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  • Toulouse : un élu écologiste se fait voler son portable dans la rue et le retrouve grâce à la vidéosurveillance… qu’il dénonce

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

     

    L’élu d’opposition Europe Ecologie-Les Verts toulousain Antoine Maurice s’est fait dérober son téléphone portable par trois individus. Deux d’entre-eux ont été arrêtés et le téléphone récupéré grâce à la vidéosurveillance… que l’élu a toujours combattue !

    […]

    Un opposant politique à Antoine Maurice, qui a eu vent de l’histoire, s’amuse de l’ironie du sort : «Il a toujours combattu les caméras de vidéosurveillance et c’est grâce à l’une d’entre-elles que deux hommes ont été arrêtés et qu’il a récupéré son téléphone !»

    […]

    La Depeche via fdesouche

  • Des habitants de Vézelay lancent un appel pour que chaque village de l’Union européenne accueille deux migrants

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

    Par  le 21/08/2019
    Un groupe d’habitants de Vézelay vient de lancer un appel, jeudi 15 août 2019, pour demander aux Européens de se mobiliser en faveur des réfugiés.

    « Même si les pays européens acceptent d’accueillir quelques dizaines de migrants bloqués sur des bateaux en Méditerranée, plus de 400 autres sont en attente sur la mer, dans des conditions qui deviennent dramatiques. Qu’est-ce que 400 personnes pour les plus de 500 millions d’habitants de l’Union européenne ? Nous, groupe d’habitants de Vézelay – village français de 400 habitants -, nous nous engageons solidairement à accueillir deux d’entre eux, et appelons solennellement tous les villages de l’Union européenne à faire de même. »

    Un appel passé le 15 août 2019

    Daté du 15 août 2019, l’appel de Vézelay a été signé par des habitants du village. Catalyseur de ce mouvement, Monique Bel confie que, l’été 2018, des Vézeliens s’étaient déjà mobilisés pour accueillir « deux jeunes Africains en situation irrégulière ».

    […]

    L’YonneRépublicaine via fdesouche

  • CLIMAT : LE DÉBAT CONFISQUÉ

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

    POSTÉ LE AOÛT 20, 2019, 10:38

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    La revue « Nature Communications » a publié, dans sa livraison d’août 2019, un article « prouvant » que les « négationnistes du climat » (selon le jargon des journalistes français) étaient plus présents dans les médias que les « climatologues sérieux ».

    La première chose qui vient à l’esprit, c’est qu’une telle étude n’a guère d’intérêt dans une revue scientifique de premier plan. Certes, « Nature Communications » n’est qu’un « sous-produit » de la revue « Nature », mais cette dernière dilapide son crédit en étant associée à de telles « enquêtes ».

    Car cette enquête n’a rien de scientifique et relève plutôt de l’opération de basse police : il s’agit de « balancer » les noms des « mal-pensants » pour empêcher qu’ils soient publiés ou que leurs recherches soient financées.

    Rappelons que la science ne progresse que par la critique des « consensus » et qu’interdire toute critique du prétendu consensus sur le « réchauffement climatique d’origine anthropique » est le plus sûr moyen de ne jamais rien comprendre à l’évolution du climat dans le monde.

    Mais, surtout, sur le fond, la mauvaise foi le dispute à l’amateurisme. Tout est arbitrairement mélangé dans cet article bourré de statistiques, mais très peu scientifique.

    De multiples questions se trouvent ainsi « amalgamées » : Observe-t-on un réchauffement global ? Ce réchauffement est-il lié au CO2 ? Ce réchauffement est-il d’origine humaine ? Ce réchauffement est-il durable ? Ce réchauffement est-il dangereux ? Etc.

    Parler, comme le font les journalistes français signalant cette étude (mais comme se garde prudemment de le faire « Nature Communications »), de « négationnistes du climat » est à la fois absurde (douter du réchauffement climatique n’est pas douter de l’existence du climat !) et calomnieux.

    C’est d’autant plus grave que ce « négationnisme » risque d’être bientôt condamné par la loi comme l’autre – auquel il fait implicitement référence.

    Enfin, il faut vraiment prendre le public pour un ramassis d’abrutis pour oser prétendre que la thèse du réchauffement climatique d’origine anthropique est sous-représentée dans les médias. Il est impossible à la plupart des politiciens et des journalistes de mettre en doute ce « consensus » et ce serait l’opinion adverse qui musellerait le débat ?

    Au moins l’un des « négationnistes » visés, Lord Monckton of Brenchley, a annoncé son intention de porter plainte. Souhaitons que l’affaire aille jusqu’au bout : il est monstrueux que des commissaires politiques tentent ainsi d’intimider des scientifiques « dissidents » !

     

    Source : les4verites

  • L’ESCROQUERIE DE LA RÉFORME DES RETRAITES

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

    POSTÉ LE AOÛT 20, 2019, 10:42

    cnav-222x150.pngLes retraites sont au mieux une chance ; au pire une escroquerie !

    Loin de moi cependant l’idée de mettre en cause le principe qui vise à maintenir le niveau de vie des actifs concernés après la fin de leur activité, ni même celui qui s’attache à réformer l’ensemble des régimes de retraite existants.

    Les intentions sont louables et peut-être bonnes.

    Mais, comme on le sait, l’enfer est pavé de bonnes intentions.

    Ma critique est beaucoup plus fondamentale et va droit au cœur du sujet.

    Comme chacun le sait, l’avenir est imprévisible, tant pour nous que pour les gouvernements.

    Qui peut donc savoir s’il atteindra l’âge de la retraite et si les caisses de retraite seront en fin de course en mesure de payer quoi que ce soit ?

    Cotiser pour une retraite future, c’est donc faire le pari que l’on pourra en bénéficier et que, surtout, les caisses de retraite seront bien en mesure de les payer.

    Ce dernier pari réussit à certains et malheureusement pas à d’autres.

    Pire, ceux qui meurent avant d’atteindre l’âge de la retraite perdent le bénéfice des points acquis (principe de l’assurance) et font le bonheur des veinards qui vivent plus longtemps.

    Plus grave, les sempiternelles réformes de retraite brouillent sans arrêt les cartes en y mêlant des objectifs économiques et sociaux qui n’ont rien à voir avec une bonne gestion des fonds prélevés à chaque salarié soi-disant pour sa retraite future.

    Ces objectifs tiennent compte ainsi de quantité de facteurs et de situations (maternités, périodes de chômage, maladies, dépendances, écarts salariaux hommes-femmes, etc.) qui font que ce qui est finalement intégré dans le calcul des pensions n’a plus grand-chose à voir avec ce qui a été réellement prélevé sur les actifs.

    D’autant que, cerise sur le gâteau, les gestionnaires des caisses de retraite n’hésitent pas à faire de bonnes œuvres sur le dos des retraités.

    Enfin, les droits à la retraite acquis tout le long de la vie professionnelle sont convertis en pension au moment du départ en retraite selon le système existant à cette date et qui n’a souvent plus grand-chose à voir avec le système initial.

    Qui peut affirmer qu’il y aura assez d’actifs au travail pour payer les retraites et qu’ils accepteront de le faire ?

    Et les robots qui nous remplaceront paieront-ils des retraites ?

    Comment les prendrait-on en compte ?

    Il s’en passera aussi des choses, actuellement indécelables, en quelques dizaines d’années. Comment les anticiper ?

    Enfin, confier à l’État, le pire gestionnaire qui soit, ses économies pour le futur n’est guère affriolant !

    Autant dire qu’après « le salaire universel », on s’achemine vers « la retraite universelle » qui n’aura plus rien à voir avec le sérieux avec lequel on aura travaillé pendant de longues années.

    Qui donc voudra encore travailler dans ces conditions-là ?

    Comme disaient les Russes au plus fort du communisme : « Ils font semblant de nous payer et nous, nous faisons semblant de travailler » et le pays s’est laissé aller à un délabrement tellement insupportable que le communisme n’en a pas survécu.

    Bref, de quelle couleur seront demain les gilets jaunes d’aujourd’hui ?

     

    Source : les4verites

  • Racisme anti-blanc : la réponse cinglante d’un policier au négationisme du député Aurélien Taché

    Publié par Guy Jovelin le 22 août 2019

    Le site internet du magazine Le Point vient de publier la tribune libre d’un policier. Celui-ci répond à Aurélien Taché, député LREM du Val-d’Oise et membre du pôle idée de ce parti, qui a diffusé un tweet la semaine dernière niant l’existence du racisme anti-blanc.

    Il faut se souvenir que c’est déjà ce député Taché qui s’était illustré en comparant le voile islamique à un simple serre-tête.

    Le policier qui a rédigé cette tribune publiée par Le Point précise qu’il n’est pas Français de souche.

    Sachez aussi que j’ai bien conscience qu’il est dangereux de s’attaquer à ce sujet. Toutefois, non seulement je suis policier et donc déjà catalogué comme facho par nos détracteurs, mais de plus, comme le prouve ce tweet, je pense que la lutte contre le racisme s’exprime trop fréquemment de manière hystérique et caricaturale. (…)

    J’en ai assez de voir beaucoup trop de nos concitoyens se rejeter cette crainte d’être assimilé comme raciste, telles une patate chaude ou une grenade. Assez de voir ce combat être utilisé comme un faux-semblant, d’autant plus quand le but est de ratisser large. Enfin, même si mon devoir de réserve m’oblige normalement à me taire, ce genre de posture influe beaucoup trop concrètement sur ma vie de citoyen et de policier, ces dernières années, pour que je me taise davantage. (…)

    C’est pourquoi j’en viens enfin à son allusion au « prétendu racisme anti-Blanc », qui pour moi trahi clairement tout le reste de son œuvre. Il est inadmissible de nier ce racisme au même titre que les autres. Je croise des victimes concrètes de ce fléau chaque jour. Il suffit d’aller visiter certains forums ou même certains réseaux sociaux pour vérifier l’ampleur du phénomène. Les Blancs y ont toutes sortes de surnoms. Ça va du petit Babtou au grand Babtou, quand ce n’est pas Gouffa, Kouffar ou simple mécréant. Cependant, généralement, la victime idéale y est tout simplement décrite comme le « céfran », facile à impressionner, facile à dévaliser, facile à humilier.

    Dans beaucoup de quartiers, le petit céfran est non seulement une proie facile, mais aussi une aubaine pour se faire valoir auprès des potes. Il est déjà tellement accablant, en tant que policier, de ne pas pouvoir freiner ce phénomène convenablement et il faudrait en plus, d’après monsieur Taché et d’autres grands esprits, que nous les laissions seuls à la cave. Au nom de quoi devrions-nous nier ces plaies saignantes ?

    Je suis désespéré à cette idée que l’on n’appelle plus un chat, un chat. Ces dissimulations de la vérité ou ces mensonges par omission, peu importe comment on les nomme, sont néfastes quoi que l’on dise. Je prétends même que cette politique décadente est en fait en grande partie responsable de ces amalgames dont notre société souffre. Le rejet de la vérité est un boomerang qui nous reviendra en pleine tronche à un moment ou à un autre. La véracité du terrain est indiscutable. Et non, monsieur Taché et consorts, vous n’arriverez pas à nous convaincre du contraire de ce que nos yeux voient.

     

    Source : medias-presse.info