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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 766

  • Europe : La crise énergétique fait tanguer l’Union

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2022

    D’ordinaire, à la veille d’un conseil européen, les diplomates se veulent rassurants. Mais, ces derniers jours, alors que la réunion des chefs d’Etat et de gouvernement à Prague, vendredi 7 octobre, se rapprochait, plusieurs d’entre eux ne cachaient pas leur inquiétude. Et pas seulement en raison des risques d’escalade, notamment nucléaire, de la guerre en Ukraine. Alors que la flambée des prix de l’énergie, nourrie par l’offensive gazière du Kremlin, menace la paix sociale et leurs économies, les Vingt-Sept restent incapables de s’entendre sur la marche à suivre pour en atténuer les effets délétères. Entre panique et bataille rangée, ils ont essayé, vendredi, « d’identifier leurs points de convergence », confiait-on dans l’entourage de Charles Michel, le président du Conseil, façon de dire qu’un compromis est encore lointain.

    (…)

    Plus largement, les Vingt-Sept, qui ont réussi à faire front depuis le début du conflit en Ukraine, savent qu’aujourd’hui leur unité est menacée par le retour de l’inflation galopante. Depuis l’invasion de l’Ukraine, ils ont certes fait en sorte de se passer autant que possible du gaz russe : remplissage des réserves à 90 %, diversification des approvisionnements et réduction de la consommation. Mais, ce faisant, ils ont aussi exacerbé la hausse des prix, à leurs dépens. « Nous avons très substantiellement réduit notre dépendance au gaz russe », s’est réjoui Emmanuel Macron, mais, « à très court terme, nous avons un problème de prix ».

    Pour ne rien arranger, le cavalier seul de l’Allemagne, en achetant d’abord du gaz à des prix élevés pour remplir ses réserves, puis en annonçant, le 29 septembre, un bouclier tarifaire de 200 milliards d’euros, constitue un défi quasi existentiel pour l’Union européenne (UE). Au risque de fragmentation du marché intérieur s’ajoute celui de voir les taux d’intérêt consentis aux pays de la zone euro diverger et l’Union monétaire tanguer. Certes, tous les gouvernements ont adopté des plans pour soutenir les ménages et les entreprises, mais tous n’ont pas les mêmes moyens, au sud et plus encore à l’est du continent. « L’économie allemande est si grande que ce que l’Allemagne donne à ses entreprises pourrait détruire le marché intérieur », a ainsi attaqué le premier ministre letton, Krisjanis Karins, jeudi matin. « C’est le début du cannibalisme dans l’UE. Bruxelles doit agir à ce sujet, car cela va détruire l’unité européenne », commentait, pour sa part, le Hongrois Viktor Orban, le 3 octobre, pourtant peu enclin à appeler l’UE à la rescousse. « L’égoïsme allemand doit être remisé au placard », a, pour sa part, pesté le premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki.

    (…)

    Vingt-sept cas particuliers
    Dans ce contexte, chaque capitale a poussé ses propositions, dans le plus grand désordre et en fonction de ses intérêts. Or, d’un pays à l’autre, les modèles énergétiques ne sont pas les mêmes : certains, comme la France, misent sur le nucléaire, d’autres, comme la Hongrie, dépendent encore très largement du gaz russe quand, à l’instar de l’Espagne, d’autres encore ont développé le renouvelable.

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    Le Monde via fdesouche

  • Meyzieu (69) : 30 jeunes tendent un guet-apens aux policiers et aux pompiers

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 202

    La police peine encore à comprendre ce qui a engendré une telle animosité. Car elle n’a répertorié aucun événement récent, susceptible de faire monter la tension à Meyzieu. Quoi qu’il en soit, une trentaine de jeunes du secteur ont clairement voulu en découdre avec les forces de l’ordre et les sapeurs-pompiers, dans la nuit du vendredi 7 au samedi 8 octobre.

    Ils ont même échafaudé un véritable guet-apens. Vers 1 h 30, ils ont incendié des poubelles, rue de la République, afin d’attirer les policiers et les pompiers à eux.

    Dès que les gyrophares sont arrivés, ils ont multiplié les jets de pierres et d’objets en tous genres. Une riposte avec du gaz lacrymogène a permis de disperser assez rapidement les assaillants.

    […]

     

    Le Progrès via fdesouche

  • La Tunisie à la peine face aux migrants clandestins

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2022

    C’est le dernier avertissement! Arrêtez-vous“: au large de la Tunisie, les garde-côtes interceptent à l’aube une énième embarcation de migrants clandestins, déjouant leur tentative d’atteindre l’Europe. Mais pour ses passagers, ce n’est que partie remise. Partis de Sfax, dans le centre-est de la Tunisie, en direction des côtes italiennes, les migrants équipés de bouées noires ont obtempéré à contrecœur aux ordres des gendarmes maritimes, qu’une équipe de l’AFP a accompagnés à bord de leur patrouilleur, Aigle 35.

    Mais à peine ramenés au port, ces migrants ont été relâchés sur ordre du procureur général de Sfax. “Nous sommes dans un cercle vicieux. Nous déployons des moyens et des efforts énormes pour arrêter ces migrants seulement pour qu’ils soient relâchés, puis nous les retrouverons lors d’autres tentatives, déplore le commandant de bord du patrouilleur, le colonel major Brahim Fahmi.

    Je ne veux pas rester en Tunisie, la vie ici est difficile“, sanglote Fatim, une Ivoirienne de 18 ans, en montant à bord du patrouilleur avec 25 autres migrants interceptés.  Elle affirme avoir travaillé comme femme de ménage pendant un an à Tunis pour économiser les 4.000 dinars (1.250 euros) payés aux passeurs. Idia Sow, une Guinéenne de 26 ans souffrant des séquelles d’un AVC, faisait partie d’un autre groupe intercepté dans un bateau pneumatique. Elle affirme avoir déboursé l’équivalent de 1.500 euros pour rejoindre les côtes italiennes avec son bébé de trois mois.

    Rien que dans la nuit de lundi à mardi, pas moins de 130 migrants, tous originaires d’Afrique subsaharienne parmi lesquels des enfants, ont participé à quatre traversées déjouées au large de Sfax, principal point de départ des migrants en Tunisie.   La majorité des migrants interceptés rencontrés par l’AFP ont en effet reconnu qu’ils feraient une autre tentative. Si je trouve un bateau maintenant je partirai tout de suite, je n’abandonnerai jamais“, dit Ali, un Guinéen de 20 ans.

    Quelques heures avant l’interception en mer, des gendarmes ont dispersé plus d’une centaine de migrants rassemblés à Hmayazia, une localité côtière à une trentaine de km de Sfax où ils attendaient depuis deux semaines des embarcations censées les transporter vers l’Italie, selon des témoignages recueillis par l’AFP. Matraque ou arme de poing à la main, les gendarmes ont contraint les migrants à quitter les lieux, a constaté l’AFP.   […]

    Une industrie de fabrication clandestine de bateaux s’est développée dans la ville de Sfax, contribuant à faire augmenter le nombre de passeurs qui s’y activent. La Tunisie, en proie à une grave crise socio-économique et politique, a enregistré ces derniers mois une forte hausse de l’émigration clandestine, avec des familles entières et des cadres cherchant à partir et non plus de jeunes chômeurs seulement.

    Selon les dernières statistiques officielles, plus de 22.500 migrants ont été interceptés au large des côtes tunisiennes depuis le début de l’année, dont environ 11.000 sont originaires d’Afrique subsaharienne. Durant la même période, 536 organisateurs et passeurs parmi lesquels 21 étrangers ont été arrêtés. […]

    msn/AFP

  • Un collectif de migrants envahit et occupe l’Hôtel de Ville de Paris pour obtenir des logements (MàJ : le collectif célèbre une “action victorieuse” après leurs négociations avec la mairie)

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2022


    Ce vendredi, une centaine de personnes du collectif «La Chapelle Debout» est entrée à l’Hôtel de ville de Paris, confirme au Figaro la Préfecture de Police. Sur les images tournées par le journaliste Clément Lanot, on distingue des migrants sauter par-dessus des barrières, avant de les ouvrir, et entrer dans le bâtiment par une de ses portes principales. Sous des cris en langue étrangère, et beaucoup de participants se filmant en même temps avec leur smartphone, le cortège est entré sous un porche et a crié des slogans réclamant des logements.

    (…) «Quand des Ukrainiens arrivent, la mairie trouve des solutions mais à nous qui sommes à la rue, elle nous répond qu’elle n’est pas responsable et qu’elle n’a pas de moyens», ajoute le communiqué. Le groupuscule affirme par ailleurs que le slogan de Paris, «ville refuge», «cache un ensemble de pratiques racistes vis-à-vis des migrants».

    Le Figaro via fdesouche

  • Bayonne : en « situation irrégulière sur le territoire », il menace des riverains avec une hache et blesse deux policiers

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2022

    Les policiers de la Brigade Anti Criminalité de Bayonne ont arrêté un homme qui avait volé la caisse et menacé des clients avec une hache au Joko Club de Bayonne dans la nuit de jeudi à vendredi 7 octobre 2022. Deux policiers ont été blessés lors de son interpellation.

    (…) Les fonctionnaires de la BAC de Bayonne ont dû faire usage d’un pistolet à impulsion électrique pour stopper l’agresseur. Deux policiers ont été blessés au visage après avoir reçu des coups de poing.

    Contacté par Actu Pays Basque, le secrétaire Côte Basque d’Alliance Police Nationale, Laurent Saysset, confirme nos informations. Il nous précise que l’individu est en « situation irrégulière sur le territoire » et qu’il n’a « pas hésité à menacer des citoyens dans un parc de jeu avec une hache ». 

    Actu.fr via fdesouche