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  • Salan : quarante années de commandement.

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

    Auteur : 

    Ancien journaliste au Figaro, Pierre Pellissier est l’auteur de plusieurs biographies de personnages controversés, dont le Général Massu, Robert Brasillach ou le Général de Lattre. Il a également signé des récits consacrés à Diên Biên Phu ainsi qu’à la Bataille d’Alger. Les éditions Perrin viennent de rééditer en format de poche sa biographie du Général Raoul Salan (1899-1984).

    Salan repose au cimetière de Vichy. Sur la dalle de sa tombe est posé un casque de l’armée française du siècle dernier. Avec cette simple épitaphe : “Raoul Salan, soldat de la Grande Guerre”. Raoul Salan est resté dans les mémoires pour son rôle dans le putsch d’Alger puis l’OAS. Mais peu de gens se rendent compte qu’il fait partie de ses officiers dont l’existence illustre de façon éclatante l’histoire militaire de la France au XXème siècle.

    Ce livre est le récit d’une vie d’un officier français qui a connu tous les fronts, des tranchées de la Première Guerre mondiale à la bataille d’Alger. Reçu en juin 1917 au concours d’entrée à Saint-Cyr, il y suit une petite année de formation avant d’être envoyé au feu comme chef de section aux premiers jours du mois d’août 1918. Au cours des dernières opérations sous un violent tir de barrage, il gagne l’admiration de ses hommes par son calme et son sang-froid. En juin 1920, il débarque à Beyrouth et rejoint l’armée d’Orient. Il fait là ses premiers pas dans la guerre du Levant à la tête de 150 tirailleurs sénégalais et est grièvement blessé en 1921. En 1924, il part pour l’Extrême-Orient et est affecté au 3e régiment de tirailleurs tonkinois. A partir de 1937, il est affecté au Renseignement pour le ministère des Colonies. Début janvier 1940, il prend le commandement d’un bataillon de tirailleurs sénégalais en formation près de Bordeaux avec lequel il monte au front le 10 mai. En 1944-1945, il participe à plusieurs combats contre l’armée allemande à la tête du 6ème régiment d’infanterie coloniale. En octobre 1945, il prend le commandement des troupes françaises de Chine et d’Indochine du Nord. Fin 1953, le Général Salan fait ses adieux à l’Indochine après avoir assisté avec inquiétude à la prise de commandement du Général Navarre. De retour à Paris, on lui demande des conseils pour limiter le désastre de Diên Biên Phu mais il n’est tenu aucun compte de ses propositions. Le 11 février 1955, il part pour l’Algérie. Il y retrouve des figures légendaires telles que le colonel Chateau-Jobert et le colonel Trinquier. La suite est connue…

    Une biographie passionnante.

    Salan, Pierre Pellissier, éditions Perrin, collection Tempus, 720 pages, 12 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

     

    Source : medias-presse.info

  • Grande-Bretagne : Etat intrusif et folie de la censure, la tyrannie en marche…

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

    Quand la dystopie orwellienne devient réalité ! Ou quand l’Etat communiste ressuscite en Occident…

    En Grande-Bretagne, mais les autres pays européens suivront à court terme l’exemple anglo-saxon, la Law Commission (Commission du droit) évoque l’idée de « criminaliser » les « discours de haine »  dans les foyers d’Angleterre et du Pays de Galles : à table, finies les conversations privées sur des questions controversées telles que le pseudo-mariage homosexuel ou l’idéologie transgenre ! Si le ton n’est pas politiquement, sexuellement ou sanitairement correct, la police pourrait intervenir…

    Le quotidien britannique The Gaurdian aborde le sujet le 4 novembre dernier :

    « Les propositions visant à poursuivre des individus pour des crimes de haine sur la base de ce dont ils discutent chez eux doivent être débattues plus largement, ont déclaré des organisations en défense de la liberté d’expression. La suggestion de supprimer l’exemption relative à la vie privée des ‘habitations’ dans la législation pénale est enfouie dans quelques paragraphes du document de consultation de 544 pages de la Commission des lois sur les crimes de haine publié en septembre.

    « La commission a déclaré mercredi qu’elle ‘n’avait pas l’intention que des conversations privées à la table du dîner soient poursuivies comme discours de haine’ , bien que cela semble être une conséquence possible du changement proposé. 

    « Jusqu’en 1986, précise The Guardian, le délit d’utilisation de mots ou de comportements destinés ou susceptibles d’inciter à la haine raciale ne pouvait être commis que dans un lieu public. La portée a été élargie par la suite, mais une exception demeure ‘lorsque des mots ou des comportements sont utilisés ou des documents écrits affichés à l’intérieur d’un logement, à condition qu’ils ne puissent être ni vus ni entendus à l’extérieur‘. »

    Il existe donc actuellement une « défense de logement » dans la loi britannique qui protège les conversations à domicile contre l’intervention de la police. La Commission des lois, qui conseille le gouvernement, estime que cela devrait changer : « Nous avons constaté que la loi actuelle sur l’incitation à la haine raciale et à d’autres formes de haine est incohérente et mal ciblée. Nos propositions visent à clarifier et à améliorer les lois » a expliqué un porte-parole de la Commission, mais face à la fronde suscitée, il a vite rajouté :

    « Nous avons hâte d’entendre les membres du public sur la manière dont nous pouvons améliorer nos propositions. »

    Des plans similaires ont également été avancés en Écosse, où le secrétaire à la Justice Humza Yousaf, musulman d’origine kenyane et pakistanaise a été critiqué pour ses propositions extrêmes. Les militants pour la liberté d’expression ont averti que le projet de loi sur les crimes de haine du gouvernement écossais laisse de côté la « défense du logement » actuellement incluse dans la législation en Angleterre et au Pays de Galles, mais Yousaf insiste sur le fait que les « discours haineux » à la maison méritent d’être criminalisés.

    Le directeur adjoint des communications du Christian Institute, Ciarán Kelly, a commenté :

    « Le gouvernement écossais a attiré les critiques de toutes parts pour sa sinistre législation sur les crimes de haine, mais la Law Commission pour l’Angleterre et le Pays de Galles semble ne pas y avoir prêté attention. »

    Sarah Phillimore, avocate et membre de l’organisation Fair Cop, qui fait campagne contre ce qu’elle dit être une utilisation abusive de la législation pour freiner la liberté d’expression, a déclaré de son côté que cela encouragerait « la surveillance par l’État ou les gens à informer sur leurs amis. Sinon, comment obtiendraient-ils les preuves ? Ce sera comme le service de sécurité est-allemand de la Stasi. »

    Même le directeur général de l’Index sur la censure, Ruth Smeeth, une ancienne députée travailliste et membre du mouvement travailliste juif, a exprimé de l’embarras face à ce projet :

    « Nous devons avoir un véritable débat national si nous voulons commencer à mettre des restrictions sur un langage comme celui-ci. Il pourrait y avoir des conséquences imprévues. Les gens ont le droit de débattre des problèmes chez eux. Si quelqu’un lit Mein Kampf à la maison parce qu’il l’étudie, serait-il signalé à la police ? Où tracez-vous la frontière entre la curiosité intellectuelle et le crime ? »

    Étendre les lois sur le discours de haine aux maisons privées serait une mesure « complètement folle » qui empiéterait sur la liberté d’expression, a affirmé pareillement un député conservateur.

    Ce projet de loi est doublement grave : non seulement il s’attaque à la liberté d’expression dans le cadre privé de la maison et de la famille mais, par extension, il s’en prend à la liberté de pensée individuelle. Derrière ce projet de censure des conversations privées, c’est également la liberté de penser différemment de la pensée unique sur tel ou tel sujet qui sera « criminalisée » : en interdisant l’expression d’une pensée divergente du politiquement correct dicté par la conscience morale universelle, à terme une majorité d’individus, par peur d’enfreindre la loi, s’auto-censureront eux-mêmes en s’empêchant de penser, et par conséquent d’éduquer leurs enfants, différemment de la pensée unique à la mode, c’est-à-dire la doxa arc-en-ciel. 

    Le meilleur des mondes orwellien qui a déjà été soviétique, sera… est, maintenant, britannique : Big Brother is watching you ! La fiction est en train de devenir réalité…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Bastia – Manifestation contre le confinement et pour la défense des commerçants jugés “non essentiels”

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

    Corse – Vendredi soir, à Bastia, une manifestation contre le confinement et pour la défense des commerçants a animé les rues.

     

    Source : medias-presse.info

  • Interdiction du culte catholique : le Conseil d’État rejette le référé liberté déposé par les évêques français

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

                          Un grave scandale.

    Le Conseil d’Etat, repaire de franc-macs.

    (notre commentaire ci-après)

    « Le Conseil d’État a rejeté samedi le recours liberté déposé par la conférence des évêques de France, des religieux agissant en leur nom, ainsi que plusieurs associations catholiques et pratiquants agissant en leur nom. Ils demandaient la levée de l’interdiction de célébrer des messes pendant le reconfinement.
    Les juges du Palais royal ont estimé qu’à ce jour, cette interdiction était proportionnée au vu des risques sanitaires et de la nécessité constitutionnelle de protection de la santé et par rapport à la liberté fondamentale de culte.
    Juge de l’urgence et de la situation immédiate le Conseil d’État introduit cependant une clause de revoyure fixée au 16 novembre prochain, date à laquelle le gouvernement doit faire un premier point du reconfinement.
    Il maintient donc l’autorisation des seules cérémonies limitées à 30 personnes et demande en revanche au gouvernement, comme il s’y est engagé à l’audience de clarifier l’attestation afin que les fidèles puissent se rendre plus facilement à l’Église Enfin dans un de ses considérants, il estime que les mesures prises par les lieux de culte ne sont pas toujours satisfaisantes. » (source)

    L’Etat républicain (c’est-à-dire maçonnique) se rend à nouveau coupable d’un grave abus de pouvoir. En effet, l’Eglise est maîtresse du culte, c’est son domaine propre, de droit divin. Chose impossible à comprendre pour les fanatiques laïcards et pour la plupart de nos contemporains, déracinés et ignares.
    C’est un point positif que les évêques de France se soient (très modérément) rebellés cette fois, contrairement au premier confinement au cours duquel ils s’étaient totalement couchés, et pour certains avaient même devancé les exigences du gouvernement, montrant le peu de valeur qu’ils accordaient à la Messe.
    Mais leur protestation auprès du Conseil d’Etat aura été vaine comme on vient de le voir. Pourquoi ?
    Eh bien parce que l’Eglise catholique n’impressionne plus, en rien, le pouvoir politique. Ce n’est pas seulement son effacement démographique progressif – consécutif à la crise moderniste qui la ronge –, c’est cette attitude de passivité, de complicité avec le pouvoir politique – sinon de soumission –, de politiquement correct, de renoncement, qui se paye aujourd’hui avec la demande des évêques balayée par le Conseil d’Etat. Gageons d’ailleurs que la contestation épiscopale s’arrêtera maintenant, avec un simple regret exprimé dans un communiqué aimable.

     

    Source : contre-info

  • Un 8 novembre... 1956.

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

    avion,cgt,erala 2/40 d'oran,sabotage,un 8 novembre 1956

    Un 8 novembre... 1956. Le rapport d'enquête est bouclé. Il sera publié le lendemain 9 novembre.
    6 avions de reconnaissance de l'ERALA 2/40 d'Oran s'étaient écrasés en même temps. Panne des moteurs. Curieuse "coïncidence". Ces avions revenaient justement de révision. Il apparaîtra que des ouvriers militants communistes, favorables au FLN, les avaient sabotés. Heureusement les pilotes avaient pu s'éjecter à temps.
    Une tradition depuis l'Indochine où, sur le sol métropolitain, les ouvriers CGT des usines d'armement sabotaient déjà les parachutes et les fusils de nos soldats.
    Appelons un chat un chat, il s'agit de haute trahison et d'intelligence avec l'ennemi. Là encore une vieille tradition depuis le pacte germano-soviétique.
    Le mot "collabo" tagué sur la façade du siège du PCF le mois dernier était-il vraiment dénué de tout fondement... ?