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Si tu as entre 15 et 18 ans et que tu souhaites en savoir plus sur l’Union européenne, cette brochure est faite pour toi. Elle t’expliquera comment l’Union européenne – ou “UE” en abrégé – a été construite. Elle te dira également quelles sont les valeurs que nous partageons, qui fait quoi dans l’UE et en quoi tout cela concerne ta vie quotidienne. Vous découvrirez également comment l’UE relève les grands défis d’aujourd’hui, notamment le changement climatique, le monde numérique et COVID-19.
La fête promet d’être folle, comme toujours depuis 1926. À Guémené, le traditionnel carnaval attire, tous les deux ans, près de 10 000 visiteurs qui viennent admirer la vingtaine de chars fleuris et artistiques. Mais cette année, il y a eu comme un hic lors de la préparation de l’évènement : plusieurs personnes, qui ont peu goûté à une tête grimée de noir posée en périphérie de la ville, ont menacé de perturber le carnaval si elle n’était pas enlevée.
« Raciste et très choquant »
« J’ai reçu un coup de fil d’une personne qui m’a demandé de retirer cette tête que nous avions posée sur le rond-point, près de la caserne des pompiers, pour annoncer l’évènement, explique Monique Le Tennier, présidente du comité d’organisation. Elle m’a dit que c’était raciste, très choquant et que ça faisait « zoo ». Elle voulait à tout prix qu’on l’enlève ». Une requête qui a rapidement viré à la menace. « Elle m’a dit que si on ne l’enlevait pas, plusieurs personnes viendraient empêcher la tenue du défilé ». Un courrier électronique, écrit par une autre personne, a également été envoyé à l’office de tourisme du Faouët, hier. À l’intérieur, on peut lire ceci : « Pourquoi le carnaval utilise-t-il une grosse tête de femme noire pour faire sa publicité ? Cette tête semble être une caricature avec ses lèvres et ses cils exagérés. Dans une région majoritairement blanche, ne pensez-vous pas que ce stéréotype pourrait être perçu comme raciste ? Je suis personnellement offensé », est-il écrit dans le courrier.
L’événement de la Pentecôte (du grec pentêkostề hêméra, « cinquantième jour ») ne peut être compris qu’en lien avec Pâques et l’Ascension. Jésus est mort pour le salut du monde (le Vendredi Saint), ressuscité (le jour de Pâques) et parti rejoindre le Père (à l’Ascension). À la Pentecôte, Dieu le Père envoie aux hommes l’Esprit de son Fils. Cette fête clôt le temps pascal, qui dure sept semaines, et dont elle est le couronnement.
Le vent et le feu
Le 50ème jour après Pâques, alors qu’une foule s’est rassemblée pour Chavouot (fête juive commémorant le don de la Loi à Moïse), les Apôtres, Marie et quelques proches entendent un bruit « pareil à celui d’un violent coup de vent » qui remplit la maison ; c’est un premier signe. Le deuxième signe ne se fait pas attendre : « une sorte de feu qui se partageait en langues et se posa sur chacun d’entre eux ». Et voici le troisième prodige : remplis de l’Esprit Saint, signifié par le vent et le feu, « ils se mirent à parler en d’autres langues ». La foule qui festoie est stupéfaite « parce que chacun d’eux les entendait parler sa propre langue ». À tel point que certains les croient « pleins de vin doux » (Ac 2, 1-14) !
Ainsi se réalise la promesse faite par le Christ aux apôtres au moment de son Ascension, une dizaine de jours plus tôt : « vous allez recevoir une force, celle du Saint-Esprit qui viendra sur vous. Alors vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre » (Ac 1, 8).
En effet, les apôtres, ayant reçu la force de l’Esprit, ont alors le courage de sortir de la salle du Cénacle où ils étaient craintivement enfermés. Ils commencent aussitôt à témoigner de la résurrection du Christ, à faire connaître son enseignement et à baptiser. Lors de la Pentecôte, l’Eglise est constituée non par une volonté humaine, mais par la force de l’Esprit de Dieu. À la suite de cet événement, naissent les premières communautés chrétiennes qui se sont ensuite organisées, développées et propagées. […]
Nous apprenons par VA que le nouveau ministre de l’Education nationale, le mulâtre antiblanc Pap Ndiaye, scolarise ses enfants à l’Ecole alsacienne, établissement privé aussi prestigieux qu’onéreux, où se retrouve la progéniture de la nouvelle élite…
L’école publique c’est pour les autres…
Voici un digne successeur du laïcard Jean-Pierre Chevènement qui scolarisait ses enfants dans la très catholique école Blanche de Castille (Paris XVII)…
Au cœur du scandale de la fameuse soirée de la finale de la Ligue des champions, les multiples agressions et le refus de la classe politique d’assumer son action et un élément qui reste méconnu : le rôle des stadiers, ces employés des stades chargés de gérer les spectateurs.
Normalement, ce métier est encadré et nécessite une formation. Théoriquement, la mission est censée être assurée par des personnes disposant d’une formation d’agent de sécurité. Mais l’explosion des besoins suite à la menace terroriste a exigé un renforcement des effectifs. Au risque de perdre en qualité ? « Un stadier va travailler six heures, payé au SMIC, et va rentrer chez lui, le soir, en ayant parfois été toute la journée dans le froid, et peut-être insulté quand il était près des ultras, pour toucher 60 euros. Est-ce que, pour cette somme, j’ai envie de faire ça ? Je n’en suis pas convaincu », déclarait au Monde (6/12/2021) le président de la société qui fournit le club de Metz en stadiers. « Au final, on se retrouve avec des personnes ayant un statut de sous-vigiles », pointe Noam Anouar, ancien agent des renseignements en poste en Seine Saint Denis, contacté par Boulevard Voltaire. Ce département, Noam Anouar le connaît comme sa poche, surtout le Stade de France. Auteur, avec Willy Le Devin, du livre La France doit savoir (sous-titré Un flic chargé de la surveillance des islamistes raconte) il a fait partie des premiers arrivés sur les lieux, lors de l’attentat du 13 novembre 2015. Évidemment, ce drame était dans son esprit lors de la cataclysmique finale de Ligue des champions. « C’est une technique vieille comme le monde. On va recruter des mecs dans la cité d’à coté et quelques grands frères pour tenir leurs amis. » Pas si efficace que cela, visiblement... « Cela peut aussi se retourner contre vous, soupire Anouar. Si les personnes recrutées sont dans des dispositions de complicité vis-à-vis des fauteurs de troubles, cela vous explose à la figure. Imaginez si un terroriste bénéficiait de la complicité de stadiers placés là pour lui faciliter l’entrée au stade avec une arme... », alerte-t-il.
Un personnel sous-formé, sous-payé et parfois complice des racailles. C’est tout cela qui s’est retrouvé au Stade de France. Un choix incompréhensible quand on sait l’enjeu politique et logistique que représente une telle rencontre. « On voit très bien que l'organisation était défaillante sur plusieurs aspects, notamment du fait de stadiers mal formés, incompétents, recrutés une semaine avant la rencontre via Facebook. Ce n'était même pas le niveau Ligue 2 des stadiers ! », abonde le journaliste sportif Daniel Riolo dans Le Figaro (30/5/2022).
Au fond, l’incarnation de cette débâcle, n’est-ce pas cette racaille arrivée en France illégalement, parvenue à entrer dans le stade sans billet, se filmant en affirmant avoir niqué la France pour parader chez Hanouna le lendemain ? « Il disait vouloir n...er la France, eh bien, c’est réussi », fulmine Noam Anouar. « Il a bien n...qué tout le monde, si cela ne tenait qu’à moi, il serait déjà dans l’avion ! » conclut l’auteur du livre La France doit savoir. À ce stade, et vu du stade, le fiasco international de cette finale est bel et bien multifactoriel. L’aboutissement de problématiques anciennes.