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  • Sénatoriales : une liste du PdF dans le Calvados

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020

    L’image contient peut-être : 1 personne, debout

    Je suis officiellement candidat à l'élection sénatoriale du 27 septembre dans le Calvados. Merci à mes colistiers pour la confiance qu'ils accordent à notre projet de redressement de la France avec le PDF, la vraie droite nationale !

  • Lyon : un chauffeur de bus viré pour s’être défendu lors d’une agression ?

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020

    10/09/2020 à 11h23
     

    “Vous avez commis une faute disciplinaire en répondant aux insultes reçues par une cliente et en adoptant une attitude provocatrice ayant conduit à une altercation physique au cours de laquelle vous avez fait preuve d’une extrême violence en utilisant un mousqueton comme arme afin de frapper deux clientes”. C’est le courrier reçu par un ancien chauffeur de bus TCL, viré fin avril dernier en plein confinement.

    Ce déferlement de violences, il a expliqué au Progrès qu’il était consécutif à une énième agression sur la ligne C3 le 7 février dernier. Ce jour-là, à Vaulx-en-Velin sur l’avenue Gabriel-Péri, une jeune femme avait bloqué la porte du bus pour qu’une amie à la traîne puisse monter avec elle. Le chauffeur lui avait demandé d’arrêter, et en représailles il avait été insulté, frappé de coups de poings par les deux femmes et avait reçu des projectiles… Avant de brandir désespérément son porte-clé et son mousqueton et de l’agiter en l’air, pour se défendre, pour faire cesser les coups de poings qui l’obligeront à quitter la scène en ambulance. Selon la DDSP du Rhône, “l’exploitation des vidéos permettait de confirmer les dires du chauffeur”.

    www.lyonmag.com via fdesouche

  • "Des décisions difficiles" disent-ils...

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020

    "Des décisions difficiles" disent-ils...

    La crise économique et sociale qui vient s'annonce majeure. Ses conséquences en termes de chômage, d'effondrement du pouvoir d'achat, de désintégration des services publiques et de dislocation nationale seront cruelles.

    La gestion aberrante de la vague épidémique de l'hiver dernier qui fut celle de l'exécutif en est à la fois la cause et l'effet, l'arbre sanitaire servant à cacher la forêt de l'échec du Système.

    Dans le même temps, la France toute entière est devenue un coupe-gorges où meurtres, agressions, viols, cambriolages, actes de barbarie et terrorisme islamique sont devenus le quotidien de nos compatriotes tandis que menace l'explosion générale de la poudrière des cités occupées par des populations venues d'ailleurs.

    Le mal concerne toute l'Europe. La France est en première ligne qui est le maillon premier de la décomposition identitaire et morale du continent qui inventa jadis la civilisation.

    Dès lors, le pouvoir, craignant pour sa survie sait que, face à ces menaces mais aussi face à la colère croissante des Français certes encore rentrée mais frémissante, il n'a d'autre choix que celui de la fuite en avant dans le totalitarisme de la radicalité régimiste redessinée à la mode sanitaire par l'encadrement sévère de la vie de chacun et l'exigence d'un alignement populaire par contrôle absolu de tous les actes du quotidien.

    Les "décisions difficiles" dont il est désormais question pour enrayer la fantasmagorique montée en puissance d'un virus banal doivent se lire à cet éclairage.

    Macron et les siens n'hésiteront pas, même au prix d'une aggravation de la situation économique — les grandes sociétés financiarisées choyées par le Système seront peu touchées contrairement aux commerces et aux petites entreprises dont le sort importe peu à ceux qui se croient puissants— à faire couler sur les libertés publiques une chape de plomb qui n'empêchera certes pas l'ensauvagement allogène mais la dissimulera un peu pour un temps, et surtout donnera au gouvernement les moyens d'étouffer dans l'oeuf la colère des braves gens.

    Qu'ils prennent garde cependant. Les Français sont lents dans leurs réactions. Leur capacité d'inertie, de passivité, de panurgisme et d'acceptation de ce qu'on leur impose est grande. Jusqu'au jour où... Les exemples sont multiples dans notre histoire qui montrent que l'obéissance trouve un jour d'embrasement général ses limites temporelles.

    Caevant Consules... Que les consuls craignent alors la colère du peuple.

    Jean-François Touzé.

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  • Dangers du masque dénoncés par le Professeur Desuter : Les enseignants risquent des lésions des cordes vocales avec des séquelles permanentes

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020

    Belgique – Le Professeur G. Desuter, laryngologue aux cliniques universitaires Saint-Luc (Bruxelles), a mis en garde contre les effets nocifs du port permanent du masque par les enseignants.

    Dans une carte blanche publie par le journal Le Soir, le Professeur Desuter avertit :

    “Produire une voix nous en coûte en termes d’énergie.”

    “Cela est d’autant plus vrai du professionnel de la voix qui se doit de projeter cette même voix durant de longues heures, souvent dans le bruit et se devant de capter l’attention d’un auditoire par l’intonation. L’effort est intense, et met à mal – en temps normal déjà – la physiologie vocale de l’enseignant, mais aussi de l’avocat, du journaliste, du tribun, du comédien du maraîcher, etc. Projeter la voix est un art, une profession en soi.”

    Porter la voix avec un masque devant la bouche tout au long d’une journée relève de l’hérésie physiologique dénonce le Professeur Desuter :

    “Non seulement les flux d’air sont ralentis mais le masque constitue une barrière à la propagation de l’onde sonore. Cela rend déjà la voix conversationnelle fastidieuse mais surtout cela rend la voix projetée im-po-ssi-ble !”

    Pour confirmer les propos du Professeur Desuter, il est officiel que les premiers témoignages d’enseignants affluent chez les syndicats.

    Le Professeur Desuter met en avant des risques sérieux pour la santé :

    Outre une fatigue professionnelle d’installation quasi immédiate, il sera à haut risque de lésions traumatiques des cordes vocales. En effet, au déficit respiratoire répondra une tentative de compensation – bien illusoire – par un forçage laryngé créant hémorragies, polypes et nodules. Ces lésions rendent dysphonique et parfois même aphonique. La sanction est sans appel : chirurgie suivie d’une longue rééducation logopédique avec convalescence de trois mois. Certains présenteront malgré tout des séquelles permanentes. “

    Le Professeur Desuter conclut :

    “Imposer le masque aux enseignants durant leurs cours est comparable à l’action de placer un sabot dans un métier à tisser tels qu’y procédaient les ouvriers nordistes au XIXe siècle afin de démarrer une grève. Mesdames, Messieurs les décideurs, sans modifications des règles vous allez casser l’outil… Et ce sera du sabotage !”

     

    Source : medias-presse.info

  • La torture au XXIe siècle : le port obligatoire du masque

    Publié par Guy Jovelin le 10 septembre 2020

     

    resized-panneau-a4-masque-obligatoire-plan-de-travail-1.jpgBernard Plouvier

    La Covid-mania de l’An 2020 aura permis de faire croire en l’utilité des avis des géniaux « experts » de l’OMS (l’Organisation Mondiale de la santé, dont les dirigeants ne sont que des politiciens aux ordres des super-politiciens), d’éviter de stigmatiser la Chine pour la médiocrité extrême de l’hygiène publique de ses populations rurales et urbaines pauvres (70% de la population) et surtout de transformer nos minables dirigeants en dictateurs au petit pied.

    Il est idiot de continuer d’évoquer un complot dans l’origine de cette pandémie. La déforestation sauvage en Chine a provoqué l’invasion de vastes zones urbaines surpeuplées par des nuées de chauves-souris, réservoir naturel du virus. L’absurde étroitesse des relations entre Chinois et animaux de toutes espèces et leurs curieuses habitudes alimentaires ont créé un foyer épidémique local, transformé en pandémie par les transports de l’ère mondialiste. 

    Le gouvernement chinois a exigé de l’OMS que l’on impose à l’hémisphère Nord, puis au Sud, un isolement grotesque – qui ne serait adapté que face à une maladie aussi puissamment mortelle que la peste ou le choléra. On a ainsi empêché l’immunisation naturelle des populations, comme celle que l’on observe à chaque pandémie de grippe et qui permet de classer l’affaire au moins pour une génération.

    Avec les stupides recommandations de l’OMS, on va pouvoir jouer « Covid-19 le retour », à chaque nouvelle saison froide et humide ! Sauf si les vaccins qu’on nous promet de diverses sources s’avèrent efficaces, car une réponse sérologique n’implique pas obligatoirement une efficacité médicale : l’exemple de l’hépatite C est bien connu.

    En attendant - et bien que la mortalité rapportée au nombre de cas dépistés soit neuf fois plus forte en France qu’en Suède, où l’on n’a pas décidé de confinement -, l’on persiste à fermer des écoles « dès qu’il y a plus de trois cas nouveaux recensés » et à imposer à tous le port d’un masque… qui n’est pas sans risque.

    Respirer en circuit très peu ouvert (ce qui est le cas du masque) expose à une élévation du taux de gaz carbonique (CO²) dans le sang. C’est une source de maux de tête chez les migraineux et surtout cela peut provoquer la décompensation de leur état chez les insuffisants respiratoires chroniques… et il est infiniment plus important de savoir cela que d’être informé de la grogne de notre distingué Président-Dictateur-Général, incommodé, pauvre chéri, par son masque.

    Après tout, il nous ennuie (pour rester poli) avec ce « machin » mal adapté à la maladie ; il est normal, voire « démocratique », que sa Hautesse en supporte, elle aussi, les désagréments.

    Seules les cibles bien connues et désignées par tous les médecins compétents – on a vu ce printemps que cela excluait un nombre phénoménal de clowns professoraux des facultés de médecine – devraient être concernées par les mesures d’isolement et de protection rapprochée. 

    Non ! Le Covid-19 n’est pas une pandémie gravissime comme le furent en leur temps les pandémies de peste, de choléra, ou de grippe maligne. Le « masque obligatoire pour tous » est une stupidité épidémiologique : il empêche l’immunisation naturelle. Reste à savoir si le vaccin commercialisé en Russie poutinienne tiendra ses promesses.

    En tout état de cause, la gestion de cette triste affaire aura été un fiasco planétaire presque complet, mais bien plus dramatique en France que dans de nombreux autres pays.

    Le ratio morts/cas répertoriés, dans les deux hémisphères, semble être de 3,25% en ce début du mois de septembre 2020, soit presque un an après le début probable de l’infection - les Chinois semblent avoir menti d’1 ou 2 mois sur le début réel de l’histoire ! Aux USA, pays le plus touché, le ratio est de 3% (190 000 morts sur 6,33 millions de cas dépistés) ; en France, le ratio est de 8% (30 770 morts sur 374 000 cas) ; en Suède, où il n’y a pas de Macron et où il n’y eut pas de confinement, le ratio est inférieur à 1% (0,69%).

    Plutôt que de nous ennuyer avec le masque, Super-Président Macron et son invraisemblable bande « d’experts » feraient mieux de s’interroger sur le manque de lits et de médecins spécialistes en réanimation respiratoire : hôpitaux publics et privés des USA et de Suède sont fort bien pourvus, à la différence des hôpitaux français.

    Plutôt que de nous importuner avec ses humeurs et de jouer au maître du Liban ou d’ailleurs, il serait souhaitable que notre Hyper-Super-Génial PDG, grand gourou d’hygiène publique, s’occupe un peu des vrais problèmes français : une immigration violente de plus en plus dangereuse (meurtrière, vandale et incendiaire), un sous-équipement dramatique de la France non-parisienne, un chômage de masse et une paupérisation des Français de souche européenne, les seuls qui soient en adéquation avec la situation géographique de la France… toutes choses qui dépassent le Grand Homme ou ne l’intéressent guère.

     

    Source : synthesenationale