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  • Les prénoms les plus donnés en Haute-Garonne en 2018

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2019

     
    prénoms

    L’Insee a publié la liste des prénoms les plus populaires en 2018. À l’échelle nationale comme en Haute-Garonne, Gabriel et Emma se partagent la première place du classement. 

    Le classement complet en Haute-Garonne

    Masculin

    1er : Gabriel (139) 
    2e : Raphaël (125)
    3e : Adam (113)
    4e : Léo (112)
    5e : Louis (108)
    6e : Arthur (105)
    7e : Lucas (103)
    8e : Jules (91)
    9e : Hugo (89)
    10e : Maël (87)

    Féminin

    1er : Emma (111)
    2e : Louise (102)
    3e : Alice (100)
    4e : Jade (89)
    5e : Chloé (84)
    6e : Mila (77)
    7e : Anna (71)
    8e : Léna (70)
    9e : Juliette (69)
    10e : Inès (68)

    Les 10 prénoms les plus donnés en France en 2018

    1er : Gabriel / Emma 
    2e : Rahaël / Jade
    3e : Léo / Louise
    4e : Louis / Alice
    5e : Lucas / Chloé
    6e : Adam / Lina
    7e : Arthur / Léa
    8e : Jules / Rose
    9e : Hugo / Anna
    10e : Maël / Mila

    Des prénoms importés bien placés

    Surprise dans le classement de 2018. Les prénoms d’origine arabo-musulmans s’installent dans le top 10 de certains départements. Ainsi, dans l’Hérault, Amir et Mohammed se classent respectivement 9e et 10ayant été attribués plus d’une soixantaine de fois durant l’année. Dans les Bouches-du-Rhône, le prénom Mohammed est le 5e plus attribué du département avec 141 nouveaux-nés baptisés ainsi. À Paris, 200 Mohammed sont également nés, faisant de ce prénom, le 8e plus attribué dans la capitale. 

    Lire aussi : Drépanocytose. 34 % des naissances en Midi-Pyrénées sont d’origine extra-européenne

    C’est en Seine-Saint-Denis que la différence est flagrante. Dans le top 10, pas moins de la moitié du classement est dominé par des prénoms d’origines arabe, le reste étant surtout hébraïques. Ainsi, Mohamed est en pôle position avec 244 nouveaux-nés, Adam (206) et Ibrahim (127) complète le podium. Des chiffres qui ne révèlent guère une amélioration dans la crise des communautarismes que traverse la France actuellement. 

    La rédaction d’Infos-Toulouse. 

     

    Source : infos-toulouse

  • La carte bancaire des demandeurs d’asile au coeur d’une controverse

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2019

    Par  le 12/08/2019

    L’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) a repoussé à l’automne l’entrée en vigueur d’une réforme de la carte bancaire des demandeurs d’asile, après une controverse suscitée par les acteurs sociaux qui y voient un moyen de « pourrir la vie » des nouveaux arrivants.

    Annoncée au creux de l’été, la modification devait être une simple manipulation technique : la carte, sur laquelle est versée chaque mois l’Allocation pour demandeurs d’asile (ADA), allait passer le 5 septembre d’un moyen de retrait d’argent liquide à une carte uniquement de paiement, sans que le montant de l’ADA ne change. Le milieu associatif et les établissements concernés, eux, y ont immédiatement perçu une manoeuvre politique visant à décourager le recours à cette aide versée actuellement à 151.000 personnes, pour environ 42 millions d’euros mensuels, ainsi qu’une mesure qui va à l’encontre des besoins des demandeurs d’asile.

    « C’est une réforme qui a pour objectif de pourrir la vie des gens » déplore encore le patron de la Fnars dénonçant une « entrave à la libre disposition de l’allocation » qui « limite les possibilités d’accès à un mode de vie normal le temps de l’instruction » de la demande d’asile.

    (…) Le Point via fdesouche

  • Algérie : les expulsions de migrants subsahariens se sont intensifiées

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2019

    Par  le 12/08/2019

    En Algérie, les expulsions de migrants subsahariens se poursuivent par la frontière Sud. Ces expulsions, qui ont commencé fin 2016, et se sont intensifiées en 2018, se sont poursuivies cette année. Les migrants, arrêtés dans différentes villes du pays, sont amenés jusqu’à Assamaka, à la frontière avec le Niger où ils sont expulsés.

    Au cours des six premiers mois de 2019, presque 5 000 personnes ont été arrêtées puis expulsées à la frontière entre l’Algérie et le Niger. Parmi elles, plus de 90 % sont des Nigériens ; les autres migrants sont originaires d’Afrique de l’ouest et d’Afrique centrale.

    En 2018, plus de 14 000 personnes dont une majorité de Nigériens avaient été expulsées. […]

    RFI via fdesouche

  • Les grands méfaits du libéralisme

    Publié par Guy Jovelin le 13 août 2019

     

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    Le billet de Patrick Parment

    Inutile d’être un analyste politique distingué pour se rendre compte que le fait majeur n’oppose plus la gauche à la droite – notions a priori obsolètes – mais bien les tenants du libéralisme aux antilibéraux. Autrement dit les partisans d’une économie mondialisée, aux « nationalistes » mais dans une perspective moins "natio" qu’européenne, cela va s’en dire. Pour nous l’enjeu c’est bel et bien la défense et l’illustration d’une Europe de la puissance plutôt que ce magma libéral informe qui ouvre nos économies à tous les vents et dont Bruxelles est devenu le symbole.

    C’est curieusement dans un domaine où l’on ne s’y attendait pas que se révèle l’un des méfaits majeurs du libéralisme pour les Européens : le médicament. Autrement dit notre santé. Ce problème a été mis en lumière récemment quand certaines pathologies se sont vues soudainement privées de leurs médicaments salvateurs.

    Horresco referens, on s’est alors aperçu que nombre de médicaments étaient fabriqués en Asie du Sud-Est, en Inde et en Chine. Regardons de plus près cette affaire qui nous affecte. C’est en 2018 (seulement !) qu’un rapport sénatorial (27 septembre 2018, rapport n° 737, dirigé par Yves Daudigny) se penche sur cette soudaine pénurie. Celles-ci trouvent, en partie, leur origine dans la délocalisation des entreprises pharmaceutiques. 40% des médicaments finis commercialisés en Europe sont fabriqués hors de l’Union européenne, contre 20% il y a trente ans. La Chine et l’Inde concentrent désormais l’essentiel de la production. Et, la demande des marchés asiatiques, en forte croissance, contribue à fragiliser le système.

    La question qui se pose est : comment en est-on arrivé là ? Le phénomène débute dans les années 2000 quand de nombreux médicaments d’origine chimique voient leurs brevets tomber dans le domaine public et peuvent, dès lors, être « génériqués ». Quand la valeur d’un médicament princeps se dégrade, son prix et ses volumes chutent rapidement. La bataille ne se fait plus sur le prix et les marges. La concurrence s’exerce alors au centime d’euro près. Raison pour laquelle les grands labos se mettent à sous-traiter la production de principes actifs et d’excipients à des pays disposant d’un main d’œuvre bon marché et soumis à des exigences réglementaires et environnementales moins fortes. Même logique pour le fabricants de médicaments génériques à marges faibles qui doivent serrer les coûts.

    Comme le note un spécialiste du secteur, « les laboratoires devaient aussi faire place à de nouvelles molécules, plus rentables, dans leurs usines ». Et c’est ainsi, à titre d’exemple, que Rhodia a fermé sa dernière usine de production de paracétamol (Doliprane, Efferalgan, pour ne citer qu’eux) en Europe, située en Isère. Et c’est ainsi que l’Asie du Sud-Est est devenu l’atelier de la pharmacie. Sur les 206 médicaments chimiques autorisés par l’Agence européenne du médicament, entre 2012 et 2016, 16 sont produits en France, 65 en Allemagne et 57 en Angleterre. Il n’y a plus que 92 sites de production en France quand l’Inde et la Chine en comptent plusieurs milliers. Cherchez l’erreur ?

    Le libéralisme signe là une de ses nombreuses victoires. Au détriment, de notre santé, mais plus encore des intérêts européens. Comme le disait Alexandre Vialatte, « Et c’est ainsi qu’Allah est grand » !

     

    Source : synthesenationale

  • l'Aïd-El-Kébir, complètement étrangers aux traditions françaises

    Publié par Guy Jovelin le 12 août 2019

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    Comme chaque année, partout en France, des millions de musulmans égorgeront à partir d'aujourd'hui de pauvres bêtes dans des conditions souvent ignobles. En effet, les abattoirs légaux, pourtant installés avec déférence par des pouvoirs publics zélés, ne suffisent pas aux égorgeurs de moutons qui, pour beaucoup, préfèrent effectuer la boucherie dans la baignoire de leur logement ou bien en pleine nature, au détriment de toutes les règles élémentaires d'hygiène.

    L'animal (tourné vers la Mecque) n'est bien sûr pas étourdi avant qu'on lui coupe la gorge avec plus ou moins de dextérité, les « sacrificateurs » homologués n'étant pas suffisamment nombreux ; il agonise et se vide de son sang durant de longues minutes.

    Le Parti de la France, scandalisé par les souffrances inutiles dont les animaux de boucherie sont victimes pour satisfaire des exigences religieuses et communautaristes d'un autre âge, réclame l'application sans dérogation de l'étourdissement préalable avant la mise à mort et l'interdiction des cruels abattages rituels, comme l'Aïd-El-Kébir, complètement étrangers aux traditions françaises