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  • Immigration : mentir pour rester en France et faciliter la demande d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2019

    Par  le 09/08/2019

    Haider est Afghan, il était mineur lorsqu’il s’est présenté à la police de Cannes pour demander l’asile en France.

    Mis à la rue lorsqu’il a atteint l’âge limite pour bénéficier des services de l’aide sociale à l’enfance (ASE), Hubert l’a recueilli dans sa maison où tous les réfugiés de passage sont les bienvenus. Parce que sa famille le lui a intimé, Haider a menti sur les motifs de sa fuite d’Afghanistan. Il a aujourd’hui décidé de raconter la vérité au risque de se couper des siens. Dire son exil, vouloir rendre son histoire conforme aux attentes supposées des officiers de l’OFPRA mais aussi aux canons narratifs de la société française sur les réfugiés, pouvoir dire l’exil quand on a été victime de violence dans son pays d’origine ou durant son voyage jusqu’en Europe, c’est le lot de la majorité des réfugiés et la clef pour obtenir la protection espérée.

    Les demandeurs d’asile ont été conseillés. On leur a demandé de mentir : «si tu ne mens pas tu n’auras jamais la protection». On constate que bien souvent les motifs réels qui ont conduit la personne à quitter son pays d’origine sont bien plus graves que les motifs présentés dans leur demande d’asile. Une avocate

    On écoute les anciens : «tu ne peux pas raconter ta vraie histoire, ce n’est pas très avantageux pour toi». L’histoire des talibans, c’est plus facile pour les papiers. Haider

    France Culture via fdesouche

  • L’actice juive Rosanna Arquette dit sa honte et son dégoût “d’être blanche”

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2019

     

    L’actrice Rosanna Arquette, 59 ans, aujourd’hui quelque peu oubliée des réalisateurs en recherche de comédiennes, ne survit médiatiquement que grâce à ses tweets.

    Le mercredi 7 août, elle a tout simplement publié un tweet ethno-masochiste dans lequel elle explique avoir honte d’être une femme blanche privilégiée.

    « Je suis désolée d’être blanche et privilégiée. Cela me dégoûte. Et j’ai tellement honte », a-t-elle écrit sur le réseau social.

    Le public n’a guère goûté à ce qui frise le racisme anti-blanc. Elle a reçu tellement de messages de gens en colère qu’elle a décidé de protéger son compte et de ne plus rendre accessible ce tweet.

    En janvier 2019, elle avait déjà créé une controverse en déclarant à Paris Match n’avoir que des amis démocrates, puisqu’elle se voit « mal avec des républicains, qui, pour la plupart, sont racistes, se fichent de l’égalité hommes-femmes comme de la planète, et qui, en plus sont au moins pour certains favorables au port d’armes ».

    Times of Israël ne manque jamais de souligner que Rosanna Arquette est juive. Née d’une mère juive et d’un père qui s’est converti à l’islam, elle-même ne manque pas d’utiliser l’argument d’être juive pour comparer l’internement des immigrés illégaux aux camps de concentration et affirmer qu’aucun juif ne devrait soutenir Donald Trump.

    Ajoutons pour la petite histoire que Rosanna Arquette est aussi la sœur du transgenre Alexis (né Robert) Arquette, mort du sida en 2016.

     

    Source : medias-presse.info

  • Jacques Bompard nous parle des élections municipales à Orange et donne son avis sur le RN, Marine et Marion…

    Publié par Guy Jovelin le 09 août 2019

    Excellente intervention de Jacques Bompard sur TV Libertés. Le maire d’Orange y évoque le monument dédié aux 32 religieuses d’Orange victimes de la Terreur qu’il a inauguré il y a quelques jours ; les prochaines élections municipales ; le localisme ; la recherche du Bien commun ; les contradictions du Rassemblement National, de Marine Le Pen et de Marion Maréchal. Au sujet de cette dernière, il relève que lorsque les médias du système parlent avec enthousiasme de chaque initiative que prend Marion Maréchal, il y a quelque chose de suspect.

    Un maire qui parle sans honte de sa foi catholique et qui assume avoir consacré sa commune au sacré cœur de Jésus et au cœur sacré de Marie, voilà qui mérite des encouragements.

     

     
  • La liste des quartiers sensibles de Haute-Garonne

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Place des Faons Toulouse quartiers sensibles
    Bâtiment de la place des faons dans le quartier des Izards à Toulouse.

    La liste des quartiers sensibles a été mise à jour. En Haute-Garonne, pas moins de six zones sont définis par le ministère de la Ville. 

    Toulouse et Cugnaux sont principalement concernés par la liste établie par le ministère de la Ville. Six zones sont définies comme quartiers sensibles où délinquance, violences urbaines, règlements de compte, viols, trafics de drogue ou d’armes, ou encore implantation de l’islamisme bénéficient d’un terreau favorable. 

    Des quartiers où la vie est de plus en plus rythmée par les délinquants, et où la police est régulièrement prise pour cible par les trafiquants en tout genre. Des émeutes ont même éclatées épisodiquement dans ces territoires qualifiés de « non-droit » par une partie de la classe politique. Un climat dont les premières victimes sont les habitants eux-mêmes, souvent forcés de chercher à aller vivre ailleurs par tous les moyens possibles. 

    Les quartiers sensibles en Haute-Garonne

    Classés en quatre niveaux, selon la gravité de la situation, Toulouse compte pas moins de cinq zones répertoriées.

    Niveau 1:
    Toulouse: le Grand Mirail (Reynerie-Bellefontaine-Faourette-Bagatelle-Bordelongue)

    Niveau 2:
    Toulouse: Empalot
    Toulouse: les Izards

    Niveau 4:
    Cugnaux: Vivier
    Toulouse: Bourbaki
    Toulouse: Ginestous

    Lire aussi : On lui doit les quartiers du Mirail et d’Empalot

    Ailleurs en Occitanie 

    11 AUDE
    Niveau 2:
    Carcassonne: la Conte
    Carcassonne: Ozanam
    Niveau 3:
    Carcassonne: Cité saint Jacques
    Narbonne: Razimbaud

    30 GARD
    Niveau 1:
    Nimes: ZUP Pissevin-Valdegour
    Niveau 2:
    Nimes: Mas de Mingue
    Nimes: Chemin bas d’Avignon
    Niveau 3:
    Ales: les Cevennes-Prés saint Jean
    Niveau 4:
    Bagnols sur Cèze: les Escanaux
    Beaucaire: Centre
    Saint Gilles: Sabatot

    32 GERS
    Niveau 4:
    Auch: ZUP Garros

    34 HERAULT
    Niveau 1:
    Montpellier: la Paillade-Hauts de Massane
    Niveau 2:
    Beziers: la Deveze
    Montpellier: le Petit Bard-Pergola
    Sète: Ile de Thau
    Niveau 3:
    Béziers: les Arènes
    Montpellier: Cité Gely
    Montpellier: les Cevennes
    Niveau 4:
    Béziers: Centre-Faubourg
    Frontignan: Quartier Nord
    Lunel: la Roquette
    Montpellier: Pas du Loup-Val de Croze-Paul Valéry

    65 HAUTE PYRENEES
    Niveau 3:
    Tarbes: Laubadere

    81 TARN
    Niveau 3:
    Castres: Laden-Petit Train
    Niveau 4:
    Albi: Cantepau
    Albi: Lapanouse-Saint Martin
    Carmaux: Quartiers Nord (Cambous-Cerou-Europe)
    Castres: Aillot-Bisséous
    Gaillac: Vieux Gaillac

    82 TARN ET GARONNE
    Niveau 4:
    Montauban: les Chenes

    La rédaction d’Infos-Toulouse.

  • Viol collectif : ils sont libérés et fanfaronnent dans une vidéo

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    viol collectif
    Avec leurs documents, trois jeunes algériens suspectés de viol collectif, se sont amusés dans une vidéo, à la sortie du commissariat. © Twitter

    Ils sont accusés d’avoir participé au viol collectif d’une jeune femme de 18 ans à Bilbao (Pays basque espagnol), le 1er août. Six Algériens, âgés de 18 à 36 ans, ont été interpellés et placés en garde à vue. Mais à leur libération, trois des accusés n’ont rien trouvé de mieux que de fanfaronner dans une vidéo, tenant des propos arrogants et irrespectueux qui indignent et choquent une bonne partie de la population espagnole.

    https://twitter.com/Alternativa_VOX/status/1158438981941506048?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1158438981941506048&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.bellica.fr%2Fliberes-de-leur-garde-a-vue-pour-viol-collectif-a-bilbao-des-algeriens-fanfaronnent-tout-sourire-devant-les-cameras%2F

    « Liberté, shit, la drogue autorisée. Bonnes fêtes, au revoir ! », « Liberté ! Algérie ! On n’a pas de problèmes avec les filles, on ne les b*ise pas violemment ! »,  se sont-ils exclamés, pour ne citer que ça, dans un mélange de langues françaises, espagnoles et basques. 

    Lire aussi : Viols. 200 agressions sexuelles par mois à Toulouse

    Bien que libérés, les poursuites judiciaires sont toujours en cours et leur libération est soumise à un contrôle judiciaire dans l’attente de leur procès, a indiqué le quotidien espagnol El MundoDe deux leurs complices restent incarcérés. 

     

    Source : infos-toulouse