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  • Rennes : Jugé pour avoir violé une baby-sitter sous la menace d’une machette devant les enfants qu’elle gardait, le colosse Mahorais déclare avoir « entendu des voix »

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2019

    Par  le 08/10/2019

    Dans le box des accusés, le jeune homme est un colosse coiffé de petites dreadlocks. Originaire de Mayotte, il est arrivé en métropole en 2017 sur les conseils d’un cousin qui espérait le sortir de la délinquance. Mais le jeune homme n’a pas été pris dans l’armée, ayant échoué aux tests de sélection. Il n’a pas non plus poursuivi le CAP de mécanique où son cousin l’avait inscrit.

    Deux mois avant les faits, il arrivait à Rennes. Sans domicile fixe, il était hébergé par le 115. Le 8 février 2018, il s’arrête dans ce quartier résidentiel et frappe à la porte d’un pavillon pour demander un verre d’eau. Il pénètre dans la maison et attaque la jeune femme, la menaçant avec un coupe-coupe. La jeune femme réussit à s’échapper mais il la rattrape dans la rue, la fait rentrer dans la maison, la force à se déshabiller et lui impose une relation sexuelle.

    Les deux enfants de 8 et 10 ans qui faisaient leurs devoirs ont été giflés, menacés et ont vu la scène de viol. L’homme, qui a été interpellé sur les lieux, reconnaît les faits.

    D’une capacité intellectuelle faible, l’accusé ne semble pas comprendre toutes les questions qui lui sont posées. Pourtant, l’enquêtrice de la brigade des mœurs qui est venue témoigner indique que l’accusé était lucide au moment de la garde à vue « et qu’il n’a jamais montré de signes de problèmes psychiatriques ». Il a cependant indiqué, ce mardi matin, « entendre des voix ».

    Le procès se poursuit jusqu’à jeudi. Les experts vont être entendus, ce mercredi, et les réquisitions et les plaidoiries sont prévues, jeudi, avant un verdict qui devrait tomber en fin de journée. Le procès devra déterminer si l’homme a choisi la maison « au hasard » ou s’il avait suivi la baby-sitter. Il encourt jusqu’à 20 ans de réclusion criminelle.

    Le télégramme via fdesouche

  • Macron discourt, l’hydre islamiste prospère

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2019

    Rédigé par notre équipe le 09 octobre 2019.

    Ce mardi, Emmanuel Macron a rendu hommage aux quatre personnes assassinées par le terroriste de la préfecture de Police de Paris. Quatre morts de trop qui auraient pu être évitées si les signalements à l’encontre de ce radicalisé avaient été pris en compte. Quatre victimes du terrorisme qui auraient pu être évitées si les pouvoirs publics ne se voilaient pas la face et ne rechignaient pas à remplir leur devoir de protection. Quatre victimes de plus pour rien, car au-delà des médailles et des appels « à agir » de la part « de toute la nation ». Les Français sont prêts et mêmes impatients de répondre, mais c’est ce même Macron et ses épigones qui les en empêchent.  

    La France serait-elle entrée dans une nouvelle ère à l’issue d’un énième attentat terroriste qui a frappé la police nationale en son cœur ? Alors que le chef de l’Etat a rendu hommage aux victimes et au travail de la police, il a enfin réussi à prononcer le mot interdit d’ « islamiste ». Une quasi-première pour un président dans la droite ligne de son prédécesseur qui n’ose pas décrire la réalité avec des mots pourtant simples et utilisés par tout un chacun. Alors oui, s’il faut combattre « l’hydre islamiste », le pas d’amalgame est tout de suite embrayé et « ce n’est en aucun cas un combat contre une religion, mais contre son dévoiement ».

    Quand le général en appelle aux civils avant la troupe

    Combattif, Macron a déclaré : « Nous mènerons le combat, et à la fin nous le remporterons ». Comment ? En faisant « bloc » et en renforçant « nos lois, notre droit, notre façon de vivre, les moyens techniques et juridiques ». De bien belles paroles venues d’un individu qui a déclaré qu’il n’y avait « pas de culture française ». Les lois ont été renforcées à de multiples reprises, il serait bon de commencer par les appliquer et ne pas laisser en liberté des terroristes en puissance. Quand ce sont des islamistes qui travaillent pour et dans la police, le chemin est encore très long pour répondre de manière efficace à « l’hydre islamiste ».

    Toute personne sensée sait ce qu’il faut faire, mais Macron ne semble pas vouloir rejoindre cette catégorie. Pour lui, le terrorisme doit faire face à « la nation toute entière qui doit agir ». Les Français réclament depuis longtemps une réponse à la hauteur du mal. Une réponse que les politiques comme Macron leur refusent. Le mal est si profond que dire que le terrorisme est un problème lié à l’Islam vous envoie régulièrement devant les juges… Un pays qui marche sur la tête et contre son peuple. Faire des appels à la nation est un peu gros dans ce contexte malsain.

    Le malaise prend encore plus d’ampleur quand le président appelle à ne « pas s’habituer » au terrorisme, « jamais » ! Pourtant, tous les politiciens dont Macron s’habituent sans trop de difficulté à ce terrorisme. Ils ne sont jamais en première ligne et tant que les sondages ne flanchent pas à cause de massacres dans les rues françaises, tout va bien. D’ailleurs, n’est-ce pas un certain Valls qui affirmait qu’il fallait « s’habituer avec le terrorisme » ? Les discours changent, mais ce sont les mêmes politiques qui demeurent. Macron peut bien brosser dans le sens du poil des policiers dépités et traumatisés par la cécité des politiques, la confiance n’existe plus. La croyance dans les (belles) promesses non plus.

     

    Source : 24heuresactu

  • 10 000 postes supprimés à la HSBC, la crise du secteur bancaire s’aggrave

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2019

    Rédigé par notre équipe le 08 octobre 2019.

    Le Financial Times a lancé une petite bombe ce lundi 7 octobre. Selon le média britannique, la banque fondée en 1865 s’apprête à dégager 10 000 de ses employés. Une vague de départs qui fait écho à une première engagée en août dernier et qui illustre les difficultés des grandes banques. Des difficultés bien difficiles à comprendre au vu du soutien incroyablement puissant des Banques centrales. Une politique finalement toxique qui porte des coups terribles à l’économie réelle. La situation est désastreuse et bien plus grave que ne le disent le pouvoir et les médias (économiques) aux mains des grands patrons qui ont érigé un banquier à la tête de l’Etat.  

    Avec 10 000 emplois supprimés, la banque britannique HSBC s’apprête à sabrer avec vigueur dans des effectifs déjà moribonds. En août dernier, la banque avait décidé de près de 5 000 départs, mais cette première charrette avait été jugée insuffisante et le patron de la HSBC appelé à démissionner après dix-huit mois en poste. Son successeur a moins de scrupules (ses bonus sont sans doute liés en grande partie au nombre de personnes virées) et ce sont donc 10 000 emplois supplémentaires jetés à la poubelle. Le détail des victimes reste encore à connaître, mais on parle déjà de suppressions de postes en France.

    Interdiction d’évoquer la crise du secteur bancaire

    Les premières victimes seront avant tout européennes, car le Vieux Continent n’est plus assez lucratif selon une source anonyme citée par le Financial Times. « Il y a une modélisation très difficile en cours. On se demande pourquoi nous avons autant de gens en Europe alors que nous avons des rendements à deux chiffres dans certaines parties de l’Asie ». Il faut donc couper dans le gras d’autant que les employés sont perçus comme un boulet et non pas comme une richesse. Pourquoi payer des traders quand un ordinateur peut faire le boulot ? Pourquoi verser un salaire de guichetier quand une machine répond aux questions (les moins pressantes) des clients ?

    La HSBC va mal et ne fait en rien tache dans le monstrueux tableau proposé par le secteur bancaire mondial. Les banques virent à tour de bras et s’il est encore possible de faire des bénéfices, c’est uniquement grâce au travail de fou des Banques centrales qui créent de la fausse monnaie dans des proportions jamais vues ni imaginées. En France, la Société générale a annoncé la suppression de 1 600 postes tandis que les banques systémiques allemandes sont dans le rouge. La Commerzbank, deuxième prêteur allemand, va dégager un dixième de ses effectifs (soit 4 300 postes) et suit l’exemple de la Deutsche Bank obligée de mettre à la rue 18 000 personnes ! L’économie allemande ne serait-elle qu’un songe elle aussi ?

    Aucune grande banque n’est épargnée à travers le monde et plus rien ne semble pouvoir sauver un système arrivé en bout de course. Plus de dix ans après la crise bancaire qui a fait tellement de mal aux gens, les banques continuent de déverser leur poison avec la complicité des Banques centrales et donc des pouvoirs publics. Un scandale qui ne dit pas son nom et dont les nouvelles secousses promettent d’être extrêmement destructrices. Carnage en vue !

     

    Source : 24heuresactu

  • Débat sur l'immigration.

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2019

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    L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France
     
    Hémicycle aux trois quarts vide, annonces de circonstance, échanges stériles, discours fossilisés... Le débat sur l'immigration — sans vote, bien sûr, mais y en aurait il eu un que celà n'aurait évidemment rien changé — qui s'est tenu lundi soir à l'Assemblée nationale n'était que le reflet des effets de tribunes de Macron sur le sujet: vide de tout sens.
     
    Champion de la triangulation, le Président de cette République de tous les mensonges, de toutes les supercheries et de toutes les manipulations, tente, en s'emparant du thème de l'immigration, de séduire une partie de la droite à quelques mois des Municipales et d'apparaitre aux yeux des Français comme le chef modéré mais réaliste et libéré des tabous de la pensée unique de ce parti de l'ordre juste, républicain et démocrate qu'il veut incarner. Posture qui, face aux critiques venues de sa gauche à l'intérieur même de son camp, lui a valu le soutien appuyé d'un autre imposteur chronique — Jean-Pierre Chevènement (" nous ne devons pas être dans le déni"), dont on chercherait vainement la trace du commencement d'un début de volonté de mener une lutte déterminée contre la déferlante migratoire, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur.
     
    Au bal des faux culs, ils sont toujours, il est vrai, plusieurs à se bousculer pour ouvrir la danse.
     
    Macron, lui, joue ainsi les Janus biface, tentant de dissimuler l'immigrationnisme absolu qui transpire par tous les pores de sa peau, et affirme son credo de chauve-souris politicienne: "Je suis oiseau, voyez mes ailes protectrices, je suis souris, vive les rats de l'ouverture planétariste".
     
    Et pendant ce temps, par la mer, par les chemins de terre et par les airs... ILS ARRIVENT !
  • Mickaël Harpon : « S’il a pu accéder à la liste de nos sources infiltrées dans les mosquées salaf, on risque de pleurer bientôt d’autres morts »

    Publié par Guy Jovelin le 08 octobre 2019

    C’est un véritable scandale d’Etat et personne, pas même le préfet, ne présente sa démission. Non seulement les erreurs sont monumentales, mais en plus, pas un seul n’assume…

    « Il avait accès à tout, aux ordinateurs, aux codes d’accès, aux messageries », s’alarment, au sujet du tueur de la préfecture de police de Paris, Mickaël Harpon, plusieurs flics auprès du « Canard enchaîné » à paraître ce mercredi 9 octobre.

    L’information est on ne peut plus inquiétante. Selon le Canard enchaîné de cette semaine, imprimé ce mardi 8 octobre, Mickaël Harpon, le tueur de la préfecture de police de Paris, a pu avoir accès à la liste des policiers infiltrés dans les mosquées.

    C’est une source anonyme exerçant en haut lieu qui l’affirme : « Du fait de ses fonctions, Harpon avait accès aux fichiers protégés, notamment à celui où figure l’identité des taupes. Il nous faut savoir s’il les a partagés« …

    Un commandant, vieux routier du Renseignement, se montre particulièrement inquiet auprès de nos confrères : « S’il a pu accéder à la liste de nos sources infiltrées dans les mosquées salaf, on risque de pleurer bientôt d’autres morts » .