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  • Toulouse Muret (31) : Scènes de pillages au lendemain de l’incendie du squat géant

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2020

    Par  le 06/02/2020

    Vingt-quatre heures après l’impressionnant incendie du squat géant de l’avenue de Muret, on pouvait observer des scènes de chaos hier après-midi au sein de l’immeuble. « Ça a été l’anarchie complète, décrit Dahlia, une jeune squatteuse. Ça devait pas se passer comme ça ».

    Massés devant l’entrée fermée du squat, ses anciens habitants ont insisté, ce mercredi, pour pouvoir entrer. Sous leur force, la grille a cédé et la course contre la montre a débuté. D’étages en étages, d’appartements en appartements, dans l’odeur âcre laissée par l’incendie, une nuée de personnes a commencé à faire des allers et retours. Réfrigérateurs sur la tête, fours micro-ondes sous le bras, sacs à la main, les sinistrés se sont attachés à tout récupérer.

    Mais certains ont profité de la confusion pour piller les plus faibles. « C’est pas leur appartement, j’en étais sûre. Ils l’ont volée ». Dans son petit appartement, une Tchétchène âgée est désemparée. Elle s’est fait voler. Une pile d’électroménagers devant lui, un homme négocie déjà la revente… à deux pas de la police venue pour sécuriser.

    Pour Aboubakar, le constat est encore plus amer. Cet habitant du troisième a tout perdu. « Mes papiers ont brûlé. Je n’ai plus rien. J’avais rendez-vous à la Préfecture le 20 mars. Je me retrouve sans papiers », panique le jeune homme originaire d’Afrique subsaharienne.

    La dépêche du Midi via fdesouche

    Les habitants du squat manifestaient en novembre dernier :

     
  • Toulouse : la vidéo choc des agents de sécurité des HLM agressés au Mirail

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2020

    Par  le 06/02/2020

    agents de sécurité agressés,hlm,mirail,toulouse

     

    Les agents du GITeS ont été pris à partie ce mercredi soir, au Mirail. Deux d’entre eux seraient blessés au visage après avoir reçu des pierres. Des cocktails molotov ont également été lancés.

    La soirée a été agitée au quartier du Mirail mercredi soir. Vers 21 heures, les équipes du groupement interquartiers de tranquillité et de sûreté (GITeS), qui circulent au pied des HLM pour y assurer la sécurité, ont été violemment prises à partie.

  • Suède : « Mohamed » désormais dans le top 3 des prénoms les plus donnés à Göteborg (2ème ville suédoise) et Malmö (3ème ville suédoise)

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2020

    Par  le 06/02/2020

    Suède – « Mohamed » est désormais le deuxième prénom le plus donné aux garçons nouveau-nés dans la ville suédoise de Göteborg et le troisième prénom le plus donné dans la ville de Malmö.

    (…) Au niveau national, le prénom Mohamed apparaît à la 29e place, loin derrière le prénom le plus populaire en Suède qui est Lucas. Le prénom Mohamed a tout de même progressé dans le classement à l’échelle nationale. Il était à la 33e place en 2018.

    Dans la ville de Malmö, dans le sud du pays, Mohamed est le troisième prénom le plus populaire chez les garçons nouveau-nés en 2019, derrière Elias et Adam.

    (…) Ces dernières années, Mohammed et ses différentes orthographes alternatives sont devenues de plus en plus populaires dans toute l’Europe auprès des nouveau-nés de sexe masculin.

    Breitbart via Goteborgs-Posten


    En lien :

     
  • Le maire d’une commune du Tarn interdit le tractage sur les marchés

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2020

    Par Eric Martin  Il y a 12 heures

    Le maire d’une commune du Tarn interdit le tractage sur les marchés

    Le maire d’une commune du Tarn interdit le tractage sur les marchés

    qu’il estime être un trouble à l’ordre public :

  • 2009-2019: UNE DÉCENNIE NOIRE ?

    Publié par Guy Jovelin le 07 février 2020

    POSTÉ LE FÉVRIER 04, 2020, 10:39

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    Grâce à un lecteur qui a attiré mon attention sur ce sujet, j’ai découvert avec beaucoup de retard le Baromètre de la confiance politique (réalisé par le Cevipof, centre de recherches associé à Sciences Po) de 2019.

    Cette édition était particulièrement intéressante car elle était assortie d’une étude sur la décennie 2009-2019.

    Et les résultats sont si explosifs que la presse bien-pensante a purement et simplement « oublié » la moitié des pages de ce Baromètre. Seul « Valeurs actuelles » a eu la curiosité d’aller y voir de plus près.

    Les auteurs de l’étude parlent de « décennie noire » et ce n’est pas un vain mot. Pour la première fois depuis 1944, les Français ne croient plus que leurs enfants vivront mieux qu’eux.

    La société française, dit l’étude, est marquée par « un fragile optimisme individuel et d’un fort pessimisme collectif ». Il est d’ailleurs remarquable qu’aux trois dernières présidentielles, le vainqueur ait réuni moins de 50 % des électeurs inscrits.

    Ce fort pessimisme collectif s’explique aisément : tout ce qui pouvait donner aux Français le sentiment de partager un commun destin collectif a été méthodiquement détruit.

    Les enfants n’apprennent plus la culture française à l’école : les humanités, qui constituaient jadis le B-A BA de notre vision du monde, ont été détruites car supposément trop « élitistes » et l’histoire est devenue une longue litanie de repentances.

    Dans le même temps, l’immigration et le refus d’intégration (tant de la part d’une large part de la population immigrée que de la part des prétendues « élites ») ont conduit à une véritable politique de ghetto.

    Ghetto physique d’abord : dans certains quartiers de France, nous ne sommes plus en France, mais dans une banlieue de Bamako, Ankara ou Alger. Et les Français sont chassés de ces quartiers ou sommés de se comporter en étrangers dans leur propre pays. Ghetto culturel, beaucoup plus généralement : la culture française cohabite avec beaucoup d’autres – souvent mieux traitées par l’État.

    S’ajoute l’extrême individualisme qui conduit à des aberrations selon lesquelles je peux être tout ce qui me passe par la tête et le reste du monde est sommé de respecter mes moindres lubies.

    Que cela conduise à des absurdités ne semble même pas effleurer la caste jacassante. Tout récemment, la présidente des Associations Familiales Catholiques, médecin de formation, se trouvait à l’Élysée et a eu l’occasion de dire à Emmanuel Macron les raisons de son opposition au projet de loi bioéthique.

    Le président lui a répondu : « Votre problème, c’est que vous croyez qu’un père est forcément un mâle. Tous les psychanalystes vous diront le contraire. »

    Le moins que l’on puisse dire, c’est que tous les psychanalystes ne pensent pas qu’il soit aisé de remplacer un père par une grand-mère comme le proposait Mme Buzyn.

    Mais le plus extravagant n’est même pas cette ineptie : M. Macron est l’incarnation de la société rêvée par Mai 68, sans racine, sans famille, sans culture et on n’attend pas autre chose de sa part. Mais que personne ne réagisse dans la « grosse presse » en dit long sur la déconnexion de l’oligarchie, non seulement par rapport au peuple, mais surtout par rapport au réel.

    Les conséquences de cette tragique déculturation, mentionnées dans le Baromètre, sont dès lors logiques : 63 % des sondés estiment que la démocratie ne fonctionne pas bien. Seuls 30 % ont confiance dans les syndicats, 25 % dans les médias et 12 % dans les partis politiques.

    Bref, le rejet est immense et cette décennie noire pourrait bien annoncer la fin de la dissociété soixante-huitarde. Et annoncer alors la résurrection de la France ?

     

    Source : les4verites