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  • Macron, mouche du coche ?

    Publié par Guy Jovelin le 20 août 2019

    Entre commémorations et rencontres internationales, Jupiter a retrouvé des couleurs et qui s’éloignent du jaune… pour l’instant. Le style est destiné à séduire l’électorat de droite et à favoriser soit les conquêtes soit les alliances lors des municipales. C’est la vraie bataille qui peut porter un coup décisif au bastion de l’opposition qu’est encore le Sénat. Que la forme masque un fond qui devrait révulser la plupart des électeurs de droite semble échapper à beaucoup de Français. Il faut dire que l’empressement des grands médias à participer à la mise en scène, en glorifiant par exemple les mini-bains de foule organisés, apporte un concours sans pareil à la réussite de la manoeuvre. Dans quelques semaines, la dure réalité sera de retour.

    En attendant, notre narcissique président joue les « maître Jacques » entre Vladimir Poutine, reçu à Brégançon, et les membres du G7 réunis à Biarritz, et dont le Chef de l’Etat russe a été exclu depuis 2014. Depuis, les relations entre la Russie et les puissances occidentales se sont aigries au point d’être devenues plus difficiles que dans les dernières années de l’URSS. Le nombre des dossiers sensibles et des points chauds s’est accru sans qu’aucune solution ne paraisse en vue. L’absence de la Russie, mais aussi de la Chine et de l’Inde au G7 relativise beaucoup l’importance de cette réunion des pays riches inscrits dans l’axe atlantique derrière les Etats-Unis : le Royaume-Uni, le Canada, et leurs alliés inconditionnels, l’ Allemagne, l’Italie, le Japon. Il fut un temps où la France faisait entendre sa voix singulière. En Syrie notamment, Macron a choisi au contraire d’être en pointe dans la meute qui empêche un Etat de retrouver sa pleine souveraineté sur l’ensemble de son territoire.

    Il est probable que les dirigeants éviteront d’évoquer les manifestations de Moscou et de Paris et leur répression. La France n’a pas de leçon à donner dans ce domaine. En revanche, quatre questions devraient être abordées. Or, dans chacun de ces cas, notre pays aurait tout intérêt à s’entendre avec la Russie : c’est vrai pour la Libye, où la réunification du pays sous un régime fort permettrait à la fois de couper l’une des routes de l’immigration illégale et de tarir en partie l’approvisionnement des groupes rebelles et salafistes qui infestent le Sahel où les troupes françaises sont engagées et exposées. La victoire du maréchal Haftar, n’en déplaise à l’ONU, à certains européens, et surtout à la Turquie et au Qatar, qui soutiennent les Frères musulmans de Misrata, serait un point positif pour les deux pays. En Ukraine, la solution du fédéralisme proposée depuis longtemps par Moscou permettrait de trouver une issue à la guerre du Donbass, mais à condition de reconnaître la légitimité du retour de la Crimée à la Russie. Les sanctions appliquées en raison de cette annexion sont injustes et stupides. La Crimée n’a été incluse dans l’Ukraine que dans les années cinquante. La séparation de cette république soviétique d’avec la Russie date de 1991. Les habitants de Crimée sont russes, parlent russe et ont voté leur rattachement à une écrasante majorité. Cette réalité est plus légitime que l’arrachement du Kosovo à la Serbie ou que la réunion de Mayotte à la France. L’élection d’un nouveau président ukrainien moins dépendant des nationalistes de l’ouest du pays ouvre une possibilité.

    L’entêtement criminel des Occidentaux en Syrie rend les choses plus difficiles. Non seulement ils ont encouragé les rebelles mais ils ont financé, équipé et armé les djihadistes en concurrence avec leurs alliés de Turquie et du Golfe. Ils ont à plusieurs reprises attaqué l’armée syrienne, et continuent d’interdire à celle-ci d’occuper l’est du pays laissé avec ses champs de pétrole aux mains des Kurdes, bien incapables de tenir le pays sans le soutien occidental. Cette situation, accompagnée là-aussi de sanctions économiques, empêche la Syrie de retrouver un niveau économique et social capable de réparer les ruines et de mettre un terme à la misère de la population. On ne soulignera jamais assez le cynisme et la mauvaise foi des Occidentaux dans cette tragédie dont ils sont les principaux responsables. L’armée syrienne, soutenue par la Russie, peine à chasser les miliciens d’Al-Qaïda de la zone d’Idlib, en partie occupée par la Turquie au mépris du droit international, et les Occidentaux continuent à menacer une armée qui intervient dans son propre pays de représailles au cas d’utilisation d’armes chimiques qui pourraient parfaitement avoir été employées par leurs adversaires.

    Restent bien sûr les sanctions à l’encontre de l’allié iranien de la Russie. Apparemment, les deux pays souhaitent qu’elles soient levées et désirent limiter l’accès de l’Iran au nucléaire civil à l’exclusion du militaire. Mais, on mesure sur ce point la fragilité de la France, et de l’Europe, à l’égard des Etats-Unis, aptes à punir toute entreprise étrangère utilisant notamment la monnaie américaine, ou présente sur le sol américain pour avoir eu des relations économiques avec l’Iran. Des amendes, des poursuites judiciaires contre les entreprises ou leurs dirigeants ne sont pas exclues. Macron qui a facilité la reprise d’Alstom par l’américain GE à la suite des actions judiciaires menées contre les dirigeants français de l’entreprise est mal placé pour jouer les gros bras dans cette affaire. Maître Jacques à Brégançon, il risque de n’être plus que la mouche du coche à Biarritz, un coche dont le cocher s’appelle Trump…

     

    Source : ndf

  • Migrants de l’Open Arms : au nom des Lillois, Martine Aubry s’est dite prête à en accueillir une partie

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2019

    Par  le 19/08/2019

    Comme pour le Sea Watch en juin dernier, Martine Aubry s’est dite prête à accueillir une partie des réfugiés du navire humanitaire Open Arms, à Lille. La France a annoncé la veille qu’elle en accueillerait 40.

    Dimanche 18 août, le ministère de l’Intérieur a annoncé que la France accueillerait 40 réfugiés du bateau humanitaire Open Arms, de l’ONG espagnole Proactiva. À la suite de cette déclaration, Martine Aubry a tweeté dans la foulée pour afficher son engagement en faveur des réfugiés et de son intention d’en accueillir à Lille.

    « Comme je l’ai fait pour le Sea Watch, j’ai confirmé […] que nous sommes prêts à Lille à accueillir des réfugiés du Open Arms que la France s’est engagée à recevoir« , a-t-elle tweeté dimanche.

    Martine Aubry @MartineAubry

    Comme je l’ai fait pour le Sea-Watch, j’ai confirmé à nouveau au directeur de @OFII_France que nous sommes prêts à Lille à accueillir des réfugiés du que la France s’est engagée à recevoir.

     

    […]

    France 3 via fdesouche

  • Greta Thunberg : l’imposture et les manipulations continuent

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2019

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    Greta Thunberg : l’imposture et les manipulations continuent

    Son voyage en voilier va nécessiter plusieurs vols en avion mais combien de personnes vont naïvement continuer à se faire intoxiquer par cette imposture ?

    “C’est un paradoxe auquel Greta Thunberg, très critique envers les conséquences écologiques des vols en avion, devrait se faire un plaisir de répondre. La jeune militante suédoise, qui doit participer à un sommet sur le climat à New York le 23 septembre prochain, a choisi de s’y rendre en traversant l’océan Atlantique à bord d’un voilier en carbone réputé très écologique – bien que sponsorisé par des marques un peu moins écolos. Problème : l’organisation du périple en mer va nécessiter au moins quatre vols transatlantiques,rapporte le journal allemand Die Tageszeitung. Un comble.

    Et pour cause : selon le quotidien, deux employés, qui auront la tâche de ramener le voilier en Europe, devront avant cela se rendre outre-Atlantique en avion. Le skipper allemand qui accompagne Greta Thunberg, Boris Herrmann, reviendra lui aussi par les airs sur le Vieux Continent (…) Le père de la militante, Svante Thunberg, le fondateur monégasque de l’équipe Malizia détentrice du voilier, Pierre Casiraghi, et un cinéaste sont également du voyage à bord du voilier. Pierre Casiraghi, actionnaire d’une entreprise d’hélicoptères, n’est par ailleurs pas vraiment réputé pour son engagement en faveur de l’environnement. Il rentrera lui aussi des États-Unis en avion.”

     

    Source : lesalonbeige

  • Leeds (Royaume-Uni): la jeune autochtone refuse d’avoir des relations sexuelles avec lui, le demandeur d’asile la poignarde à mort pour « lui donner une leçon »

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2019

    Par  le 17/08/2019

    Le meurtrier avait poignardé à mort une femme de 21 ans lors d’une « colère explosive » après qu’elle ait refusé d’avoir des rapports sexuels avec lui

    Karar Ali Karar, 29 ans, a poignardé à 15 reprises la tête et le corps de Jodi Miller, 21 ans, avec un couteau de cuisine dans le but de lui «donner une leçon» après qu’elle ait rejeté à plusieurs reprises ses avances sexuelles.

    […]

    Jason Pitter [le procureur]: « Il devenait de plus en plus désespéré, frustré et finalement mécontent de ses efforts, allant même jusqu’à lui proposer de l’argent pour avoir des relations sexuelles avec lui. »

    « Mlle Miller n’avait naturellement rien fait de tout cela et n’avait manifesté aucun intérêt pour l’accusé. »

    […]

    M. Pitter a déclaré: « Il était tellement en colère et frustré par le rejet qu’il a décidé, dans son esprit, de lui donner une leçon. Pour la confronter et finalement la tuer. »

    […]

    Karar a été condamné à perpétuité après avoir plaidé coupable de meurtre hier. Il doit purger une peine minimale de 25 ans de prison.

    Metro via fdesouche

  • Quand les citadins débarquent à la campagne…

    Publié par Guy Jovelin le 19 août 2019

    Rédigé par notre équipe le 19 août 2019

    Quoi de mieux qu’un air pur (ou presque) et un rythme plus humain, loin de la folie des grandes villes ? Beaucoup de Français en rêvent et certains franchissent le pas en s’installant dans des petites communes. Un mouvement également bénéfique à ces dernières qui peuvent ainsi espérer retrouver plus de vie et pourquoi pas des services publics partis il y a déjà bien longtemps. Mais de la théorie à la pratique, il y a la bêtise qui s’invite dans la danse. Ainsi, entre les déjections d’abeilles et des corneilles trop agressives, les « néoruraux » veulent tout dégager autour d’eux.

    Vivre en ville est-il encore une sage décision ? Avec des technologies qui permettent de remplir de nombreuses tâches à distance, vivre dans des cités dortoirs ou des centres-villes en voie de délabrement devient de plus en plus anachronique. Les campagnes françaises, désertées depuis des décennies tendent leurs bras, mais chaque nouvel habitant ne signifie pas une victoire, car accueillir des cas sociaux rend la direction de la commune bien plus compliqué. Entre les complaintes habituelles et les menaces aux maires, un nouveau type de « nuisances » apparaît sur les écrans radars…

    Vers une campagne sans animaux

    Si les avantages d’une vie à la campagne sont bien identifiés par ceux qui rêvent d’une vie loin des bouchons et de transports publics insupportables à raison de plusieurs heures par jour, les inconvénients sont quant à eux très pris en compte. Ce n’est qu’une fois sur place que les « néoruraux » comprennent l’ampleur de l’absence de l’Etat avec parfois aucun service public présent physiquement, des écoles éloignées d’une dizaine de kilomètres, des collèges et lycées encore plus inaccessibles et des hôpitaux qui ont fermé pour ne laisser place à aucun professionnel de santé. Alors quand un couple de touristes se fait sauvagement attaquer, le manque d’infrastructures se fait cruellement sentir.

    Sauf que l’attaque en question a été perpétrée par une… corneille. Pour ceux qui en sont arrivés au point de ne pas connaître le nom même de cet animal, il s’agit d’un oiseau d’une quarantaine de centimètres et ne pesant qu’un demi kilo. Le genre de bête à ne terroriser que les vers de terre et les cadavres d’autres animaux. Mais le journal La Nouvelle République rapporte dans son édition du 14 août qu’un couple de Parisiens a été sauvagement agressé par une corneille. Une information que l’on doit à ce même couple qui s’en est sorti in extremis« Je vous assure, cette corneille avait bien un comportement agressif. Avant ça, elle avait attaqué les mollets de mon mari et s’en prenait aux pneus de la voiture. On n’ose à peine sortir du gîte depuis ! » a assuré une des deux victimes.

    Les faits sont particulièrement dramatiques puisque la corneille aurait foncé sur la pauvre femme, l’obligeant à s’enfuir. Pas de chance, en tant que citadin, les efforts physiques démesurés sont impossibles à maîtriser et au bout de quelques pas de course, c’est la chute. Bilan : deux points de suture au menton et un « traumatisme maxillo-facial ». Heureusement que l’oiseau féroce, certainement « dressé à attaquer », selon la femme, n’en a pas profité pour donner le coup de grâce une fois sa pauvre victime à terre. Il aura toutefois fallu rouler de nombreux kilomètres avant d’arriver aux urgences pour échapper à d’horribles souffrances et pouvoir s’attaquer à son tour à la corneille en l’expulsant de son habitat naturel.

    Tout ceci est grotesque, mais malheureusement une telle histoire se cantonne de moins en moins dans la catégorie faits divers (ou de foire). La présence passagère et plus encore quotidienne d’(ex)-citadins rend la vie difficile pour les habitants de la campagne et pour la faune en particulier. Aujourd’hui, la justice examine plusieurs cas de coqs qui ont la manie de chanter. Un « cocorico » trop tôt par rapport à l’emploi du temps d’un voisin « néorural » et c’est l’assurance de le voir attaqué en justice pour le faire dégager quand des méthodes plus brutales et illégales ne sont pas employées…

    Et quand ce ne sont pas les corneilles et les coqs qui font la Une, ce sont les abeilles ! Décimées par les insecticides, il en reste malgré tout encore beaucoup trop selon certains. Une commune du Puy-de-Dôme a le redoutable privilège d’avoir attiré des « néoruraux » dont certains se plaignent des déjections causées par les abeilles d’un apiculteur local. Et il est vrai que les déjections, c’est toujours désagréable. Surtout, celles des abeilles, lesquelles ne sont constituées que de pollen… Il faudrait peut-être cramer les ruches et en profiter pour mettre le feu à toute la nature environnante. Il n’y aurait plus de pollen ni aucun animal, nuisible par définition. A ce nouvel environnement, on pourrait y ajouter une grande dalle de béton, quelques tours et on se sentirait comme à la maison. Une maison en ville…

     

    Source : 24heuresactu