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  • La révolution sexuelle mange ses enfants

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2020

    La révolution sexuelle mange ses enfants

    Christophe Girard, adjoint à la culture du maire de Paris Anne Hidalgo, a annoncé avoir remis sa démission, jeudi 23 juillet, à la suite de son audition dans l’enquête pour viols sur mineurs visant l’écrivain Gabriel Matzneff. Il avait été secrétaire général de la maison Yves Saint Laurent entre 1986 et 1987. C’est par l’entremise de cette structure que le couturier aurait réglé des nuits d’hôtel permettant à M. Matzneff d’habiter avec une mineure.

    Depuis plusieurs jours, des élus écologistes et des manifestantes féministes demandaient sa suspension et l’ouverture d’une enquête interne à la Ville de Paris.

    Christophe Girard est un farouche militant homosexualiste. En 2012, il déclarait :

    Je pense que les prochaines revendications viendront des hommes et des femmes homosexuels qui ont une religion, qui ont une foi et qui demanderont à leur église ou à leur temple, en tout cas à leur communauté religieuse, de célébrer des mariages religieux. Je pense que ce sera le prochain combat.

    Les déconstructeurs sont à leur tour déconstruits.

     

    Source : lesalonbeige

  • 23 juillet 1951 : mort du maréchal Pétain

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2020

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    Philippe Pétain, vainqueur de Verdun, Maréchal de France, Chef de l’Etat français, né le 26 avril 1856, meurt en détention le 23 juillet 1951, à l’âge de 95 ans.
    C’est le « plus vieux prisonnier du monde ».

    On peut lire ici un bel éditorial de Jérôme Bourbon : « Qu’ont-ils fait de la France du Maréchal » ?

    Ci-dessous une émission sur maréchal Pétain qui remet un peu les pendules à l’heure, loin de l’« historiquement correct », suivie d’une autre s’attardant plutôt sur l’antagonisme Pétain / De Gaulle, auteur du livre du colonel Le Pargneux, Pétain – De Gaulle, une autre vision de l’histoire, que nous recommandons vivement (commandable ici).

    Sur Pétain / De Gaulle :


    Ci-dessous des images d’archives d’un déplacement triomphal du maréchal Pétain à Paris fin avril 1944 (donc très tard, les Français étaient derrière lui contrairement à ce que disent certains manuels) :

     

    Source : contre-info

  • Eglise conciliaire, un pas de plus vers le « sacerdoce des laïcs » et les prêtres mariés

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2020

    Le pape François vient de donner un coup de pouce au « sacerdoce des laïcs » à travers l’instruction La conversion pastorale de la communauté paroissiale au service de la mission évangélisatrice de l’Église rédigée par la Congrégation pour le Clergé et publiée le 20 juillet dernier.

    Dans les faits, le rôle des laïcs, remplaçant le curé, existe déjà bel et bien : qui n’a pas été à des funérailles « célébrées » par la sacristine de la paroisse ou la dame de la pastorale ? Combien de fidèles conciliaires subissent, à la place de la messe Paul VI pourtant déjà si protestantisée, mais que le curé a marre de célébrer, -une par dimanche c’est déjà bien suffisant, il fait qu’il s’occupe des « migrants » de sa paroisse-, les fameuses ADAP, l’Assemblée dominicale en l’absence de prêtre ?

    Dans cette instruction, la Congrégation pour le Clergé explicite cette « coresponsabilité ecclésiale » des laïcs.  L’évêque « pourra confier certaines tâches aux diacres, aux consacrés et aux laïcs, sous la direction et la responsabilité du curé», lit-on. Ces laïcs pourront présider « la liturgie de la Parole », là où la messe ne peut être célébrée faute de prêtres ; s’ils ne peuvent pas « tenir l’homélie pendant l’Eucharistie », ils peuvent « prêcher » à l’église ou à l’oratoire en cas de besoin. De plus, « l’évêque peut déléguer des laïcs pour assister aux mariages». Et aussi des religieuses, comme cela s’est produit par exemple en Australie.

    Une partie du huitième chapitre est consacrée à « la doctrine sur le diaconat » concoctée par le concile Vatican II, qui n’a rien à voir avec le diaconat traditionnel établi par le Concile de Trente qui réservait ce premier degré du sacrement de l’Ordre aux seuls clercs consacrés en vue de la prêtrise.

    Le diacre d’aujourd’hui est un laïc, souvent marié. L’Eglise conciliaire -qui a l’art d’user de la novlangue et ainsi brouiller les repères- définit l’office du diacre comme une participation du Sacrement de l’Ordre, et donc l’« ordonne », ce qui permet de faire croire qu’il détient ce premier degré du sacrement de l’Ordre, comme avant le concile Vatican II. Et c’est bien grâce à cette ambiguïté que certains demandent que lui soit donc accordé, comme fin logique, le second degré du sacrement de l’Ordre, la prêtrise, même s’il n’est pas célibataire.

    La nouvelle instruction bergoglienne insiste longuement sur  les « nombreuses fonctions ecclésiales » qui peuvent être confiées à un diacre : c’est un « ministère ordonné au service de la Parole et de la charité; ce dernier domaine comprend aussi l’administration des biens. Cette double mission du diacre s’exprime ensuite dans le cadre liturgique, dans lequel il est appelé à proclamer l’Evangile et à servir à la table eucharistique ». Tout porte donc à considérer le diacre comme un futur prêtre.

    Il ne faut pas s’y tromper, tout en étant la mise en pratique du « sacerdoce des laïcs », cette instruction est l’antichambre ouvrant sur le sacerdoce d’hommes mariés et la fin du célibat sacerdotal. Ce que le Synode de l’Amazonie n’a pas obtenu tout en en posant les jalons, le pape François l’enfante avec ce texte. La révolution bergoglienne, qui n’est que la continuité de la révolution de Vatican II, suit son cours et son but : la protestantisation, -modernisation diraient les bien-pensants idolâtres du Progrès-, de l’Eglise conciliaire.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Erdogan invite le pape François à la cérémonie d’ouverture de Sainte Sophie en tant que mosquée

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2020

    Provocation ? Geste de détente ? Dans le contexte géo-politique et religieux tendu au Moyen-Orient et amplifié par la décision turque, aux motivations tout autant politiques et que religieuses, de réaffecter au culte musulman l’ancienne basilique chrétienne Sainte Sophie, devenue mosquée au XVIe siècle puis musée sous l’ère kémaliste, le président turc Recep Tayyip Erdogan a invité le pape François le 24 juillet prochain à la cérémonie d’ouverture de Sainte Sophie en tant que mosquée. L’invitation au Pape a été confirmée par Ibrahim Kalin, porte-parole du président, à la chaîne de télévision CNN Turk.

    La cérémonie coïncidera avec une grande prière du vendredi, à laquelle assisteront plusieurs personnalités turques et étrangères. Jusqu’à présent, aucune information n’est venue du Vatican sur la réponse du Pape à l’invitation d’Erdogan.

    Vatican Insider donne quelques éléments quant à cette journée :

    « Tout est prêt pour la cérémonie du 24 juillet: Hagia Sofia a déjà changé de visage grâce à des stratagèmes visant à obscurcir les images chrétiennes lors des prières du vendredi. Par exemple, le rideau qui couvrira les merveilleuses icônes de Maria Theotokos et de l’archange Gabriel, puisque le culte islamique n’inclut pas la présence d’images d’êtres vivants dans la zone de prière. Au départ, on pensait avoir recours à des lumières laser occultantes, mais l’idée a rapidement été écartée par crainte d’endommager les œuvres.

    Selon les médias turcs, le mode du rideau a été choisi par des experts pour rendre rapidement les mosaïques visibles aux visiteurs une fois les cérémonies de culte terminées. Comme l’a dit Erdogan dans un discours à la nation, l’ancienne basilique restera ouverte en tant que musée aux touristes étrangers et locaux, à l’exclusion des visites à l’époque du précepte islamique.

    Au lieu de cela, les autres icônes qui ne sont pas visibles pendant le culte devraient rester découvertes, car elles ne sont pas dans la direction de la ‘qiblà, de la Mecque, vers laquelle les musulmans se tournent pour prier. Enfin, des photos de travailleurs circulant sur des tapis vert foncé circulent sur Twitter depuis hier. Parmi les commentateurs, il y a aussi ceux qui ont qualifié ce choix de ‘crime’. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Bachelot ! Coucou la revoilà !

    Publié par Guy Jovelin le 23 juillet 2020

    Roselyne Bachelot, 74 ans, a été trois fois ministre de la Santé où elle a brillé par sa nullité ; et une quatrième fois sous Macron. Était-elle vraiment pharmacienne auparavant comme il est écrit partout ? Beaucoup en doutèrent. Wikipedia écrit à son sujet qu’elle était « docteur en pharmacie en formation » et pharmacienne. Une pharmacienne est quelqu’un qui a tenu une officine ou a fait de la recherche. Ce n’est pas son cas à notre connaissance. Si ce l’était pourquoi ne l’a-t-elle pas dit ? Par ailleurs un « doctorat» n’est pas une « formation » comme il est écrit mais un travail précis de rédaction publié selon sa spécialité. « Doctorat de formation » est un titre qui n’existe pas. Peut-être était-elle doctorante (étudiant travaillant à un doctorat) ? Probablement pas car elle l’aurait dit.
    Amusez-vous à chercher les deux références de Bachelot sur Wikipédia-Bachelot concernant sa thèse et son état de pharmacienne, vous tomberez sur Not Found (non trouvé) pour les notes 12 et 13. Wikipedia a fait de l’état de « pharmacienne en formation » une profession : c’est un non-sens et une mystification, une galéjade ; au plus est-ce un tout début de qualification !

    En fait elle était visiteuse (déléguée) médicale, une « représentante » disent les médecins. J’étais ami avec un certain nombre de visiteurs médicaux au fil de ma carrière. Ils m’ont tous dit : trois mois de formation pour être capable de présenter les médicaments. Point barre ! On ne sait d’ailleurs pas pour quel labo elle a travaillé. Pourquoi ? Il n’y a pas de sots métiers.

    Bachelot s’est retrouvée trois fois ministre de la santé ou de l’environnement sous Chirac, Sarko ; elle rempile sous Macron. Pour placer les copains, (ou copines) les nouveaux ministres se voient affublés d’appellations pompeuses aux contours indéfinis. Qu’a-t-elle fait pendant ces périodes ? On lui doit la loi  « Hôpital, patients, santé et territoire » abrégée en HPST, de 2008-2009 qui ne fit qu’aggraver la pagaille dans les hôpitaux. Elle mettait les médecins sous la dépendance des administrateurs. Le tout accélérant la fuite des praticiens vers le privé.

    Ensuite Bachelot fit de la télévision dans des émissions de variétés. Elle clama que plus jamais elle ne referait de la politique car « on ne se baigne jamais dans la même eau » ; et la revoilà, véritable culbutos et ludion (bateleur) de la politique sous Macron. Elle sera certainement moins à l’aise que lorsqu’elle déclamait Le monologue du vagin avec Schiappa et El Komri au théâtre Bobino. Un texte ordurier qui, paraît-il, eut du succès. Elle sera bien représentative de la cul-ture dont elle est désormais le ministre.

    Elle attaque fort : « Nul ne peut dire que je sers mes intérêts en acceptant ce poste dans un contexte aussi terrible ; je perds tout de même la moitié de mes revenus dans cette affaire ». Ce qui est un mensonge total sauf si elle émarge aux labos pharmaceutiques pour services rendus ; en effet de l’audiovisuel ou elle s’était lancé, il ne lui restait pas grand-chose. 40.000 euro par an contre 13.000 par mois comme ministre. Pleurons ensemble sur son triste sort…

    Comme ministre de Macron, elle a commencé à frapper dur en faisant une déclaration contre les médecins ; elle les a traités « d’infantilisés ». “Ce qui veut dire que les médecins sont dans l’incapacité de se protéger, que certains d’entre eux, pendant plus de quinze jours, vont consulter sans masque, et qu’ils vont en mourir ». Pourquoi les médecins n’ont-ils pas de blouses et de masques, demande-t-elle. Va-t’en demander aux soldats de fournir leur armement « en temps de guerre ». Bien sûr, beaucoup de médecins avaient quelques masques, de quoi tenir deux jours maximum. Et après ? Ou bien ils rentraient chez eux. Ou bien ils montaient au combat sans masques. Parce qu’il n’y en avait pas ; sans compter que les masques des pharmacies avaient été réquisitionnés. 51 médecins en perdront la vie et leurs mémoires se voient insultées alors qu’ils n’avaient pas de solution. Et qu’en est-il du reste du personnel sanitaire : infirmières, aides-soignantes, agents de surface et les élèves infirmières ? Toutes ces personnes devaient-elles avoir chez elles des masques en stock ? Tout le corps médical a été outré…
    Avec des bourdes pareilles, on ne serait pas étonnée qu’au prochain remaniement, elle se fasse virer. « Les monologues du vagin » l’attendent.

    Jean-Pierre Dickès

     

    Source : medias-presse.info