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  • Criminalité : la fulgurante hausse des homicides en France au printemps

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Par  le 07/08/2019

    Le nombre d’homicides (y compris les coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort) a flambé de 16 % lors du dernier trimestre, avec pas moins de 248 crimes entre le 1er mai et le 31 juillet. Le phénomène s’est accéléré le mois dernier. « Quelque 101 faits d’homicides ont été enregistrés en juillet 2019, après 75 en juin et 72 en mai », soulignent les statisticiens de Beauvau.

    Les spécialistes offrent quelques clefs de lecture. La vendetta, longtemps restée une spécialité corse, gagne tout le pays depuis que les malfrats métropolitains se mettent à venger leurs morts. Pas moins de 77 règlements de compte ont été enregistrés en 2018. Dans 83 % des cas, les « contrats » ont été exécutés dans le cadre de trafics de stupéfiants, pour le contrôle d’une barre HLM, voire d’un simple hall d’immeuble.

    Outre cette forte activité du crime organisé, les experts confirment aussi la montée en puissance de faits liés aux violences intrafamiliales, qui ne sont plus un tabou. Si quelque 121 femmes ont déjà été tuées l’année dernière lors de conflits conjugaux, le nombre des affaires se multiplie avec une extrême sauvagerie.

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • Toulouse : un policier de 35 ans tabassé à mort alors qu’il défendait une femme (MàJ : Rachid, complice présumé, remis en liberté)

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Par  le 07/08/2019

    07/08/2019

    « Il n’y a pas une seconde sans que je pense à cette nuit-là mais je n’ai rien à faire à trois dans une cellule de 9 mètres carrés », a expliqué ce père de famille, ce mardi, aux magistrats. Entendu. La Chambre de l’instruction a rendu son arrêt : Rachid, 39 ans, sera libéré sous contrôle judiciaire en attendant que l’instruction se poursuive.

    (…) La Dépêche


    06/08/2019

    Ce mardi midi, les avocats de Rachid -père de 3 enfants et fonctionnaire depuis 15 ans à la mairie de Colomiers-, impliqué dans la bagarre qui a coûté la vie d’un policier toulousain en civil, ont sollicité une remise en liberté de leur client.

    (…) La Dépêche


    20/07/2019

    Un policier âgé de 35 ans, qui n’était pas en service, est mort après avoir été roué de coups sur le parking de la discothèque toulousaine Esmeralda, dans la nuit de vendredi à samedi. Plusieurs personnes ont été placées en garde à vue.

    La police a été alertée vers 5h25 par les pompiers pour une personne en arrêt cardio-respiratoire près de la discothèque Esmeralda, à moins de 10 km du centre de Toulouse, a indiqué à nos confrères de l’AFP une autre source proche du dossier. Le gardien de la paix n’a pas pu être ranimé par les secours et est rapidement décédé, a-t-on précisé. Sur Twitter, le syndicat Unité SGP Police a rendu hommage à Benjamin, « tragiquement disparu dans une rixe à Toulouse. »

    Selon nos informations, l’employée d’une friterie aurait été importunée par un groupe de jeunes pour une histoire de file d’attente. Le policier de 35 ans se serait alors interposé et aurait été roué de coups, de poings et de pieds, par deux hommes qui « l’ont fait chuter et sa tête a lourdement heurté le sol ». Ses agresseurs ont ensuite pris la fuite dans une voiture dont l’immatriculation a pu être relevée par des témoins, selon La Dépêche.

    Ce samedi matin, vers 8 heures, les experts scientifiques étaient encore sur les lieux pour geler la scène de ce qui est désormais un crime. Un meurtre, c’est certain. Ou un assassinat ? Selon plusieurs sources, la victime connaissait son agresseur principal. Mais était-ce dans le cadre de ses fonctions de policier officiant notamment aux Izards, un quartier tristement célèbre pour son trafic de produits illicites ? Ou était-ce à titre personnel ? Seule l’enquête de la PJ pourra le déterminer

    Il allait être papa. Benjamin K., 35 ans, aurait dû devenir père de famille d’ici peu. Le décès brutal de ce jeune homme de 35 ans plonge sa compagne, sa famille, son entourage et ses collègues dans une douleur indicible. En poste depuis un an à la brigade spécialisée de terrain nord (BST), il était basé au commissariat de La Vache. Il travaillait notamment dans le quartier des Izards, l’un des secteurs les plus sensibles de la Ville rose. (…) Ce grand gaillard qui mesurait 1,85m était notamment un fana de musculation selon certains de ses collègues. Ce samedi, il a vraisemblablement été attaqué par-derrière.

    UNITÉ SGP POLICE@UNITESGPPOLICE
     

    UNITÉ SGP POLICE présente ses plus sincères condoléances à la famille, amis et collègues de Benjamin, tragiquement disparu dans une rixe à Toulouse.
    Une pensée particulière pour la BST Nord de Toulouse dans laquelle Benjamin faisait parti et pour sa compagne enceinte.

     
     

    LCI / La Dépêche

  • Mustapha Laabid : l’autre visage de la Macronie

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Rédigé par notre équipe le 08 août 2019.

    Ce mardi 6 août, un député En Marche a fait parler de lui malgré les vacances parlementaires. Enfin un élu qui a le courage de se démarquer de la clique au pouvoir ? Que nenni ! Mustapha Laabid, député de la 1ère circonscription d’Ille-et-Vilaine a été rattrapé par la justice pour abus de confiance. Celui qui a fait carrière dans le monde associatif aurait piqué dans les caisses… Ce n’est pas beau ni très avouable, alors le député a fait appel de la décision en première instance. Un épisode bien peu glorieux qui dévoile si besoin en était un autre visage de la Macronie.

    Les élections législatives de 2017 ont représenté un jackpot pour des petits malins au nez creux. Venus de tous les horizons, les candidats d’En Marche devaient changer la politique avec de nouvelles pratiques. Les deux dernières années ont prouvé qu’il n’en était rien et la condamnation de Mustapha Laabid fait figure de rappel. Le député macronien a été condamné par le tribunal correctionnel de Rennes pour abus de confiance. Il a été ni plus ni moins reconnu coupable de détournements de fonds publics à hauteur de 21 545 euros. Son abus de confiance et son attrait pour l’argent d’autrui lui a valu une peine de 6 mois de prison avec sursis (évidemment), 3 ans d’inégalité (seulement) et 10 000 euros d’amende.

    Des subventions publiques devenues privées

    La décision du tribunal n’est pas exécutoire puisque Laabid s’est pourvu en appel. Logique, car celui qui se dit innocent (il n’a été relaxé en première instance que pour 385 euros de frais d’essence) ne peut pas traîner comme un boulet une telle condamnation dans les couloirs de l’Assemblée nationale. Non pas que cette maison soit hors de tout reproche, mais ça en fout un coup à l’image que la Macronie souhaiterait parfaite. En attendant le jugement en appel, Mustapha Laabid est donc un député au casier judiciaire vierge et hors de portée du moindre reproche…

    Il est toutefois inquiétant qu’un individu de la sorte soit aux manettes et décide du Budget de la France. En effet, que penser d’un homme qui a plaidé les « erreurs de gestion » et le « manque de temps » pour justifier plus de 20 000 euros d’envolés ? Le tribunal a reconnu l’« intention frauduleuse » de dépenses qui ont servis à payer des repas (pour plus de 15 000 euros) et divers achats difficilement justifiables. Le député se serait ainsi bien rempli la panse sur le dos de subventions publiques. Les Macroniens se reconnaîtraient-ils à leur grand appétit ?

    Avec des Mustapha Laabid au bas de la Macronie, des Castaneret de Rugy en haut, il n’y a vraiment rien à attendre de la soi-disant nouvelle élite qui gouverne les Français. Que tous ces petits marquis tentent de profiter n’est pas inconcevable étant donnée la nature humaine, mais il est insupportable de voir ces mêmes personnages exiger des Français qu’ils se serrent la ceinture et se taisent de gré ou de force. Un peu de tenue enfin !

     

    Source : 24heuresactu

  • Hongrie- Publicité avec couples d’invertis, le parti d’Orban boycotte Coca-Cola

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Boycotter la célèbre et puissante marque Coca-Cola : c’est ce qu’ose faire, et assume courageusement, le parti de Viktor Orban.

    « Zéro sucre, zéro préjugé ». Voici le slogan de la dernière pub de la marque Coca-cola diffusée en Hongrie, qui met en scène deux couples de même sexe et qui est assortie du hashtag #LoveIsLove. Une campagne affichée dans le métro et un peu partout dans les rues de Budapest à quelques jours du Sziget Festival, qui attire des artistes et des festivaliers du monde entier.

    Mais en Hongrie, cette campagne ouvertement pro-LGBT de la marque américaine suscite une réaction saine de la part de membres du parti au pouvoir, le Fidesz de Viktor Orbán. Ainsi, Boldog István, un député du Fidesz, a décidé de boycotter ce soda américain tant que ces affiches, qu’il juge « provocatrices », ne seront pas retirées. Cet appel a été partagé par différents sites internet tel Pesti Srácok qui dénonce quant à lui « un siège » du « lobby homosexuel ».

    Le 2 août, une pétition a par ailleurs été lancée pour réclamer le retrait de cette campagne de pub. « La publicité homosexuelle se poursuit dans les rues de la ville, dans des endroits où les enfants peuvent la voir. Nous demandons respectueusement au maire de Budapest de se tenir aux côtés des enfants et des familles de Budapest et de prendre des mesures pour retirer les affiches », est-il écrit sur la page de la pétition. Elle a à ce jour recueilli plus de 33.000 signatures.

    Du côté de chez Coca-Cola, on assume et on revendique. « Cette campagne est accompagnée d’affiches dans toute la ville. Les trois affiches représentent des couples, hétérosexuels et homosexuels, qui boivent du Coca-Cola. Avec cela, nous voulons vraiment transmettre un message : notre conviction est que tout le monde a le droit d’aimer, que le sentiment amoureux est le même (#loveislove) », a déclaré la marque américaine dans un communiqué publié ce lundi. « Nous croyons que les personnes soit homosexuelles qu’hétérosexuelles ont le droit d’aimer la personne qu’elles veulent de la manière qu’elles veulent » est-il souligné dans ce communiqué.

    Avec un raisonnement si bête et simpliste, bientôt cette multi-nationale, et ses comparses pareillement, défendra le droit à la pédophilie, à l’inceste, à la zoophilie :toute personne a le droit d’aimer la personne, ou l’animal, qu’elle veut de la manière qu’elle veut, non ? En matière de morale et de comportements sociaux, le sacro-saint souverain droit individuel théorisé par une modernité décadente et perverse est bien le pire ennemi du Bien commun de l’humanité…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les pédophiles veulent faire leur promotion durant la semaine LGBT d’Amsterdam

    Publié par Guy Jovelin le 08 août 2019

    Aux Pays-Bas, l’affaire fait grand bruit au point d’être l’objet de débats sur les plateaux de télévision : un collectif de pédophiles a annoncé sa participation à la semaine de la gay pride d’Amsterdam sous le hashtag #PedoPride2019 sur Twitter.

    Ce collectif de pédophiles est lié au « Front de libération des enfants » qui prétend vouloir « libérer les enfants sexuellement ».

    Les Pays-Bas sont un vivier d’initiatives visant à légitimer la pédophilie. Un parti pédophile y avait même vu le jour il y a quelques années.

    Ces militants pédophiles souhaitent légitimer la pédophilie comme une forme de sexualité alternative parmi d’autres. Avec les développements des nombreuses « identités de genres », ils souhaitent également qualifier la pédophile comme « normale » et qu’elle devienne une « identité de genre » comme une autre.

    A Amsterdam, la semaine de la « fierté » LGBT a commencé ce week-end et se poursuit jusqu’au 4 août.

    Au passage, repérez bien le logo rose et bleu utilisé par ce collectif Pedopride. Il fait partie d’un ensemble de logos utilisés à travers le monde par des pédophiles, logos signalés (voir ci-dessous) dans un rapport du FBI sur les activités pédophiles. Autant savoir !

     

    Source : medias-presse.info