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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 918

  • Brest : Gwendal et son ami attaqués à la machette en pleine rue, ils ont des plaies de 25 et 33 cm. “Je n’ai pas d’explication. C’est ça le pire. Je vis dans l’anxiété permanente. Je ne sortirai plus jamais”

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Deux hommes ont été victimes d’une violente agression à la machette, le 14 juillet 2022, au petit matin, à Brest. Gwendal*, l’une des victimes, raconte ce déchaînement de violence incompréhensible.

    Il faut aider le solide gaillard à ôter sa chemise. Dans son dos, deux immenses pansements cachent les plaies de 25 et 33 cm qu’a laissées l’agression dont il a été victime le 14 juillet dernier, au petit matin, dans le quartier du Guelmeur. « On m’a posé 74 agrafes. Plus de 50 pour mon collègue, qui a également subi une greffe de peau ».

    (…) C’est là que la soirée bascule dans l’irrationnel. Et l’horreur. Peu avant 7 h du matin, alors que les deux copains attendent leur taxi, la voiture de la jeune femme est de retour. Mais, cette fois, « un mec sort avec deux machettes. Des lames de 40 cm, selon ce que nous a dit le chirurgien. Et il nous attaque ».

    (…) « On nous a dit à l’hôpital que si on avait été un peu plus gringalets, des organes vitaux auraient été touchés ».

    Je n’ai pas d’explication. Et c’est ça le pire. Depuis, je ne dors plus, je vis dans l’anxiété permanente. J’ai peur qu’il revienne finir le travail.

    (…) Des amis du duo ont également commencé à mener leurs propres investigations. « Le voisin qui a donné l’alerte leur a raconté qu’il avait entendu la fille dire à son pote “Vas-y, achève-les, finis-les”. On aurait pu y rester », souffle Gwendal.

    (…) Il jure de « ne plus jamais sortir à Brest à l’avenir ».

    (…) Le Télégramme via fdesouche

  • Toulouse : il grimpe jusqu’au premier étage, passe par une fenêtre entrouverte et viole une femme à trois reprises

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Un homme de 22 ans sera jugé en octobre devant la cour criminelle départementale pour trois viols commis sur une habitante du quartier Papus à Toulouse. Après l’avoir observée plusieurs jours, le suspect a grimpé jusqu’au premier étage pour se faufiler dans la chambre de la victime. 

    Qui n’a jamais ouvert une fenêtre pour lutter contre la canicule ? Ce qui est arrivé à cette mère de famille peut toucher tout le monde. Et ça fait froid dans le dos. Un homme s’est introduit chez elle en pleine nuit. Il s’est faufilé par une petite fenêtre laissée ouverte à un étage et a violé la propriétaire des lieux à trois reprises avant de prendre la fuite. Ce jeune né en 2000 est mis en examen. Son jugement devant la cour criminelle départementale est prévu en octobre. 

    Tout se déroule la nuit du 3 juillet 2020. Pour résister à la chaleur ambiante et dormir paisiblement, une habitante du quartier Papus laisse la fenêtre de sa chambre, située à l’étage, entrouverte. Peu de chance qu’un cambrioleur escalade jusque-là. Mais par précaution, elle baisse tout de même le rideau métallique jusqu’à 20 cm au-dessus du sol. Au petit matin, vers 6 heures cette femme de 53 ans entend un bruit étrange. Elle se réveille en sursaut et remarque une main sous son volet roulant. Un homme le soulève pour passer sa tête, puis son corps dans la chambre. La propriétaire qui vit seule est tétanisée. L’intrus, un jeune de 20 ans, lui fait signe de se taire et la déshabille de force. Un premier viol, puis un second sont commis. L’agresseur ne parle pas un mot français mais la victime tente de le calmer. Elle a peur pour sa vie. Cette femme très courageuse le convainc de fumer une cigarette et de boire un café au rez-de-chaussée. L’inconnu accepte mais finit par la violer une troisième fois avant de partir en métro. 

    (…)

    Ouest-France via fdesouche

  • Les dépenses des candidats à la présidentielle

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Les dépenses des candidats à la présidentielle

    Les comptes de campagne des candidats à la présidentielle sont parus au Journal Officiel du 19 juillet.

    Sans surprise, le candidat du “quoi qu’il en coûte” a le plus dépensé avec près de 17 millions d’euros.

    La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques doit éplucher les comptes d’ici à la fin de l’année.

    • Valérie Pécresse a consacré 14,3 millions d’euros pour un seul tour de scrutin, mais sans atteindre la barre des 5 % de voix qui lui aurait permis d’obtenir le remboursement de ses frais de campagne.
    • Jean-Luc Mélenchon a déboursé 13,7 millions d’euros.
    • Marine Le Pen a investi 11,5 millions d’euros.
    • Eric Zemmour a déboursé près de 11 millions d’euros.
    • Anne Hidalgo, dont le parti avait anticipé un score inférieur à 5 %, n’a dépensé que 3,7 millions d’euros.
    • Yannick Jadot, également sous la barre des 5 %, a investi 5,2 millions d’euros.
    • Fabien Roussel a dépensé 4,02 millions d’euros.
    • Le candidat qui a le moins dépensé est Jean Lassalle, avec 813.060 euros.
    • Il est suivi de près par le NPA Philippe Poutou (819.686 euros),
    • Nicolas Dupont-Aignan (871.410)
    • Nathalie Arthaud (891.098 euros).

    Le plafond des dépenses était établi cette année à 16.851.000 euros pour les candidats présents au premier tour, et 22.509.000 euros pour les candidats qualifiés pour le second tour.

    Les remboursements s’élèveront au maximum à 800.423 euros pour les candidats n’ayant pas atteint la barre des 5 %, 8.004.225 euros pour les autres candidats présents au premier tour et 10.691.775 euros pour les candidats concourant au second tour.

     

    Source : lesalonbeige

  • Angers : « On ne règlera pas le problème de l’insécurité tant qu’on ne traitera pas celui de l’immigration »

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2022

    FIGAROVOX/TRIBUNE – À Angers, trois jeunes ont été tués au couteau dans la nuit du 15 au 16 juillet. Pour le délégué de l’Institut pour la Justice Pierre-Marie Sève, cette nouvelle attaque illustre le lien entre immigration illégale et délinquance.

    Pierre-Marie Sève est délégué général de l’Institut pour la Justice (IPJ), une association de citoyens mobilisés au côté des victimes.

    À Angers, dans la nuit du 15 au 16 juillet, trois jeunes ont été tués au couteau. Après être intervenus pour défendre une jeune fille victime d’agression sexuelle, ces trois jeunes, dont un était mineur, ont été tués par un réfugié soudanais armé d’un couteau de boucher. La veille, un sans-abri était tué au couteau à Amiens, par deux Tunisiens en situation irrégulière. Encore quelques jours plus tôt, une Montpelliéraine de 46 ans était attaquée et blessée au couteau par un Érythréen, lui aussi en situation irrégulière. Il est difficile de ne pas voir un lien entre l’extranéité des auteurs de ces attaques et ce mode opératoire particulier de l’attaque au couteau. En effet, si ce lien n’est pas systématique, les étrangers, qui représentent moins de 10% de la population, sont clairement surreprésentés parmi les auteurs.

    L’attaque au couteau est, par ailleurs, très fortement liée au terrorisme islamique. L’État islamique en avait ainsi fait une de ses spécialités. À Noël dernier encore, un projet d’attentat au couteau avait par exemple été déjoué par les services de renseignement français. Autre exemple: en 2019, dans une tristement célèbre vidéo de propagande de l’État islamique vue des centaines de milliers de fois, un terroriste appelait à tuer les Français sur leur sol en ces mots : «Nul besoin d’un fusil d’assaut ou d’une arme de poing, une simple arme blanche suffit». Enfin, cette violence exacerbée avait atteint un sommet lors de l’assassinat de Samuel Paty, décapité au couteau. Alors que le gouvernement vient d’annoncer sa volonté d’expulser les délinquants étrangers, cette vague d’agressions au couteau est le symbole d’une dimension centrale de l’insécurité: son lien avec l’immigration. Il ne s’agit pas, bien sûr, d’essentialiser à mauvais escient: une large part de la violence en France n’a pas de lien avec l’immigration et se déroule en France, entre Français.

    Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal , la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée.

    Pierre-Marie Sève

    Mais beaucoup d’éléments tendent à rappeler que le problème de l’insécurité ne sera jamais réglé tant que son lien avec l’immigration ne sera pas traité. Comme le rappelle un rapport de l’Institut pour la Justice, ce sont d’abord les statistiques officielles du ministère de l’intérieur lui-même qui notent une surreprésentation des étrangers dans la délinquance et la criminalité. Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal, la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée. Les étrangers sont donc surreprésentés dans toutes les catégories de crimes et délits du Code pénal: des homicides aux crimes sexuels en passant par les vols de voitures ou les escroqueries. Cette surreprésentation, qui ne prend même pas en compte les personnes issues de l’immigration devenues françaises, se retrouve logiquement dans la proportion d’étrangers en prison. En octobre 2021, le ministère de la Justice dénombrait 24,5% d’étrangers dans les prisons françaises. Une autre surreprésentation. En allant plus loin, on peut penser que l’immigration, même devenue française, peut être génératrice de violence. La fameuse étude «Le déni des cultures» du sociologue Hugues Lagrange constatait, en 2013, que les adolescents éduqués dans les familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués dans des délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones.

    Le constat d’une surreprésentation de la violence parmi les immigrés est sans appel et pose bien des questions. Ajoutons enfin que ce phénomène de surreprésentation des étrangers parmi les délinquants n’est pas non plus une exception française. Par exemple, le Conseil national suédois pour la prévention de la délinquance a déjà rendu plusieurs rapports mettant en évidence un taux de criminalité plus fort parmi les étrangers que parmi les Suédois. Ou encore, toujours en Suède, l’université de Lund a récemment établi que 47% des personnes condamnées pour viol étaient nées à l’étranger. Au vu de tous ces éléments écrasants, le lien entre immigration et délinquance, s’il a longtemps été nié, ne fait aujourd’hui plus aucun doute. Ce constat est d’autant plus fâcheux qu’il existera également une différence fondamentale entre la criminalité d’origine autochtone et celle d’origine étrangère.

    Pour ce vaste sujet de l’immigration illégale, il faudra notamment commencer par rétablir le délit de séjour irrégulier sur le territoire.

    Pierre-Marie Sève

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • La ville de Zurich (Suisse) va introduire des toilettes « non genrées » dans les écoles, les urinoirs seront supprimés

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2022

    Un tiers des toilettes des nouveaux bâtiments scolaires sera désormais ouvert à tous les élèves des écoles en ville de Zurich, sans différenciation de sexe. Tous les urinoirs seront par ailleurs supprimés au profit des WC avec cabine.

    Cette règle du tiers de toilettes non genrées s’applique dans une première phase aux nouveaux bâtiments. Dans les écoles déjà existantes, elle devra être mise en application “dans la mesure du possible”, selon un nouveau règlement intérieur consultable en ligne révélé lundi le Tages-Anzeiger.

    Ce règlement stipule que les WC non genrés sont destinés à tous les élèves. Il n’y a pas de chiffres sur le nombre d’enfants et d’adolescents intersexués ou transsexuels à Zurich. Mais la Ville estime qu’une personne sur 1000 est intersexuée et qu’entre trois et 30 sur 1000 sont transsexuelles.

    Plusieurs autres nouveautés

    La nouvelle ordonnance sur les locaux scolaires comporte d’autres nouveautés pour les WC. Ainsi, les urinoirs seront supprimés. Il n’y aura plus que des WC avec cabine

    […]

     

    RTS via fdesouche