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pap ndiaye

  • La nomination de Pap Ndiaye au Conseil de l’Europe ulcère les diplomates : “Il est clair qu’il ne faut pas avoir honte, d’une part pour avoir proposé ce poste à Pap Ndiaye, et d’autre part pour l’accepter.”

    Publié par Guy de Laferrière le 17 août 2023

    "Ils n'ont pas honte" : la nomination de Pap Ndiaye au Conseil de l'Europe ulcère les diplomates

    Deux semaines après son entrée en fonction au poste de représentant permanent de la France auprès du Conseil de l’Europe, l’universitaire et ancien ministre de l’Éducation nationale est loin de faire l’unanimité au ministère des Affaires étrangères. Ambiance.

    Cela fait désormais deux semaines que Pap Ndiaye a posé ses valises à Strasbourg. Poussé vers la sortie lors du dernier remaniement, ce professeur des universités et ancien ministre de l’Éducation nationale a été nommé mercredi 26 juillet, « ambassadeur, représentant permanent de la France auprès du Conseil de l’Europe », a annoncé l’Élysée dans un communiqué. Une décision d’Emmanuel Macron prise « sur proposition de la ministre de l’Europe et des Affaires étrangères », Catherine Colonna. Si l’ex-ministre a affirmé que cette nomination s’inscrivait « en droite ligne » de ses engagements face aux critiques qui y voient un recasage de complaisance, au Quai d’Orsay, la nouvelle n’a pas été accueillie avec enthousiasme.

    Déjà très tourmentés par la réforme du corps diplomatique survenue en avril 2022, les diplomates et agents du ministère des Affaires étrangères se sentent de plus en plus déconsidérés. Interrogés par Marianne sur la nomination de Pap Ndiaye au Conseil de l’Europe, nombre d’entre eux admettent, encore une fois, avoir été stupéfaits par cette désignation surprise. « Il est clair qu’il ne faut pas avoir honte, d’une part pour avoir proposé ce poste à Pap Ndiaye, et d’autre part pour accepter un tel poste, souffle un agent de la Maison. Mais il faut bien payer l’École alsacienne [établissement privé où sont scolarisés les enfants de Pap Ndiaye]… Le Quai n’en ressort pas grandi. »

    www.marianne.net via fdesouche

  • L’ancien ministre de l’Education Pap Ndiaye nommé ambassadeur de France auprès du Conseil de l’Europe

    Publié par Guy de Laferrière le 26 juillet 2023

    L'ancien ministre de l'Education Pap Ndiaye nommé ambassadeur auprès du Conseil de l'Europe

    Ancien ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse, Pap Ndiaye a été remplacé par Gabriel Attal lors du dernier remaniement.

    L’ancien ministre de l’Education nationale Pap Ndiaye a été nommé ambassadeur auprès du Conseil de l’Europe, a annoncé l’Elysée ce mercredi 26 juillet. Pap Ndiaye a été remplacé par Gabriel Attal au poste de ministre de l’Education nationale lors du dernier remaniement.

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  • Déplorant des « lacunes préoccupantes » chez les élèves et constatant la montée du secteur privé, Pap Ndiaye annonce ses priorités : enseignements fondamentaux et mixité sociale

    Publié par Guy de Laferrière le 22 décembre 2022

    Pap Ndiaye dévoile sa feuille de route pour améliorer l’école, où les préoccupations ne manquent pas. Le ministre de l’Éducation a réitéré jeudi 22 décembre dans une tribune publiée dans Le Monde ses priorités pour l’école, avant des annonces qui devraient intervenir en début d’année 2023.

    Selon Pap Ndiaye, « les constats sont durs. Ils concernent la crise du recrutement des professeurs », mais aussi « le niveau des élèves, dont les comparaisons internationales révèlent les lacunes préoccupantes. Ils reflètent également l’expérience quotidienne des établissements, où les horaires annuels dans chaque discipline peinent à être couverts », écrit-il en préambule d’une tribune intitulée « pourquoi nous devons réformer l’école ».

    Le ministre évoque ensuite « la défiance générale, marquée par la montée en puissance du secteur privé et par le scepticisme exprimé d’une partie des parents », rappelant qu’« un Français sur deux ne fait pas confiance à l’institution scolaire, bien que les trois quarts d’entre eux fassent confiance aux professeurs ». Il met en avant son « exigence » sur le niveau scolaire des élèves. « Les résultats aux évaluations nationales et internationales ne sont pas satisfaisants. Disons-le clairement : le niveau d’ensemble baisse ! » s’exclame-t-il, proposant de fixer « des objectifs ambitieux ».

    Il faut selon lui « encore insister sur les enseignements fondamentaux, en particulier en CM1, CM2 et 6e ». « La rupture entre le CM2 et la 6e est trop forte. Elle renforce les inégalités scolaires plutôt qu’elle ne les réduit. Travailler régulièrement l’orthographe, la conjugaison et la grammaire, consolider encore ou approfondir le français et les mathématiques en 6e » sont notamment des pistes avancées pour « faciliter le passage de l’école primaire au collège ».

    Des mesures concernant ce passage sont attendues en début d’année 2023. Des évolutions concernant les classes de 5e, 4e, 3e « feront l’objet d’une concertation », annonce le ministre. Il évoque également l’égalité des chances. « Une école qui, tout en la promettant, n’accorde pas l’égalité produit non seulement des injustices, mais aussi une défiance et un sentiment de colère dans les classes populaires », affirme-t-il.

    Le Point via fdesouche

  • Pap Ndiaye en 2021 : “La Suisse ne peut pas s’exonérer d’une histoire qui a des liens avec le vaste monde colonial”

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2022

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    Invité jeudi dans La Matinale, Pap Ndiaye, nouveau directeur du Musée national de l’histoire de l’immigration à Paris, estime qu’il nécessaire de “poser calmement et scientifiquement” des questions qui ont “pendant longtemps été mises sous le tapis”, comme la colonisation ou l’esclavage.Il y a quelques jours, le “New York Times” qualifiait Pap Ndiaye (lire encadré) de “Quiet Revolutionary”, le révolutionnaire tranquille. A 55 ans, il a été nommé par Emmanuel Macron en février à la tête du Palais de la Porte Dorée, qui héberge le Musée national de l’histoire de l’immigration et un aquarium tropical, à Paris. “Loin de ces polémiques politiques, un musée de l’histoire de l’immigration présente plutôt cette question dans une longue perspective historique depuis le XVIIIe siècle, en ce qui nous concerne. Le travail des scientifiques et des historiens nous permet de prendre la bonne distance par rapport à des questions qui sont souvent mal traitées dans la vie publique.”

    Selon lui, la Suisse “ne peut pas s’exonérer d’une histoire qui a des liens avec le vaste monde colonial”, qui se déploie à partir du XVIe siècle: “La Suisse n’a pas de passé colonial, au sens où elle n’a pas eu d’empire, mais tous les pays d’Europe ont été liés à l’histoire coloniale des Européens par des relations commerciales ou des investissements de marchands suisses, y compris dans la traite transatlantique.”

    Question sur la statuaire publique

    Faut-il déboulonner les statues liées à l’esclavagisme dans les villes? Entre déboulonner ou garder, le débat est “un peu simple”, selon Pap Ndiaye. Il prend l’exemple de la statue du général Lee, partisan de l’esclavage dans le sud des Etats-Unis, à Richmont, en Virginie. “On peut imaginer un entre-deux qui consiste à conserver la statue, mais à l’accompagner de dispositifs qui détournent le sens originel. Il ne s’agit plus de glorifier un partisan de l’esclavage – ce serait ridicule – mais de montrer que ce général a joué un rôle néfaste dans l’histoire du pays. La présence même de cette statue a plus d’intérêts mémoriels aujourd’hui que sa disparition pure et simple”, juge-t-i

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    Spécialiste des Etats-Unis et des minorités

    “Ma nomination est d’abord due à mon travail d’historien, j’ai une longue carrière d’universitaire, une carrière à l’international”, expliquait Pap Ndiaye lors d’un entretien à l’AFP. Mais je ne suis pas aveugle à la question du symbole, à laquelle je ne tourne pas le dos. Je m’assume tel quel avec ma couleur de peau et je sais que ma nomination ouvre le champ des possibles à de nombreux enfants non-blancs“, poursuivait-il.

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    RTS

  • Pap Ndiaye, chantre du communautarisme noir, devient ministre de l’Education nationale alors qu’il a participé en 2016 à une réunion interdite aux Blancs

    Publié par Guy Jovelin le 21 mai 2022

    Le nouveau ministre de l’Education nationale se nomme Pap Ndiaye. Un vrai morceau d’anthologie à lui-seul. Cet historien communautariste avait annoncé en mars 2021 : « Notre mission, c’est faire de l’immigration un élément central de l’histoire nationale ». A la tête du ministère de l’Education nationale, il va pouvoir assouvir ses ambitions.

    On se souviendra que, sur France Culture, il avait dénigré le « génie français » décrit comme « un universalisme chauvin, d’homme, blanc, hétérosexuel ».

    Il faut également se souvenir que si Pap Ndiaye ne manque pas une occasion de dénoncer les discriminations dont seraient victimes les personnes noires vivant en France, il a lui-même participé en 2016 à une réunion en « non-mixité » qu’il faut traduire par interdite aux Blancs. Etrange façon d’appliquer la logique du vivre ensemble que de reproduire un apartheid inversé.

     

    Pap Ndiaye siège au conseil scientifique du CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France).

    Le CRAN mime le CRIF, tant d’un point de vue communautariste que par l’organisation de dîners revendicatifs.

    Le CRAN dont fait partie Pap Ndiaye réclame même un quota d’élus issus des « minorités ethniques ».

    Il faut aussi rappeler que Pap Ndiaye était co-auteur du manifeste De la question raciale à l’Opéra national de Paris. Bref, cela promet bien du plaisir…

     

    Source : medias-presse.info