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  • Xi Jinping encourage les pays du G20 à adopter une appli sur le statut COVID – avec isolement contraint à la clef

    Publié par Guy Jovelin le 30 novembre 2020

    Le régime communiste chinois, incarnation du totalitarisme moderne, est source d’inspiration pour le reste des régimes « démocratiques » (en réalité plouto-oligarchiques).

    Coronavirus: China's Hangzhou proposes permanent health tracking app - Business Insider

    « La Chine communiste cherche à répandre son système de crédit social au niveau mondial. Le président chinois Xi Jinping a proposé aux dirigeants des pays les plus puissants de la planète, le week-end dernier, lors du sommet virtuel du G20, de mettre en place des passeports de santé numériques Covid-19 utilisant des codes QR, dans le cadre d’un plan visant à relancer les voyages internationaux et à assurer le « flux ordonné des personnes ». Le tout, bien évidemment, dans le cadre d’une « harmonisation des politiques et des normes » au niveau international.

    La Chine a donc proposé un mécanisme mondial de reconnaissance mutuelle des certificats de santé basés sur les résultats des tests d’acide nucléique sous la forme de codes QR acceptés au niveau international, et fonctionnant au moyen d’une application pour Smartphone.

    Xi a promis le soutien de la Chine au G20 « pour mener à bien une coopération institutionnalisée et construire des réseaux de coopération mondiaux pour faciliter la circulation des personnes et des biens ». Venant d’un chef d’Etat qui soumet sa propre population à des normes tatillonnes qui conditionnent leurs droits de circuler, acheter, voyager entre régions ou à l’étranger, à l’aide d’une surveillance appuyée sur l’intelligence artificielle, la proposition a de quoi inquiéter.

    Xi Jinping estime également que le Covid-19 « a mis en évidence les déficiences de la gouvernance mondiale » : traduisez, la crise du COVID sert aussi à faire progresser ce mondialisme dont la Chine affirme depuis longtemps qu’elle en prendrait volontiers la tête.

    « La communauté internationale est fortement intéressée à l’ordre international et à la gouvernance mondiale post-Covid, ainsi qu’au rôle futur du G20 », a ainsi déclaré Xi aux leaders mondiaux.

    Cela fait déjà plusieurs mois que la Chine a mis en place un système de code QR assorti de trois couleurs permettant d’ indiquer le niveau de liberté auquel peut prétendre son porteur. Le code vert permet à une personne de bénéficier d’une liberté de mouvement maximale, tandis que le code orange signifie qu’elle doit être « mise en quarantaine pendant sept jours ». Le code rouge indique qu’elle doit « être mise en quarantaine par le gouvernement ou en auto-quarantaine pendant 14 jours ». Avec possibilité de mobiliser la police pour assurer le respect de ce dernier…

    Pour obtenir un de ces codes de santé, les personnes doivent entrer leur « nom, leur numéro d’identité nationale ou de passeport et leur numéro de téléphone », ainsi que leurs antécédents de voyage, les contacts suspects avec toute personne infectée par le virus et les symptômes personnels indiquant la présence du virus.

    La version utilisée dans la ville de Pékin contraint également les utilisateurs à consentir à ce que le système opère sur la base de la reconnaissance faciale – omniprésente dans les villes chinoises.

    Le New York Times, dans un article présentant l’application lors de son lancement début mars, affirmait découvert que le système « semble partager des informations avec la police, établissant un modèle pour de nouvelles formes de contrôle social automatisé qui pourraient persister longtemps après la fin de l’épidémie ». Et ce à l’insu des utilisateurs. Le journal précise que la police a été impliquée dans le développement du système.

    Il est clair que ce type de système peut être facilement étendu à d’autres formes de surveillance et de « crédit social », notamment par la biais de l’identification des contacts : moyen rêvé pour le pouvoir de surveiller ou interdire les rassemblent de toutes sortes.

    Il n’est pas nécessaire, en outre, d’imposer téléchargement d’une telle application par la contrainte : dès lors qu’il ne peut se déplacer ou faire des achats sans elle, le citoyen ordinaire n’a guère le choix.

    Il faut savoir quelLes codes QR se répandent rapidement dans le monde entier. Ainsi, le gouvernement britannique a déjà décidé de mettre en place un code numérique permettant aux personnes d’accéder aux événements publics, selon qu’elles été ou non vaccinées contre le Covid-19.

    L’ancien Premier ministre britannique Tony Blair a lui aussi lancé un appel en faveur de l’utilisation de codes numériques pour suivre le « statut de la maladie » dans le cadre des plans de relance des voyages internationaux après la crise mondiale du coronavirus.

    Les premiers passeports numériques enregistrant le statut Covid-19 ont déjà été délivrés. Le CommonPass, développé avec le soutien du Forum économique mondial, a été lancé en octobre et permet aux passagers des compagnies aériennes de scanner un code QR afin de prouver le statut « COVID-19 négatif ».

    Rien n’empêchera demain d’y associer le statut vaccinal – à moins que ces informations ne soient carrément imprimées dans la chair comme cela se profile avec le vaccin Moderna – bientôt produit en France – qui sous sa forme patch, permet d’injecter sous la peau des informations lisibles par Smartphone sur la date de la vaccination.

    C’est dire que les injonctions de Xi Jinping ne viennent qu’entériner une réalité qui se répand déjà dans le monde dit libre. »

    Texte de Jeanne Smits,
    adapté de celui de Michael Haynes pour LifeSiteNews.

     

    Source : .contre-info

  • L’or et les réalités économiques se vengeront des illusions boursières

    Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2020

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    Marc Rousset

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    Le Dow Jones a franchi momentanément, pour la première fois, la barre des 30.000 points, à Wall Street. Depuis l’investiture de Donald Trump, le 20 janvier 2017, il a grimpé de plus de moitié. L’indice parisien est parti pour boucler son meilleur mois de novembre depuis plus de trente ans. Le sentiment dominant des boursiers, avec la probable nomination au Trésor de Janet Yellen, ancienne présidente de la Fed, est que des solutions vont être trouvées pour tous les problèmes des sociétés occidentales.

    Cette euphorie nouvelle repose, en fait, sur les potentiels des vaccins, sur l’assurance que tous les gouvernements dans le monde vont continuer à s’endetter de plus belle, sur les certitudes que les injections monétaires de la Fed et de la BCE vont continuer, que les taux resteront à des niveaux planchers pendant des années. En 1980, il fallait briser l’inflation ; aujourd’hui, il faut briser la déflation, quitte à choisir l’option démagogique de la théorie monétaire moderne et des hélicoptères monétaires.

    Les réalités économiques présentes devraient, cependant, interpeller les boursiers. L’Italie maintient l’emploi sous perfusion avec interdiction de licencier et chômage partiel jusqu’au 21 mars 2021, afin d’éviter 600.000 licenciements. Aux États-Unis les banques alimentaires concerneraient 50 millions de personnes et plus de 7 millions d’enfants dans une extrême pauvreté.

    La dette totale publique et privée des États-Unis devrait s’élever à 80.000 milliards de dollars à fin 2020, soit une augmentation de 9.000 milliards par rapport à 2019. En zone euro, la dette globale a augmenté de 1.500 milliards de dollars en neuf mois et s’élève à 53.000 milliards de dollars à fin septembre. Comment l’économie mondiale pourra-t-elle se désendetter à l’avenir sans des conséquences impossibles à supporter ? Le remboursement paraît impossible à l’économiste Jean-Jacques Rosa : « Je pense que nous assisterons à des défauts de paiement de pays et d’entreprises. Des accidents très sérieux sont devant nous. »

    Quant à la BCE, elle alerte sur la vulnérabilité des banques européennes. La pandémie accroît le risque d’insolvabilité des entreprises et des ménages, ce qui fragilise leurs créanciers. Les banques vont bientôt faire face à 1.400 milliards d’euros de crédits à risques, susceptibles de mettre en péril le système financier. Plus les banques prêtent, avec un niveau de profitabilité trop faible de 2 %, plus elles prennent des risques pour leur propre stabilité. En Italie, les dettes souveraines représentent 19 % des actifs totaux des banques. Ce ne sont pas les vaccins qui vont faire disparaître tous les avis de tempête sur l’économie.

    L’or vient de baisser à 1.800 dollars l’once, ces deux dernières semaines, soit une baisse d’environ 10 %. Cependant, de nombreux établissements financiers voient l’or à 2.300 ou 2.500 dollars l’once, en 2021. Selon un modèle très sérieux du rapport 2020 In Gold We Trustfaisant intervenir des hypothèses de croissance de la masse monétaire et des ratios différents de couverture en or par les banques centrales, l’or devrait coter 4.800 dollars, en 2030, avec un maximum possible à 8.900 dollars l’once. La réalité hallucinante, c’est que les Bourses s’envolent, fin 2020, alors que nous sommes dans une période de crise ! Tout cela se terminera par la récession et la déflation ou, beaucoup plus probablement, par l’hyperinflation. Que ce soit en matière boursière, économique, politique ou migratoire, l’inconscience et l’irresponsabilité caractérisent les sociétés occidentales.

     

    Source : synthesenationale

  • Dominique Simonnot, contrôleuse générale des prisons : “Nous allons devoir vider nos prisons (…) Le Covid est une occasion pour continuer les libérations anticipées, qui ne font de mal à personne”

    Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2020

    A l’occasion des Journées nationales Prison et alors que les conditions de vie des détenus sont encore dégradées par la crise sanitaire, la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté Dominique Simonnot qui a pris ses fonctions en octobre dernier.

    Lors du premier confinement, les libérations anticipées de certaines personnes en fin de peine et la forte réduction de l’activité des tribunaux et de la délinquance avaient abouti à une baisse inédite du nombre de personnes détenues dans les prisons françaises. (…) Dans le cadre des Journées nationales Prison, nous recevons Dominique Simonnot, ancien journaliste nommée au mois d’octobre au poste de Contrôleuse générale des lieux de privation de liberté. 

    En prison, les cellules font quelques 9 mètres carré, et on y vit souvent à deux ou trois. Des directeurs de prison me disent que, bientôt, ils ne saurons plus comment faire. La population augmente, une quinzaine de maisons d’arrêt sont à plus de 150% de surpopulation. Et au retour des permissions de sortie ou dans le quartier arrivants, où il y a des quarantaines instituées, les directeurs de prison ne pourront pas pousser les murs. Faudra-t-il alors supprimer les permissions de sortie ? Ce serait terrible. 

    Le gouvernement a reculé devant le fait de libérer des gens de prison. Or, les gens libérés au printemps dernier l’ont été à quelques semaines de leur fin de peine : ils seraient aujourd’hui libres. Nous allons de toute façon devoir vider nos prisons : la Cour européenne nous a condamnés par deux fois cette année (…) Le Covid est pour moi l’occasion de continuer ces libérations anticipées qui font du bien à ceux qui sortent et à ceux qui restent, en réduisant la promiscuité en prison.

    Il faudrait montrer, expliquer qu’est une peine alternative. Porter un bracelet électronique est extrêmement contraignant . Effectuer un travail d’intérêt général, c’est travailler gratuitement par la communauté. J’espère que ces peines vont se développer. Dans l’esprit de chacun, la seule punition qui vaille est la prison. Mais c’est faux.  Il y a mille façons de punir et qui ne consistent pas à enfermer les gens. 

    France Culture

    En complément :

    Le 5 octobre 2020, Dominique Simonnot est proposée par le président de la République Emmanuel Macron pour devenir la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté.

    Wikipedia

  • Lille : les « curés hors-la-loi » passent outre la jauge des trente fidèles. Le Conseil d’Etat demande au gouvernement de revenir sur cette mesure

    Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2020

    Le Conseil d’Etat casse la jauge des trente fidèles pour les cérémonies religieuses. Le gouvernement doit revenir «dans les trois jours» sur sa mesure. Pour justifier sa décision, le juge administratif estime les termes du décret initial disproportionné et rappelle la place particulière de la liberté de culte dans la hiérarchie des normes. Le grand patron des curés de Lille appelle ouvertement à accueillir tous les fidèles malgré la limitation fixée à 30 personnes par le gouvernement.

    Pour justifier sa décision, les sages du Palais Royal estiment dans ce référé liberté porté notamment par la Conférence des évêques de France et l’archevêque de Paris Mgr Michel Aupetit que cette restriction est disproportionnée et que la liberté de culte n’est pas de «même nature que les autres».

    Vendredi, l’archevêque de Lille, Laurent Ulrich, s’est élevé contre les mesures gouvernementales restreignant le nombre de personnes pouvant participer aux  offices religieux. Pour ce premier week-end de l’Avent, il a appelé ouvertement ses curés à « accueillir tous les croyants ».

    « Nous ne sommes pas des hors-la-loi, nous essayons simplement d’être intelligents », assurait ce dimanche matin l’abbé Bruno Mary quelques minutes avant de célébrer la messe à la cathédrale Notre-Dame de la Treille, à Lille.  […]

    Pourtant, malgré le soutien du grand patron, il n’y avait pas foule à la messe de 11h à la cathédrale. A peine une trentaine de personnes, alors que, selon l’abbé, la messe du dimanche attire habituellement 300 fidèles. La faute au froid ? A la peur de l’amende ? Néanmoins, pendant ce temps, un autre culte tirait son épingle du jeu, celui de la consommation. Les rues commerçantes du centre-ville se remplissaient déjà en milieu de matinée. Des files d’attente commençaient même à se former devant certains magasins alors que le brouillard n’était pas encore levé.

    Le Figaro ; 20 minutes

  • Autriche : 6 jeunes Afghans interpellés après avoir tourné une vidéo d’exécution dans un parc, ils ont expliqué qu’il s’agissait d’une blague et que cela “faisait partie de leur culture”

    Publié par Guy Jovelin le 29 novembre 2020

    Autriche – Le lendemain de l’attentat de Vienne, six jeunes demandeurs d’asile afghans ont tourné et publié une vidéo d’exécution dans le parc du palais de Pottendorf (district de Baden). Le maire Thomas Sabbata-Valteiner (SPÖ) a déposé une plainte, a rapporté jeudi le quotidien “Heute”.

    Les motivations et les antécédents des jeunes âgés de 14 à 17 ans ne sont toujours pas clairs, l’enregistrement doit encore être traduit. Ce n’est qu’alors que l’on pourra déterminer s’il y a infraction pénale.

    Les adolescents ont dit, selon “Today”, que de tels clips étaient “parfaitement normaux” dans leur culture et qu’il s’agissait d’une blague. Le président du FPÖ, Norbert Hofer, a expliqué que cette vidéo moquait les victimes de l’attentat de Vienne et a exigé que les personnes impliquées et leurs parents soient expulsés: “Cette culture, dont parlent ces jeunes, n’a pas sa place dans notre pays.”

    (…)

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