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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 772

  • Caen (14) : Le Coran d’une lycéenne interne aurait été déchiré et son voile jeté à la poubelle. Le parquet a été saisi. L’inspectrice d’académie condamne un “acte intolérable qui prive une élève d’un de ses droits fondamentaux”

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Coran déchiré, voile à la poubelle : une lycéenne de Caen "choquée mais surtout blessée"

    Une élève de confession musulmane, interne au lycée Jean Rostand de Caen, a été attaquée pour sa religion jeudi 13 octobre 2022. La jeune femme est “blessée” par ces actes mais ni elle, ni sa famille ne veulent porter plainte dans une “démarche d’apaisement”.

    Lorsque la lycéenne pensionnaire de l’internat du lycée Jean Rostand de Caen retourne dans sa chambre ce jeudi 13 octobre 2022, elle retrouve son coran déchiré et son voile dans la poubelle : “elle a été choquée mais surtout blessée par cette attaque qui vise sa religion” nous explique Sébastien Duval-Rocher, proviseur de l’établissement. “Mais heureusement que son intégrité physique n’a pas été atteinte” ajoute-t-il.

    Les faits se sont déroulés dans les murs du lycée où elle est interne. Des actes “violents” qui suscitent l’incompréhension : “j’ai été sidéré par ce qui s’est passé, mes collègues aussi. Nous sommes un lycée habitué à l’ouverture d’esprit et à la tolérance et nous acceptons toutes les confessions. C’est inadmissible qu’un élève vive ça”  lance Sébastien Duval-Rocher. Le chef d’établissement s’est aussi exprimé en interne à travers un e-mail destiné aux élèves et au corps enseignant pour dénoncer “un acte indigne, intolérable, juridiquement condamnable”.

    Le Parquet de Caen a été saisi par la directrice de l’Inspection académique, en vertu de l’article 40 du Code de procédure pénale. Armelle Fellahi, l’inspectrice d’académie dans le Calvados condamne : “cet acte intolérable qui prive une élève d’un de ses droits fondamentaux”.

    De leur côté, la jeune fille de confession musulmane et sa famille ne souhaitent pas s’exprimer et n’ont pour l’instant pas souhaité porter plainte “dans une démarche d’apaisement, ils ne veulent pas que cette histoire prenne plus d’ampleur” nous confie le chef d’établissement.


    L’auteur des faits n’a pas encore été identifié

    S’agit-il d’un acte commis par un élève ? “Nous n’avons pas encore identifié l’auteur des faits mais c’est forcément quelqu’un au sein du lycée qui a fait ça” selon Sébastien Duval-Rocher. Et le proviseur espère trouver “le coupable” pour avant tout “discuter, comprendre et surtout mener avec l’individu en question tout un travail autour des questions sur la tolérance“.

    Aborder cet événement, échanger sur la tolérance avec les élèves et les sensibiliser, c’est en effet l’objectif du lycée Jean Rostand. Toute la semaine prochaine, des enseignants interviendront en cours d’histoire-géographie, de philosophie et d’enseignement moral et civique dans le cadre de « la semaine de la liberté d’expression ». Une semaine d’hommage à Samuel Paty, ce professeur d’histoire-géographie au lycée de Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, qui est mort sous les coups d’un fou de dieu il y a deux ans. 

    france3-regions.francetvinfo.fr via fdesouche

  • Un groupe d’extrême-gauche publie sur internet les plans de nombreux centres de rétention administrative

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Ce n’est peut-être pas tout à fait ainsi que le gouvernement imaginait les progrès de l’open data des données publiques. Geispolsheim, Hendaye, Lyon, Mayotte, Le Mesnil-Amelot, Metz, Perpignan… Grâce au travail d’un collectif d’extrême gauche, abaslescra, les plans détaillés de nombreux centres de rétention administrative (CRA) français sont actuellement consultables sur Internet, en quelques clics.

    En théorie, les CRA ne font pas partie de l’univers carcéral. Ils permettent seulement de maintenir des étrangers en situation irrégulière en milieu fermé, en attendant leurs renvois forcés ou que la justice statue sur leur sort. C’est par l’un de ces centres qu’aurait dû transiter l’imam Hassan Iquioussen, par exemple, en attendant son expulsion vers le Maroc. En pratique, comme l’explique Dominique Ledourner, du syndicat Unité SGP Police, « les centres de rétention sont devenus des prisons qui ne reçoivent pas que des enfants de chœur. Des terroristes condamnés, expulsables en fin de peine, peuvent y passer ». […]

    S’agit-il d’aider les personnes retenues à s’enfuir ? Auquel cas les auteurs de cette mise en ligne se rendraient coupables de complicité – par fourniture de moyens – d’évasion, plus précisément « d’extraction au placement et maintien en rétention », délit puni de trois ans d’emprisonnement. […]

    Selon Dominique Ledourner, le présumé « système d’exploitation et d’humiliation » tiendrait plutôt du bricolage sur le point de craquer. « Les CRA manquent terriblement de personnel et de moyens, nous tirons la sonnette d’alarme depuis des mois. J’ai vu des photos d’une porte de centre immobilisée par un banc, lui-même calé par un pare-choc de voiture ! Les bâtiments ne sont pas du tout adaptés au rôle qu’on leur fait actuellement jouer. » […]

    Le Point via fdesouche

  • Rixheim (68) : trois mineurs mis en examen après des tirs de mortiers sur des logements privés de la gendarmerie, l’un d’entre eux placé en détention provisoire

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Trois mineurs ont été mis en examen pour “tentative de destruction par moyens dangereux en raison de la qualité de militaire de la gendarmerie des occupants des bâtiments”, ce vendredi par un juge d’instruction de Mulhouse suite à l’attaque à coups de mortiers d’artifice des logements privés de la gendarmerie de Rixheim, dans la nuit de mercredi à jeudi.

    Défavorablement connu des services de police, l’aîné des trois jeunes hommes âgés de 15 à 18 ans a été placé en détention provisoire, conformément à la demande du parquet. Le deux autres, “pas connus” de la justice ont eux été placés “sous contrôle judiciaire strict“, précise ce samedi soir la procureure de la République de Mulhouse, Edwige Roux-Morizot.

    Ces trois jeunes hommes originaires de Rixheim ont été interpellés moins de 24 heures après les faits. Les tirs de mortiers d’artifice n’ont pas occasionné de blessés ni causé de dégâts.

    France Bleu via fdesouche

  • Hongrie : évoquant la « guerre à l’Est » et les frontières assiégées par des « migrants illégaux », Viktor Orban renforce son armée

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a tenu un discours martial ce samedi pendant une cérémonie de prestation de serment de soldats volontaires marquant également l’arrivée de nouveaux véhicules blindés de combat Lynx, de fabrication allemande. Fidèle à sa ligne très conservatrice, le premier ministre hongrois a évoqué la guerre, et l’immigration.

    Il y a un énorme danger. À l’est, les fusils retentissent et la guerre fait rage. Et à l’ouest, des quantités innombrables d’armes affluent vers le front._Et comme si cela ne suffisait pas, l’Europe est assiégée par des dizaines et des centaines de milliers de migrants illégaux à nos frontières méridionales, dont des groupes armés parcourent les campagnes” a-t-il déclaré.

    Le Premier ministre hongrois a appelé à raviver l’esprit militaire en se préparant pour ne pas se laisser distancer par d’autres nations, a-t-il dit.

    Si le budget hongrois de la défense a récemment augmenté, ces dernières années les dépenses militaires ont été très largement consacrées à la lutte contre l’immigration.

    Le véhicule de combat allemand Lynx présenté lors de la cérémonie comprend, entre autres, une mitrailleuse et un missile antichar. Selon le ministère de la défense, d’ici 2023, l’Allemagne fournira 46 véhicules au pays, et d’ici 2029, 172 de ces blindés seront produits en Hongrie.

    Euronews via fdesouche

  • Nantes : une femme de 47 ans retrouvée morte en pleine rue, elle a été tuée à coups de couteau ce dimanche matin

    Publié par Guy Jovelin le 16 octobre 2022

    Une femme d’une quarantaine d’années a été poignardée, ce dimanche 16 octobre 2022, boulevard Jean-Moulin, à Nantes. Malgré l’intervention des secours, elle n’a pu être réanimée.

    C’est au petit matin, à 6 h 37, que les pompiers sont intervenus, ce dimanche 16 octobre, au n° 1, boulevard Jean-Moulin, dans le quartier Bellevue, à Nantes. Dans cette zone occupée par des entreprises, une femme d’une quarantaine d’années a été poignardée. D’après nos informations, des témoins ont entendu une femme appeler « Au secours, au secours » dans la rue.

    Les témoins auraient vu cette femme poursuivie par un homme qui aurait tenté de l’attraper par les cheveux. Il l’aurait alors poignardée d’au moins trois coups de couteau à l’épaule et à l’abdomen.

    Ouest-France

    La femme était âgée de 47 ans. Elle a été agressée à l’arme blanche, indiquent les pompiers. Une enquête de police a été ouverte.

    20minutes.fr