Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

officine criminelle

  • Officine criminelle de francs-maçons

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2022

    Officine criminelle de francs-maçonsOfficine criminelle de francs-maçons

    Avec un peu d’amalgame, on demanderait de dissoudre la franc-maçonnerie… :

    Deux chefs d’entreprise ont été mis en examen en juin à Paris, soupçonnés d’avoir commandité une violente agression pour se faire payer une dette, via des membres d’une officine dirigée par des francs-maçons qui aurait organisé une série de crimes, selon deux sources proches du dossier.

    Pierre T., gérant d’une entreprise de construction à Toulouse, et son partenaire Alain M., ont été mis en examen le 24 juin et placés sous contrôle judiciaire, ont indiqué vendredi 12 août ces sources, confirmant une information du Parisien. «Mon client qui n’a jamais eu affaire de toute sa vie à la justice n’a rien à voir avec le cœur de cette affaire. Sans rien savoir, il est manifestement tombé dans une béchamel infernale», a affirmé auprès de l’AFP l’avocate de Pierre T., Me Marie Burguburu.

    Instruit à Melun jusque-là, ce dossier a été transféré à Paris mi-mars et joint à l’information judiciaire visant une officine criminelle dirigée par des francs-maçons et suspectée d’au moins un assassinat. Pour récupérer une dette d’environ 300.000 euros, Pierre T. et Alain M. sont soupçonnés d’avoir commandité, entre 2019 et janvier 2020, une stratégie d’intimidation – messages menaçants, dépôts de rats morts, incendie d’un portail – envers le gérant d’une entreprise de BTP débiteur, jusqu’à la violente agression du compagnon de ce dernier en Seine-et-Marne. Pour ce faire, ils auraient été mis en relation avec Yannick P., ancien agent de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et l’un des exécutants présumés de cette officine criminelle, dont les principaux acteurs ont été arrêtés. Ce dernier aurait ensuite demandé, contre quelques milliers d’euros, à Sébastien L., l’un des principaux hommes de main de la cellule, de brûler le portail du couple et de «donner quelques gifles, quelques tartes».

    «Mon client a pris toutes ses responsabilités, ainsi qu’il l’a toujours fait dans ce dossier», a déclaré Me Antoine Ory, avocat de Sébastien L., déjà mis en examen dans d’autres volets. Pour Me Joseph Cohen-Sabban, avocat du couple victime, «on reste interloqué face au manque de la plus élémentaire moralité de la part de personnages par ailleurs bien intégrés». Cette enquête à tiroirs, qui avait démarré fortuitement fin juillet 2020 avec l’évitement d’une possible tentative d’assassinat d’une coach en entreprise à Créteil, a été élargie à de nombreux autres faits. La cellule est suspectée d’avoir ordonné l’assassinat du pilote de rallye Laurent Pasquali en 2019; un projet d’assassinat d’un «syndicaliste gênant» de la CGT à Bourg-en-Bresse la même année; de projets criminels visant le maire de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) Sylvain Berrios ou un opposant congolais au président Sassou Nguesso, Ferdinand Mbaou, etc.

     

    Source : lesalonbeige