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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 767

  • « On est à bout » : à Bordeaux, les riverains du quartier Saint-Paul, ravagé par le crack, vivent l’enfer au quotidien. « Ça va péter (…) On vit dans la saleté. Ils pissent et chient partout »

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2022

    REPORTAGE – Dans le quartier Saint-Paul, les riverains explosent. Une association de soins y attire les drogués, générant insécurité et saleté permanentes.

    (…) Nous avons d’abord rendez-vous à l’association La Case, qui gère le centre d’accueil honni. Sa directrice Véronique Latour affirme que la structure n’est pas là par hasard. «Nous nous sommes installés ici car nous avons voulu nous rapprocher des usagers de drogues, et non l’inverse. Ce quartier est désormais gentrifié, mais il a toujours abrité des marginaux. Les nouveaux arrivants le découvrent». Elle concède en revanche que «l’apparition du crack a changé la donne. Il rend ces gens plus visibles, car c’est un psychostimulant». La Case recense une centaine de passages quotidiens dans ses locaux, où les «usagers» peuvent se doucher, consulter un médecin, un assistant social ou encore un psychiatre… Et obtenir du matériel d’inhalation ou d’injection. À charge pour eux de faire leur affaire discrètement dans les alentours. Combien sont-ils ? «C’est difficile à estimer. Mais nous doublons chaque année nos distributions de pipes à crack», admet sans fausse pudeur la directrice.

    (…) Une restauratrice : «Non, et là ce n’est pas seulement une question de voisinage. J’éduque mes enfants dans le respect des valeurs, du travail, de la responsabilité. Je n’ai pas envie que mes impôts servent à payer cela ! En revanche, des centres de prise en charge, loin de la ville, qui pourraient se concentrer sur le sevrage, alors là oui, nous sommes ok». Une idée défendue par d’autres spécialistes du secteur, voire par les médecins. Mais l’urgence est à la sécurisation. «Ça va péter, on vit avec une pression hallucinante et dans la saleté. Quand des groupes de toxicos se massent devant La Case, que vous voulez passer avec votre poussette, vous faites comment ?», s’ébahit de colère une autre passante, qui décrit des «hommes et femmes chiant et pissant partout»… preuves photographiques à l’appui.

    (…) Charlotte, Bordelaise d’origine, nous mène dans la petite rue Saint-Éloi, où les camés consomment. Ils y jettent partout seringues, déchets (y compris dans son jardin, derrière l’église), s’engueulent, urinent ou défèquent sur les pas-de-porte. Quand elle et son compagnon partent prendre leur voiture au parking Victor-Hugo, rebelote : «À chaque fois c’est un risque, quand il faut les croiser ou les enjamber pour accéder à un escalier ou un ascenseur ». Les sombres anecdotes s’enchaînent, le regard se perd dans le vide… Puis elle fond franchement en larmes : « mais franchement, qu’est-ce qu’on a fait ? Comment on peut nous laisser vivre ça ? Dites-leur que ce n’est plus possible ! On est à bout ! »

    (…) À nouveau nous déambulons dans les rues. Un vicaire de l’église Saint-Éloi explique qu’il a «parfois des discussions avec ces pauvres gens. Mais le lendemain, ils ne nous reconnaissent plus». Des punks et leurs chiens zonent devant l’entrée de La Case, un instant rieurs, le suivant hurlant des insanités. Au Palais des sports, déjà les matelas se sont multipliés, déjà on y lambine, déjà on y urine. La rue Saint-Éloi, sans qu’on y prenne garde, est désormais barrée par un caddie volé et un vieux sommier. Une femme sans âge et son acolyte ont disposé du matériel d’inhalation sur un pas-de-porte, et commencent leur potion maudite. La misère en quelques heures a refait son camp. Si l’on regarde ailleurs, que c’est beau, pourtant.

    Le Figaro via fdesouche.com/2022/10/08/on-est-a-bout-a-bordeaux-les-riverains-du-quartier-saint-paul-ravage-par-le-crack-vivent-lenfer-au-quotidien-ca-va-peter-on-vit-dans-la-salete-ils-pissent-et-chient/

  • Pont de kertch, attaque au camion piégé

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2022

    Grosse explosion sur le pont de Kerch/pont de Crimée

    Le pont qui enjambe le détroit de Kertch, reliant la Crimée à la Russie, a été ce samedi 8 octobre la cible de ce qui ressemble à une attaque au camion piégé.
    Des images circulant sur les réseaux sociaux montrent la puissance de l'explosion qui a mis cet ouvrage hors de service.
    Les racaille journalistique et médiatique française s'en donne à cœur joie !
  • Comment certaines mairies utilisent l’argent des Français

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2022

    lesalonbeige

    Comment certaines mairies utilisent l’argent des Français

    La municipalité de Poitiers a voté le 3 octobre du maintien de la subvention allouée à Alternatiba, association écologiste à l’origine d’un atelier de formation sur la désobéissance civile.

    Au cours du conseil municipal de Lyon du 7 juillet dernier, plus de 20.000 euros ont été votés à des collectifs LGBT : le collectif Lié.é.s, mouvement intersectionnel qui dénonce « l’islamophobie », accuse la  de  et défend la cause LGBT.

    À Grenoble, Éric Piolle soutient financièrement le « mois décolonial », événement au cours duquel les partisans de thèses racialistes et décoloniales, à l’instar de Taha Bouhafs ou Assa Traoré, s’expriment en toute liberté. Pendant deux ans, la majorité grenobloise a ainsi soutenu l’Alliance citoyenne, collectif militant notamment pour le port du burkini dans les piscines municipales.

    A Annecy, la demande de subvention est corrélée au respect du projet politique de majorité écologiste. Dans leur dossier de subvention, il est ainsi demandé aux associations de décrire « leurs pratiques en matière d’inclusion, d’écologie, de vitalité démocratique et de promotion de l’économie locale ».

    Source : Boulevard Voltaire

  • Paris : un prédateur sexuel « très dangereux » arrêté après avoir tenté de violer une femme en pleine rue, il « voulait se faire une belle blanche »

    Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2022

    L’homme a été placé en détention. Les policiers du XVe arrondissement l’ont trouvé « particulièrement inquiétant ».

    Les enquêteurs du XVe arrondissement de Paris ont été assez glacés par ses propos. Un agresseur sexuel, âgé de 40 ans, sans papiers, diagnostiqué « très dangereux », dort à la prison de la Santé (XIVe) depuis jeudi.

    Dimanche dernier, au petit matin, une jeune femme de 24 ans part travailler. Elle remonte la rue Quinault, dans le quartier de la rue du Commerce (XVe) et remarque qu’un homme la suit. Ce dernier se rapproche et l’aborde : « Madame, j’ai besoin d’un renseignement. » La victime sent tout de suite le danger. Elle saisit son portable et appelle un proche qui, malheureusement, ne décroche pas.

    L’agresseur se jette alors sur elle, la plaque au sol, commence à la toucher, tente de baisser son pantalon. La jeune femme hurle « Au viol », se débat, lui enfonce un doigt dans l’œil. « Le quadragénaire tente alors de la bâillonner avec des poignées de pop-corn ! » s’indigne une source proche du dossier.

    (…) Lundi, le quadragénaire a tenté dans l’arrondissement voisin un vol à l’étalage, muni d’un couteau. Il a été interpellé par les policiers du VIIe arrondissement. 

    (…) Les fonctionnaires du XVe sont donc allés le chercher. La victime, convoquée, l’a reconnu derrière une vitre sans tain. « Aux enquêteurs, poursuit cette même source, l’agresseur a déclaré qu’il n’avait pas d’argent pour se payer une prostituée à Strasbourg-Saint-Denis et qu’il voulait se faire une belle blanche. »

    Le Parisien via fdesouche

  • Coupure nocturne de l'éclairage public

    Publié par Guy Jovelin le 07 octobre 2022

    La coupure nocturne de l'éclairage public dans la plupart des villes de France va inéluctablement entraîner une augmentation exponentielle de l'insécurité et des accidents de voiture. Toutefois, comme pour les dommages collatéraux du vaccin contre le Covid, on peut faire confiance à la caste politico-médiatique pour le nier et traiter de complotistes ceux qui en subissent les conséquences.

    Thomas Joly Président du Parti de la France

     
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