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  • Exécution à la guillotine : la commune de Bouc Bel Air fête la Révolution

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2019

    Auteur : Michel Janva

    Exécution à la guillotine : la commune de Bouc Bel Air fête la Révolution

    Ce n’est pas une blague : les 24 et 25 août, la commune Bouc Bel Air (Bouches-du-Rhône) a fait vivreaux visiteurs les terribles heures de la Révolution Française, avec exécutions (factices) à la guillotine.

    Selon un témoin sur place, l’animateur indiquait par haut parleur que “le peuple aime le sang”. Une démonstration de cette invention a été proposée aux visiteurs. Les colonnes infernales bientôt de retour ?

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron, le G7 et les écolos

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2019

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    Le billet de Patrick Parment

    On ne peut nier qu’Emmanuel Macron a réussi « son » G7. Un G7 qui s’est joué à plusieurs niveaux. Sur le fond, il s’agissait rien moins que de contrer les influences planétaires chinoises dans les domaines tant politique qu’économique et de réaffirmer la primauté de l’Occident et de son modèle économique, le libre-échangisme. Pour cette raison majeure, Donald Trump n’avait aucune raison de saboter ce G7 comme il est coutumier dans ce genre de raout. Emmanuel Macron avait préparé le terrain lors de sa rencontre avec Vladimir Poutine à Brégançon, afin de ramener le tsar russe dans le giron occidental. Car, suite aux différents embargos qui touchent son pays, Poutine avait enclenché une série d’entretiens avec Pékin. Autre preuve, la présence du premier ministre indien Narendra Modi, plutôt proche des Russes, et qui incarne la résistance aux visées chinoises en Asie.

    Tout était donc réuni pour satisfaire un Donal Trump, symbole d’un monde régi par le libre-échange et dont l’Amérique est de fer de lance. Macron, ayant fait preuve de sa vassalité, Donald Trump pouvait repartir satisfait de ce G7.

    D’autant que Trump se fout complètement de la querelle déclenchée par Macron à l’encontre du président brésilien, Jair Bolsonaro. Cette vindicte subite est destinée à la politique intérieure française et à la montée, réelle ou factice (?), des écolos en vue des prochaines élections municipales. Car Macron veut également phagocyter cet électorat qui manque à son palmarès.

    Rappelons les faits. Macron a violemment mis en cause la politique du président Jair Bolsonaro, au sujet des feux de la forêt amazonienne. Bref, Macron s’en prend, au-delà cette forêt qui serait l’un des grands poumons de la planète, au leader populiste, limite facho, aux yeux de notre président. Macron se pose ainsi en défenseur de la démocratie et mieux encore, de la planète. Il va même jusqu’à déclarer vouloir abandonner les accords passés entre l’Europe et le Mercosur – ce qui, entre nous soit dit, serait une excellente chose.

    Sauf que ce que vise Macron, c’est bel et bien l’électorat écolo. Car sur le fond, l’affaire amazonienne est marginale. Le vrai poumon de la planète ce sont les océans et non cette forêt qui n’entre dans le processus qu’à hauteur de 5%. D’autre part, les feux les plus importants ne sont pas en Amérique latine mais en Afrique. Enfin, le Brésil n’est pas le seul concerné puisque la forêt amazonienne concerne tout autant les pays limitrophes du Brésil. Jair Bolsonaro n’a pas tort quand il dit que « l’Amazonie sera sauvée par les Brésiliens et non par la rhétorique hystérique et mensongère des médias aux ordres, des bureaucrates transnationaux et des ONG ».

     

    Source : synthesenationale

  • Fonds européens contre les migrants : ainsi l’Espagne bloque les flux et le Maroc empoche

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2019

    Après l’urgence migratoire de 2018, en Espagne les flux ont diminué. La tactique de Madrid : renforcer les rapports avec le Maroc pour bloquer l’immigration grâce aux fonds européens.

    En 2018, l’Espagne était le pays qui a subi le plus grand nombre de débarquements de clandestins : selon l’UNHCR, le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, sont arrivés outre 65 000 « migrants ». La même année les débarquements en Grèce ne représentaient que 32 000 et ceux en Italie 23 000.

    L’an dernier, le gouvernement espagnol a été confronté à une vraie invasion, particulièrement dans son enclave de Ceuta. Pour palier ce phénomène, Madrid a donc renforcé ses rapports avec le Maroc, pays clé pour la gestion des flux migratoires.

    La seconde moitié de 2019 a vu une inversion de la tendance. Comme rapporte le quotidien italien La Stampa l’Aquarius en 2018 et la tentative de secours d’Open Arms représentent des exceptions, ce sont plutôt des petites embarcations qui arrivent sur les côtes espagnoles, rendant l’invasion plus imperceptible par la population locale même si cette question de l’immigration inquiète de plus en plus d’Espagnols.

    C’est aux confins avec le Maroc que se joue la partie de l’immigration, entre les enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla et l’Union européenne : les rapports entre l’Espagne et le Maroc sont depuis toujours des secrets d’État et Madrid use son voisin arabe comme le méchant policier qui fait le sale travail, mais dont elle subit ensuite le chantage.

    Le pays nord-africain a compris qu’il peut utiliser la traite des êtres humains à son avantage, comme un levier financier continuel. Et ainsi, en diverses occasions, il a ouvert et fermé le robinet de l’immigration. Et de Madrid et Bruxelles continue à arriver de l’argent dans les poches de Rabat pour bloquer les flux migratoires. Après la colonisation européenne en Afrique, c’est au tour de l’Afrique de coloniser l’Europe…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La Femen profanatrice antichrétienne Inna Shevchenko participait officiellement au G7 et s’est trouvée à la même table qu’Emmanuel Macron

    Publié par Guy Jovelin le 26 août  2019

    L’information est passée quasiment inaperçue, simplement soulignée par un tweet enthousiaste de l’ineffable Marlène Schiappa et quelques articles de la mouvance “féministe” : la Femen Inna Shevchenko participait de façon officielle au G7 de Biarritz, désignée par la Macronie pour siéger au Conseil consultatif pour l’égalité femmes-hommes du G7 et se retrouver à la même table que le président de la république.

    Certes, il fallait un œil très attentif pour la reconnaître. Pour l’occasion, elle avait adopté un look très embourgeoisé, loin de l’image d’hystérique dépoitraillée enchaînant les provocations antichrétiennes, les blasphèmes, les profanations et les séances d’exhibitionnisme sous l’objectif des photographes de presse et des caméras de télévision.

    Pourtant, c’était bien elle.

    Dès leur arrivée en France, l’ukrainienne Inna Shevchenko et son mouvement Femen avaient bénéficié d’évidentes collusions avec différents cercles du Pouvoir. Mais Inna Shevchenko apparaît désormais de plus en plus officiellement comme une interlocutrice appréciée lors des rendez-vous du Nouvel Ordre Mondial.

    Récompensée par la franc-maçonnerie, puis invitée par Jacques Attali au Global Positive Forum, la voilà à un sommet du G7.

     

  • L’agriculture française en déclin

    Publié par Guy Jovelin le 26 août 2019

    Par  le 26/08/2019

    Grande puissance agricole mondiale pendant longtemps, la France est désormais en déclin dans ce domaine. Voici comment elle en est arrivée là.

    Il semble bien loin le temps où la France était la grande puissance agricole et agroalimentaire mondiale, aux côtés des États-Unis. De deuxième exportateur dans les années 1990, le pays est passé à la quatrième place, derrière les États-Unis, l’Allemagne et les Pays-Bas, voire à la sixième aujourd’hui, hors produits transformés. À ce rythme, en 2023, la France importera davantage de produits agricoles qu’elle n’en exporte, pointe un récent rapport du Sénat. Même tendance dans l’agroalimentaire. Pour la première fois depuis la guerre, notre balance commerciale avec les pays européens a été négative en 2018!

    Comment expliquer un tel recul? Le déclin de notre compétitivité est une des réponses. Les charges salariales ont bondi ces dernières années, tandis que des distorsions de concurrence majeures se sont instaurées avec nos voisins. Dans le secteur de la viande, l’Allemagne n’avait pas de salaire minimum jusqu’en 2015. Grâce à la main-d’œuvre bon marché, le pays s’est hissé en tête de la production européenne en quinze ans, reléguant la France au huitième rang, souligne le cabinet Xerfi. Même phénomène pour les fruits et légumes, avec l’Espagne, devenu le champion dans ce domaine. Résultat, pour compenser leurs coûts, les Français ont coupé dans les investissements, entraînant retards techniques et absence d’innovations. Un cercle vicieux. […]

    Depuis peu, nos vins souffrent à l’export, pâtissant de leurs appellations complexes et de leurs prix élevés, nos blés font face à une redoutable concurrence des pays de la mer Noire et notre production de betteraves sucrières sera amputée de quatre usines l’an prochain. Depuis peu, nos vins souffrent à l’export, pâtissant de leurs appellations complexes et de leurs prix élevés, nos blés font face à une redoutable concurrence des pays de la mer Noire et notre production de betteraves sucrières sera amputée de quatre usines l’an prochain.

    Le JDD via fdesouche