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  • « Humanitaire » : un ancien haut responsable de l’ONU condamné pour pédophilie

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2019

    Article publié le 15.08.2019

    La justice du Népal a condamné mardi un Canadien pour pédophilie. Peter John Dalglish, arrêté l'année dernière, écope de deux peines distinctes de 9 et 7 ans de prison. Deux peines pour deux victimes, de jeunes garçons de 12 et 14 ans au moment des faits.

    En apparence, John Dalglish était un parfait altruiste. Le Canadien fonde un réseau d'aide international pour les enfants des rues dans les années 1980, puis devient responsable d'un programme d'aide aux enfants du Népal, avant de prendre la tête du bureau Habitat des Nations unies en Afghanistan en 2015.

    Un travail récompensé en 2016, quand il est décoré de l'Ordre du Canada, l'une des plus importantes distinctions civiles du pays.

    Pendant son procès, John Dalglish s'est d'ailleurs appuyé sur ce passé d'humanitaire reconnu pour se défendre. En plus de nier les faits, le soixantenaire a assuré n'avoir qu'un but : œuvrer pour le bien-être des gens à travers le monde.

    Cet argument n'a pas convaincu les juges dans un pays qui tente de renforcer sa lutte contre les pédophiles étrangers. Ces dernières années, plusieurs condamnations emblématiques ont été prononcées, dont une contre un Français reconnu coupable de viol sur une dizaine d'orphelins népalais, il y a 10 ans.

    En plus des deux peines de prison, John Dalglish va devoir verser l'équivalent de 4 500 dollars à chacune de ses victimes, dont l'une était le fils d'un de ses domestiques. Il a promis de faire appel.

    Rfi.fr via lesobservateurs

  • Vienne : Un Irakien pousse un travailleur devant le métro, la victime a dû être amputée d’un pied

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2019

    Par  le 16/08/2019

    L’Irakien a été déclaré irresponsable et n’ira pas en prison.

    En mai, Mohammed Y. aurait poussé un travailleur devant le métro. Comme le site d’information « Heute » l’a appris, il n’est pas jugé pour meurtre. Il doit être envoyé dans un établissement pour malades mentaux.

    Des scènes d’horreur sur les voies ferrées ont réduit le sentiment de sécurité des conducteurs de transport public. A la gare de l’Ouest de Vienne, un Irakien âgé de 20 ans aurait poussé un magasinier (35 ans) devant l’U3 le 8 mai. Par la suite, l’attaque de Francfort, où un enfant de 8 ans est mort, est survenue. On remarque également à Vienne que les personnes en attente d’un train restent le plus loin possible des voies ferrées.

    Après chacun de ces deux crimes, les suspects ont déclaré lors des interrogatoires qu’ils avaient entendu des voix. Pour cette raison, Mohammed Y. devrait échapper à la prison à vie. Un psychiatre en est arrivé à la conclusion que l’Irakien souffre d’une « anomalie mentale et psychique d’un degré supérieur ».

    En raison de sa schizophrénie, le parquet de Vienne ne le poursuit pas pour meurtre. Comme il n’était pas sain d’esprit au moment du crime, il devrait être envoyé dans une institution.

    « Je me sentais persécuté et humilié par les gens qui portaient des lunettes de soleil et des écouteurs « , a déclaré Mohammed Y.

    Et c’était exactement le cas de Zdravko I. [NDLR : la victime] : « Il avait ses écouteurs dans ses oreilles et portait des lunettes de soleil. Je pensais que ces gens m’entendraient lorsque je pleurerais à la maison. Je me sentais provoqué par son reniflement de nez. Quand le métro est entré dans la gare, j’ai tout à coup explosé. Je devais le faire… »

    La victime a dû être amputée du pied

    Zdravko I. a dû se faire amputer d’un pied. Il est actuellement en réadaptation. « Je suis heureux d’avoir survécu. L’auteur devrait recevoir une sanction adéquate, à la hauteur de ce que j’ai eu. » Pendant ce temps, l’Irakien déclare : « Je me sens mieux maintenant. Je ne vois plus de gens avec des lunettes de soleil. »

    Heute.at via fdesouche

  • Orly : un homme interpellé alors qu’il s’apprêtait à commettre un attentat

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2019

    Par  le 15/08/2019

    […]

    Grosse frayeur à l’aéroport d’Orly en ce jeudi 15 août. Aux alentours de 18h30, un homme a été interpellé en possession d’un couteau en céramique, alors qu’il s’apprêtait à embarquer dans un avion de la compagnie Transavia à destination de Barcelone.

    Ce serait à priori sa soeur qui aurait alerté Aéroports de Paris, elle leur aurait indiqué que son frère projetait de commettre un attentat. L’individu arrêté n’est pas fiché mais il est en revanche connu pour des faits de délinquance.

    […]

    RTL via fdesouche

  • Non, l'Afrique n'est pas venue "libérer" la France.

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2019

    armée d'afrique,de lattre,juin,montsabert

    armée d'afrique,de lattre,juin,montsabert

    Les soldats qui ont débarqué le 15 août 1944 en Provence n'étaient pas africains. Ils étaient Français. Ils s'appelaient Juin, de Lattre, Brosset, Salan, de Montsabert, Guillaume...

    Ils commandaient des troupes françaises de l'armée d'Afrique à laquelle appartenaient, comme il se doit, les unités coloniales et indigènes encadrées par des officiers et des sous officiers français sous le drapeau national.

    Puisque Macron veut baptiser nos rues et nos places de noms glorieux injustement oubliés, celui de Salan paraît s'imposer.
    Jean-François Touzé

    Membre du Bureau politique du Parti de la France

  • Douce France : Une dette cachée à 4.300 milliards d’euros ! Bientôt la faillite ?

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2019

    Une dette cachée à 4.300 milliards d’euros ! Bientôt la faillite ?

    Christian de Moliner Bld Voltaire 13 Aout 2019 

    On connaissait la dette « officielle » de la France, qui est de 2.315 milliards et frôle désormais les 100 % du PIB. Il en existe une autre, dite immergée, sur laquelle la sénatrice centriste Nathalie Goulet vient de donner l’alerte dans une interview au Figaro. Il s’agit des engagements de l’État qui ne sont pas comptabilisés directement dans la dette « officielle » (celle qui est définie par le traité de Maastricht) mais dont le fantôme pèse sur les comptes de l’État.

    Cela comprend les retraites des fonctionnaires (le poste le plus lourd, 2.287 milliards), les subventions aux régimes de retraite, les allocations pour handicapés et pour la dépendance, les aides au logement, les dettes garanties par l’État mais non prises en compte dans la dette officielle (celles de l’UNEDIC, de la SNCF que le pouvoir ne veut pas assumer directement, quitte à multiplier les artifices comptables), les engagements pour les exportations, pour les livrets d’épargne, ou encore les frais provoqués par des catastrophes (attentats, explosion nucléaire, épidémie, chute d’astéroïde). L’estimation totale est effarante : 4.300 milliards ! 130 milliards de plus qu’en 2017, 1.100 milliards de plus qu’en 2015, 4 fois plus qu’en 2005. Au total, en comptabilisant les dettes immergée et officielle, l’État garantit 6.515 milliards d’euros de dettes : 275 % du PIB !

    La dette immergée est semblable au diabète ou au glaucome, elle évolue silencieusement et ses dégâts ne sont pas apparents jusqu’à ce que ses effets deviennent visibles et irréversibles. Tant que les taux d’intérêt resteront négatifs, c’est-à-dire tant que les États occidentaux inspireront confiance, l’échafaudage tiendra vaille que vaille. On trouvera toujours des prêteurs qui accepteront de perdre une partie de leurs fonds en les laissant pour un temps donné à la disposition de la France. Mais les taux ne pourront pas rester négatifs éternellement. Les premiers craquements se font entendre : l’Argentine s’effondre, du fait de la crise politique, les taux italiens se tendent et risquent d’arriver à un niveau tellement insupportable que nos voisins transalpins seront obligés de quitter en catastrophe la zone euro, au risque de provoquer une crise mondiale plus épouvantable que celle de 1929. La seule solution que les banquiers centraux entrevoient, c’est de baisser encore plus les taux, un non-sens total économique, une aventure dont on ne sait pas où elle va nous mener puisqu’elle n’a jamais été tentée.

    Viendra peut-être (sûrement ?) le moment fatal où la méfiance sera généralisée, où personne ne voudra prêter à personne, où le système bancaire s’effondrera, où on limitera drastiquement les retraits. Les deux dettes, officielle et immergée, seront exigibles rapidement. L’État, ce monstre froid, surmontera cette épreuve en changeant de monnaie, en favorisant une inflation à deux chiffres. Pour parer au plus pressé, il saisira une partie des dépôts (de l’ordre de 20 %) et taxera lourdement le foncier (par exemple, en nationalisant 10 % de tous les terrains et en exigeant un loyer pour toutes les constructions, loyer qui, s’il n’est pas payé annuellement, sera perçu d’un bloc lors de la vente). Quelles que soient les crises, l’économie survit toujours et retrouve, au bout d’un certain temps, le chemin de la croissance, mais non sans avoir ruiné au préalable les consommateurs.

    L’économie mondiale est dans une période inédite, celle de taux d’intérêt bas qui rendent les prêts accordés par les banques commerciales peu rémunérateurs. En outre, l’argent qu’elles conservent dans leurs coffres doit, dans la zone euro et en Suisse, être impérativement placé auprès des banques centrales, qui lui appliquent des taux négatifs (-0,4 % pour la BCE, -0.75 % pour les Helvètes). Or, les banques sont incapables de prêter tous leurs fonds et doivent, de toute façon, conserver des réserves de plus en plus importantes. On estime, en moyenne, à 10 % l’argent disponible pour rembourser les clients qui reprendraient leurs billes. Ce qui veut dire qu’en cas de panique bancaire et de ruée vers les guichets de particuliers souhaitant récupérer leur mise avant la faillite, les autorités seraient contraintes rapidement de fermer les vannes et de limiter drastiquement les retraits.

    En Allemagne et en Suisse, des banques ont choisi d’appliquer des taux négatifs sur les dépôts à partir d’un certain seuil. Dans la Confédération helvétique, Julius Bär et Pictet vont être rejoints par UBS, qui projette de prélever 0,75 % au-delà de 2 millions de francs suisses. Ces banques veulent obliger leurs riches clients à utiliser les placements rémunérateurs qu’ils offrent par ailleurs. Outre-Rhin, 107 (sur 162) établissements répercutent sur les entreprises en totalité ou en partie les 0,4 % qu’ils payent eux-mêmes à la BCE, et 30 font de même pour les dépôts des particuliers dépassant les 100.000 euros. La fédération allemande des Volks et Raiffaisenbanken (un réseau de caisses d’épargne régionales) menace de taxer ses clients si la politique de la BCE ne change pas. Il s’agit donc d’un mouvement de fond qu’il sera difficile d’endiguer. De plus, la barrière des 100.000 euros risque de céder et les dépôts seront peut-être, un jour ou l’autre, impactés dès le premier euro.

    En France, les banquiers consultés par Les Échos affirment qu’ils n’ont aucun projet de ce genre, car contrairement à l’Allemagne, ils ont déjà obtenu de faire payer (et cher) les services qu’ils offrent. Ils n’ont pas besoin, pour l’instant, de taxer les dépôts, mais rien ne dit qu’ils ne vont pas, tôt ou tard, imiter leurs confrères allemands, d’autant plus que la BCE va sans doute encore abaisser ses taux, menaçant la rentabilité des établissements français.

    La BCE, voyant le problème, réfléchit à un moyen de redonner aux banques une partie de l’argent récolté grâce aux dépôts obligatoires (plus de 8 milliards d’euros par an). Mais la manœuvre est délicate. Il faut écarter, en effet, tout mécanisme qui dissuaderait les banques de prêter aux particuliers et aux entreprises. La BCE n’a pas encore trouvé la martingale idéale. Or, le temps presse. Il faut consolider les revenus des banques avant que la prochaine crise n’éclate et ne les fragilise encore plus. Le risque d’une faillite bancaire plane sur l’Europe.

    Christian de Moliner 

     

    Source : leblogalupus