclaré hier prêt à avancer à tout de suite. Bien sûr, il y aura à la fin une forte hausse des salaires chez TotalEnergies ; Mais la CGT fait grève pour exiger 10% de revalorisation, sans discuter.

    Du coup, il est utile de connaître précisément l’enjeu de ce conflit.

    L’ouvrier en 3/8 en raffinerie TotalEnergies en Normandie a un salaire brut annuel de 40.000 euros bruts, auxquels s’ajoutent des primes de poste et d’ancienneté ainsi que d’autres éléments variables. Sans oublier l’intéressement et la participation. Le total est plus près de 70.000 euros bruts par an que de 60.000, et la participation sera beaucoup beaucoup plus élevée cette année, avec les résultats exceptionnels de la société. Ces chiffres sont évoqués par l’entreprise, on imagine que s’ils ne sont pas exacts, la CGT les démentira.

    Tout cela, c’est bien au-dessus du salaire médian en France. Sans oublier le droit à 5 ans de préretraite payés par l’entreprise pour pénibilité.

    Alors, attention : il ne s’agit en aucun cas de dire que ces salaires sont trop élevés par rapport à la qualification et aux postes occupés : on ne se permettra pas de porter un tel jugement – même si j’ai une petite idée de la réaction de nos auditeurs quand ils entendent ces chiffres ! Il s’agit juste de constater les pouvoirs exorbitants que donne depuis des années la capacité de bloquer un pays, avec toujours l’étrange soutien d’une partie de l’opinion. » (de Dominique Seux – source)

  • L’erreur économique de l’immigration

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2022

    ndf
    Posté par Jean-Gilles Malliarakis  Il y a 22 heures

    Dans notre précédente chronique nous nous sommes attachés à rappeler que “l’indigénisme”, le “wokisme”, et l’islamo-gauchisme procèdent tous de l’inversion totale des faits. Ils supposent une manière d’ignorance organisée de l’histoire dès lors qu’ils transforment, en quelque sorte, les immigrés en envahisseurs “légitimes”.

    Or, une question essentielle demeure : “Qui les a fait venir ?”, d’autant plus que ce processus ne relève pas des mystères oubliés du passé mais de leur prolongation en tant que réalité du présent. Certes l’étude des grandes invasions d’autrefois démontre qu’en général elles ont été précédées de phénomènes migratoires, du mercenariat militaire sous l’Empire romain, et du déclin démographique inhérent aux peuples civilisés.

    Une hypocrisie récurrente et à courte vue nous serine à l’envi, depuis 50 ans, que “les immigrés exécutent les travaux que les Français ne veulent pas faire”.

    Ce raisonnement faux et sommaire tire aussi ses arguments de tous les constats superficiels sur les “manques de main-d’œuvre”. On les déplore ainsi actuellement dans certains secteurs comme l’agroalimentaire, l’hôtellerie-restauration, le transport voire l’ingénierie. Merci au “quoiqu’il en coûte” de Macron en 2020. Merci aussi à la retraite à 60 ans inventée par Mitterrand en 1981 dans l’espoir de réduire le chômage. Merci aux 35 heures des lois Aubry de l’an 2000. Merci aussi, dans l’artisanat, à la pseudo-réforme Fillon de 2003. Tout cela vient donc de loin. L’une des raisons invoquées se polarise certes aujourd’hui sur une indemnisation du chômage jugée trop généreuse. Et un tel argument, qui n’est pas entièrement faux, braque le débat sur la réforme de l’assurance chômage voulue par le gouvernement et combattue par la gauche

    Mais on doit retenir surtout deux failles imparables de cette rhétorique :

    1° l’évolution du recrutement des éboueurs parisiens a prouvé, à partir des années 1990, qu’à partir d’un certain niveau de rémunération, d’une amélioration de leurs conditions de travail et d’un meilleur respect envers les tâches manuelles, les Français acceptent précisément ces emplois, que l’école républicaine laïque et obligatoire, relayée par le cinéma, dénigre dès l’enfance.

    2° quant aux immigrés eux-mêmes, pas plus bêtes que les Français leurs raisonnements se révèlent largement parallèles. Croire le contraire caractériserait précisément le “racisme”. Si les allocations sont supérieures aux salaires, ils choisissent l’assistanat. Si l’accès à la protection sociale ne nécessite pas d’effort contributif, ils se dispensent volontiers d’y cotiser. Il est vrai qu’une partie d’entre eux réalise dans le secteur de la délinquance ordinaire ou du trafic de drogue des performances très supérieures à celles de la moyenne nationale…

    On en arrive enfin à la nouvelle formulation du précédent discours et l’on entend dire désormais : “les immigrés illégaux font le travail que les immigrés réguliers ne veulent plus faire”. Oui la boucle de l’immigrationnisme est bouclée.

    Néanmoins certains cercles continuent de croire qu’en subventionnant la CGT, on “achète la paix sociale” et que l’immigration constitue effectivement une “armée de réserve” au service du capitalisme.

    Ce préjugé marxiste existait déjà en 1864. La Première Internationale se réunissait à Londres et Karl Marx y développait ses thèses dans sa fameuse adresse inaugurale. Le prophète du British Museum croyait alors pouvoir démontrer que les conditions de vie de la classe ouvrière ne pourraient aller qu’en se dégradant. Et, surtout, la première revendication formulée alors par l’Association naissante fut de s’opposer l’immigration de main-d’œuvre qui conduisait des ouvriers belges à travailler en Grande Bretagne.

    Toute l’Histoire économique réelle tend à démontrer le contraire des postulats marxistes. Ce n’est certainement pas la traite négrière qui a permis la révolution industrielle. Celle-ci ne s’est pas accomplie dans le monde islamique, la plus esclavagiste de toutes les sociétés humaines avant même le communisme, ni d’ailleurs dans les plantations antillaises de canne à sucre, encore moins au Sierre Leone et au Bénin fournisseurs du malheureux “bois d’ébène”. Si elle s’est développée en Angleterre au XVIIIe siècle c’est précisément, en grande partie, parce que les salaires y étaient alors les plus élevés d’Europe.

    Il est vrai que Marx n’a retenu des premiers économistes, ceux qu’on appelle les classiques, Adam Smith et Ricardo, que leur approximation erronée de la “valeur travail”. Mais c’est sur la base de la théorie de la plus-value et de l’accumulation, qui en découle, que technocrates et autres immigrationnistes ont bâti leurs modèles purement quantitatifs.

    Michel Debré résume leur programme et leur paradigme. Nommé par Jean Moulin parmi les experts pour contribuer au programme planiste de la Résistance, il devint sous la quatrième république l’un des plus redoutables opposants au parlementarisme. Enfin principal rédacteur de la constitution de 1958, il sera nommé en 1959 premier chef du gouvernement de la cinquième république. Michel Debré père de la constitution de 1958. Il théorisait que “si nous étions 100 millions de Français” nous serions une grande puissance et que par conséquent, si nous ne pouvons y parvenir par la natalité, nous devons recourir à l’immigration.

    Si ma tante en avait quatre, observe avec bon sens un proverbe américain – moins grossier que sa version française, – elle serait un autobus.

    > Jean-Gilles Malliarakis anime le blog L’Insolent.

  • les députés et sénateurs vont être augmentés de 254 euros !

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2022

    lafautearousseau

     

    Une provocation pure et simple, au moment où notre "semble-gouvernement" de bons à rien et d'incapables nous demande des efforts et nous annonce - mais, pour nous, pas pour lui ! - "la fin de l'abondance" : les députés et sénateurs vont être augmentés de 254 euros ! D'accord avec Franbçois Pupponi :

    "Je suis atterré. Revaloriser l’indemnité de fonction des députés, ça me paraît surréaliste. Dans le contexte actuel… Bien entendu que ça va hurler."

    (extrait vidéo 1'03)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1578759858894999553?s=20&t=JtLRKOFcfXHwG3QE-NWowA

    SYSTÈME POURRI,

    QUI SE FOUT DE NOUS

    ET NOUS PROVOQUE !

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  • L'Hôtel de Ville de Paris envahi par des... envahisseurs

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2022

    lafautearousseau

     

    L'Hôtel de Ville de Paris envahi par des... envahisseurs (car c'est ce qu'ils sont, même si les bobos/gauchos/trotskos, et le pape François, veulent nous imposer le terme, faux, de "migrants" : Alexandre Devecchio dit très bien ce qu'il faut dire et répéter sans cesse (dans Ça se Dispute) :

    "On a l’impression d’avoir affaire non pas à des migrants qui veulent s’en sortir, mais à des envahisseurs. C’est peut-être exagéré, mais je crois que pour beaucoup de nos concitoyens, c’est ce qu’ils ressentent"

    (extrait vidéo 1'34)

    https://twitter.com/CNEWS/status/1578805318108094464?s=20&t=sDRSMRa8hHQgghbOTzvhjA

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  • Le patron de la PJ de Marseille - Eric Arella - démis de ses fonctions

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2022

    Nous parlions ici-même, hier de la crise dans la Police judiciaire et du patron de la PJ de Marseille - Eric Arella - démis de ses fonctions (une décison plus que "très mal vécue" par la très grande majorité des membres de la PJ : le lendemain, un accueil glacial (doux euphémsime !) fut réservé au DGPN, Frédéric Veaux, dans les locaux de la police judiciaire de Marseille. D'accord avec Gilbert Collard :

    "Comme Le monde est petit en Macronie : Frédéric Veaux, DG de la police, qui a viré le patron de la PJ de Marseille, est marié à Véronique Malbec, directrice de cabinet du garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti et nommée par Ferrand au Conseil Constitutionnel en février 2022 !"

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    Source : lafautearousseau