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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 768

  • « Je n’ai pas su garder mon calme. Je me suis senti frustré. » : Samy Zhioua, un Lyonnais de 32 ans avec une quinzaine de mentions au casier, justifie les menaces de mort qu’il a proférées à un gendarme lors d’un contrôle routier

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2022

    Lors du contrôle routier, la situation va se tendre lorsque les gendarmes lui passent les menottes pour le ramener dans les locaux de la brigade. « Je me suis senti très frustré ». C’est ainsi que Samy Zhioua, un Lyonnais de 32 ans, justifie les menaces de mort qu’il a proférées à un gendarme lors d’un contrôle routier.

    […]

     

    Des menaces de mort à un gendarme

    Lors du contrôle routier, la situation va se tendre lorsque les gendarmes lui passent les menottes pour le ramener dans les locaux de la brigade d’Heyrieux. « Je n’ai pas su garder mon calme », reconnaît-il. À l’un des gendarmes, il a déclaré : « Je vais te prendre ton calibre et te tirer une balle dans la tête ». Des insultes lui sont également reprochées. « C’était contre moi-même », précise le prévenu, au casier chargé d’une quinzaine de mentions.

    Il a écopé d’une peine de sept mois d’emprisonnement. Qu’il a commencé à purger dès ce lundi 17 octobre dans une cellule de la prison de Saint-Quentin-Fallavier.

    Le Dauphiné via fdesouche

  • « On voit beaucoup plus de gros calibres, d’armes de guerre. Ça tire à tout-va et parfois même à l’aveuglette. Plus rien ne semble réfléchi » : à Nantes, le narcobanditisme a pris ses quartiers

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2022

    A Nantes, le narcobanditisme a pris ses quartiers

    « Aujourd’hui, on est face à des jeunes qui sont parfois montés très vite [dans le trafic] et qui sont sans foi ni loi », observe un enquêteur aguerri. « On voit beaucoup plus de gros calibres, d’armes de guerre. Ça tire à tout-va et parfois même à l’aveuglette. Plus rien ne semble réfléchi. On est dans l’épidermique. Il n’y a même plus de souci de discrétion. »

    L’actualité récente n’en finit plus de le démontrer. Durant l’été 2022, cinq jeunes gens ont été blessés par balle, quartier Bellevue, à l’ouest de Nantes, en plein après-midi, sous les yeux de nombreux passants et de caméras ayant une vue imprenable sur le porche visé, qui héberge lui aussi un point de deal, sans doute convoité. Puis, c’est dans une autre cité, celle des Dervallières, que les détonations ont claqué et claqué encore, jusqu’à faire un mort, jeudi 29 septembre. La victime, Mamadou S., a été tuée d’une balle dans le front, avant que son corps ne soit partiellement brûlé et abandonné dans un parc. Il avait 18 ans.

    (…)

    www.lemonde.fr via fdesouche

  • Douze membres de deux filières d’immigration clandestine jugés pour avoir détourné plus de 560.000 euros d’allocations pour demandeurs d’asile ukrainiens et moldaves, des centaines de dossiers de demandes d’asile saisis

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2022

    Douze membres présumés de deux filières d’immigration clandestine, l’une ukrainienne l’autre moldave, soupçonnés d’avoir détourné plus de 560.000 euros d’allocations pour demandeurs d’asile, comparaissent depuis lundi devant le tribunal correctionnel de Melun. Plusieurs centaines de dossiers de demandes d’asile, cartes ADA et attestations de remise de cartes ADA avaient été saisies lors des perquisitions effectuées aux domiciles des prévenus.

    Les prévenus, jugés pour escroquerie en bande organisée et aide à l’entrée et au séjour irréguliers, auraient fait venir en France, entre 2019 et 2021, plusieurs dizaines de ressortissants moldaves et ukrainiens dans l’optique de détourner l’allocation pour demandeurs d’asile (ADA) versée par l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii).

    D’après l’enquête, les migrants auraient été logés par les filières dans différents campements de Seine-et-Marne le temps qu’ils déposent une demande d’asile en préfecture. Ils repartaient ensuite vers leur pays d’origine avec une compensation financière. Les prévenus auraient alors bénéficié de leurs ADA pendant plusieurs mois, soit environ 400 euros mensuels par demandeur.

    Les cinq prévenus interrogés lundi ont expliqué au tribunal qu’ils n’avaient fait que «garder» les cartes ADA de compatriotes rentrés chez eux avant que n’aboutissent leurs demandes d’asile et en «aider» d’autres fraîchement arrivés en France en convertissant leurs cartes de paiement ADA en argent liquide.

     «Ma cliente a trouvé un moyen de contourner le fait que les cartes ADA ne permettent plus de retirer d’argent liquide. On comprend que cette affaire puisse être dommageable pour les prochains demandeurs d’asile. Mais il n’y a pas eu d’enrichissement personnel», a défendu auprès de l’AFP Me Vera Goguidze, avocate de Zinaïda B., Ukrainienne de 37 ans soupçonnée d’avoir été à la tête de l’une des filières.

    Une partie des allocations était dépensée en France, le reste envoyé en Ukraine et Moldavie par virement Western Union ou MoneyGram. Le procès doit se poursuivre jusqu’à jeudi.

    Le Figaro via fdesouche

  • Marseille/Stations essence: rixe après que des scootéristes passent devant tout le monde, l’un d’eux sort une arme de poing et vole au passage un automobiliste

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2022

    […]

    Un différend a éclaté lorsqu’un homme à scooter, qui serait un livreur, a doublé la file d’attente pour accéder aux pompes. Des conducteurs mécontents qui faisaient la queue lui ont fait remarquer et le ton est monté. Le scootériste aurait exhibé une arme de poing et aurait été rapidement rejoint par trois autres individus, également à deux-roues.

    Une bagarre a débuté et des coups ont été échangés. “Les agresseurs ont pris la fuite après avoir fait le plein du scooter et volé la sacoche d’un des automobilistes” précise une source policière.

    Les trois victimes, blessées au visage suite à des coups de casque pour deux d’entre elles, et au pied pour la troisième, ont été prises en charge par les secours.

    […]

    Actu17 via fdesouche

  • Macron avait l’objectif d’un taux d’exécution de 100% d’expulsions pour les étrangers en situation irrégulière: ce taux est de 13,14% en 2020 (MàJ: 5,7% sur la première moitié de 2021) (Rediff)

    Publié par Guy Jovelin le 18 octobre 2022

    18/10/2022

    L’éloignement des étrangers en situation irrégulière a constitué un enjeu de la précampagne et de la campagne présidentielle. « Le taux d’exécution desdites mesures s’est continuellement détérioré sur la dernière décennie, jusqu’à atteindre des niveaux particulièrement dérisoires […] Le taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français (OQTF) a atteint au premier semestre de l’année 2021 un niveau historiquement bas : 5,7 % », relève la mission.

    Public Sénat


    10/06/2021

    Le chef de l’Etat, qui au début de son quinquennat évoquait l’objectif d’un taux d’exécution de 100% des reconduites à la frontière, a réclamé mercredi des mesures “opérationnelles très rapidement”.

    Il envoie un signal sur le plan sécuritaire. Emmanuel Macron a réuni le Premier ministre, les ministres de l’Intérieur, des Affaires étrangères et une représentante du ministre de la Justice, mercredi 9 juin, pour réclamer une meilleure efficacité des expulsions d’étrangers en situation irrégulière, a annoncé l’Elysée.

    “Les demandes d’asile sont de plus en plus détournées : les étrangers demandent systématiquement l’asile en sachant que l’examen de leur dossier dure plusieurs mois et qu’ils sont pris en charge de manière très avantageuse”, a estimé un conseiller. “Or, le taux d’acceptabilité de l’immigration dans notre pays est de plus en plus bas”, a-t-il relevé. Sur environ 120 000 demandeurs d’asile par an, 20 000 obtiennent le statut de réfugiés, 20 000 repartent et 80 000 se maintiennent illégalement sur le territoire.

    Des mesures “opérationnelles” à venir

    Aussi, le chef de l’Etat a-t-il demandé aux ministres “d’activer de manière volontariste les dispositifs en vigueur” et d’intensifier les négociations avec les pays d’origine pour qu’ils acceptent le retour de davantage de leurs ressortissants. Fin 2020, la commissaire européenne aux Affaires intérieures avait estimé devant le Sénat que le taux d’exécution moyen d’une décision d’expulsion est de 30% en Europe mais chute à “13,14% pour la France”, alors que l’Elysée avance le chiffre de 15,3%.

    […]

     

    FranceInfo