Publié par Guy Jovelin le 24 août 2022
Auteur : Francesca de Villasmundo
La gaystapo a encore frappé.
Faire travailler un enfant pour qu’il ait de l’argent de poche en tondant le gazon du voisin relève de l’esclavage. L’instruire à la maison est une abomination sociale. Le punir corporellement par une fessée relève de la maltraitance. Mais permettre à un enfant de 4 ans de « commencer sa transition sociale », c’est-à-dire de s’identifier le sexe opposé à celui de sa naissance, et de défiler à 10 ans sur un podium de mannequin est considéré une avancée sociale qu’il faut applaudir des deux mains. Le monde arc-en-ciel et progressiste rend les gens fous à lier !
Ainsi un mannequin ‘transgenre’ de 10 ans devient le plus jeune mannequin à défiler sur le podium de la Fashion Week de New York, sous les regards admiratifs de ses « parents », Dee McMaher, 35 ans, et Ray, 32 ans, eux-mêmes transsexuels. Dee Beth McMaher est une femme dans la trentaine qui s’identifie comme un transsexuel masculin, utilise les pronoms eux/eux et prend de la testostérone depuis un certain temps comme en témoigne sa moustache. Elle a récemment subi une mastectomie ‘esthétique’. Son partenaire, Roy, est également une femme trans qui se croit un homme.
Selon le site Web de la Point Foundation, McMaher, née Kalick, est une « défenseuse et éducatrice » pour les enfants transgenres depuis 10 ans, à peu près depuis la naissance de Noël. McMaher a eu deux enfants avec un homme qui a perdu leur garde et risque même une peine de prison pour maltraitance d’enfants. Le père, Timothy McCord, s’était en effet opposé à l’identité transgenre de Noël, 4 ans.
En 2019, McMaher a ‘épousé’ Ray, une femme biologique qui s’identifie également comme transgenre et travaille dans la « justice sanitaire LGBTQ ». Le duo d’invertis semble avoir un autre jeune enfant qu’ils élèvent comme non binaire, se référant à l’enfant comme un « theybie » qui est souvent photographié dans un pull qui dit « sans sexe, c’est mieux ».
Selon la mère Dee Beth McMaher, son garçon aurait commencé « sa transition » pour devenir une fille à l’âge de 4 ans. Dès ce moment, McMaher emmène son fils en thérapie à la clinique de développement du genre de l’hôpital pour enfants Ann & Robert H. Lurie de Chicago. En 2019, la mère trans déclare au Chicago Parent que Noël subira des « chirurgies de genre » à 16 ans, mais qu’en attendant l’enfant prend des bloqueurs de puberté et de l’hormonothérapie.
S’adressant à Reduxx sur l’affaire, Sinead Watson, une transgenre repentie, a exprimé son incrédulité face aux détails troublants.
« Je ne peux pas croire que cet enfant se soit identifié ainsi à un si jeune âge. Je ne peux pas croire que cet enfant – ce bébé – se soit affirmé du mauvais sexe dès l’âge de 2 ans. Et qu’il ait demandé un changement juridique à 6 ans. Toute cette affaire est odieuse. »
« Que les parents de cet enfant soient tous les deux « trans » ou « queer » ne me surprend pas. Ils imposent leurs propres idées idéologiques à leur bébé innocent. »
Ayant fréquenté le milieu transgenre pendant 3 ans, Sinead Watson considère que le phénomène n’est pas nouveau : elle a vu des histoires de parents imposant une transition sexuelle à leur enfant dès 2015.
« Comme pour la contagion sociale chez les enfants vulnérables, on voit de plus en plus de parents atteints du syndrome de Münchausen par procuration. Ce ne sont pas les enfants qui sont trans, ce sont les parents qui veulent qu’ils soient trans. »
Sinead Watson n’hésite pas à considérer comme de « la maltraitance d’enfants » le projet de la famille de faire subir à Noël des « chirurgies sexuelles » à 16 ans.
« Tant d’enfants seront blessés par cela à l’avenir. Tant. Je ne peux rien dire d’autre sauf que je suis absolument dégoûtée par ce que ces gens font à ce pauvre enfant. Impardonnable. »
La transition de genre dès l’enfance est devenue une préoccupation croissante ces dernières années, car beaucoup ont été témoins d’une explosion dans les cliniques de genre d’ « enfants trans ». Selon Gender Mapper, l’Amérique du Nord a vu le nombre de cliniques pédiatriques d’identité de genre passer d’une poignée à « plus de 200 » en seulement 10 ans.
Le 25 février, l’Académie nationale de médecine de France a publié un communiqué à l’intention de ses membres professionnels notant qu’elle avait pris conscience d’une « forte augmentation de la demande » de jeunes et d’adolescents cherchant des services d’identité de genre. L’Académie l’a qualifié de « phénomène de type épidémique » et a averti les cliniciens de faire preuve de prudence lorsqu’ils traitent avec des jeunes présentant des problèmes d’identité de genre.
Mais les professionnels de la santé français ne sont pas les seuls à être inquiets par ce phénomène forgé par les lobbies lgbtqi+ et dérivant de la mode. À l’échelle mondiale, plusieurs pays et autorités sanitaires ont pris des mesures pour essayer d’arrêter ou de restreindre la transition sexuelle de l’enfance, citant des conséquences négatives à long terme pour l’enfant.
Cette affaire illustre à ‘merveille’ la folie de l’idéologie du genre et le ses adeptes fous : c’est toute une jeunesse qu’on assassine !
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info