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  • Interdiction du culte catholique : le Conseil d’État rejette le référé liberté déposé par les évêques français

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

                          Un grave scandale.

    Le Conseil d’Etat, repaire de franc-macs.

    (notre commentaire ci-après)

    « Le Conseil d’État a rejeté samedi le recours liberté déposé par la conférence des évêques de France, des religieux agissant en leur nom, ainsi que plusieurs associations catholiques et pratiquants agissant en leur nom. Ils demandaient la levée de l’interdiction de célébrer des messes pendant le reconfinement.
    Les juges du Palais royal ont estimé qu’à ce jour, cette interdiction était proportionnée au vu des risques sanitaires et de la nécessité constitutionnelle de protection de la santé et par rapport à la liberté fondamentale de culte.
    Juge de l’urgence et de la situation immédiate le Conseil d’État introduit cependant une clause de revoyure fixée au 16 novembre prochain, date à laquelle le gouvernement doit faire un premier point du reconfinement.
    Il maintient donc l’autorisation des seules cérémonies limitées à 30 personnes et demande en revanche au gouvernement, comme il s’y est engagé à l’audience de clarifier l’attestation afin que les fidèles puissent se rendre plus facilement à l’Église Enfin dans un de ses considérants, il estime que les mesures prises par les lieux de culte ne sont pas toujours satisfaisantes. » (source)

    L’Etat républicain (c’est-à-dire maçonnique) se rend à nouveau coupable d’un grave abus de pouvoir. En effet, l’Eglise est maîtresse du culte, c’est son domaine propre, de droit divin. Chose impossible à comprendre pour les fanatiques laïcards et pour la plupart de nos contemporains, déracinés et ignares.
    C’est un point positif que les évêques de France se soient (très modérément) rebellés cette fois, contrairement au premier confinement au cours duquel ils s’étaient totalement couchés, et pour certains avaient même devancé les exigences du gouvernement, montrant le peu de valeur qu’ils accordaient à la Messe.
    Mais leur protestation auprès du Conseil d’Etat aura été vaine comme on vient de le voir. Pourquoi ?
    Eh bien parce que l’Eglise catholique n’impressionne plus, en rien, le pouvoir politique. Ce n’est pas seulement son effacement démographique progressif – consécutif à la crise moderniste qui la ronge –, c’est cette attitude de passivité, de complicité avec le pouvoir politique – sinon de soumission –, de politiquement correct, de renoncement, qui se paye aujourd’hui avec la demande des évêques balayée par le Conseil d’Etat. Gageons d’ailleurs que la contestation épiscopale s’arrêtera maintenant, avec un simple regret exprimé dans un communiqué aimable.

     

    Source : contre-info

  • Un 8 novembre... 1956.

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

    avion,cgt,erala 2/40 d'oran,sabotage,un 8 novembre 1956

    Un 8 novembre... 1956. Le rapport d'enquête est bouclé. Il sera publié le lendemain 9 novembre.
    6 avions de reconnaissance de l'ERALA 2/40 d'Oran s'étaient écrasés en même temps. Panne des moteurs. Curieuse "coïncidence". Ces avions revenaient justement de révision. Il apparaîtra que des ouvriers militants communistes, favorables au FLN, les avaient sabotés. Heureusement les pilotes avaient pu s'éjecter à temps.
    Une tradition depuis l'Indochine où, sur le sol métropolitain, les ouvriers CGT des usines d'armement sabotaient déjà les parachutes et les fusils de nos soldats.
    Appelons un chat un chat, il s'agit de haute trahison et d'intelligence avec l'ennemi. Là encore une vieille tradition depuis le pacte germano-soviétique.
    Le mot "collabo" tagué sur la façade du siège du PCF le mois dernier était-il vraiment dénué de tout fondement... ?

     
     
     
     
  • Reims : un adolescent mis en examen pour tentative d’étranglement d’un professeur dans son lycée

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2020

    Un adolescent letton, de confession musulmane, a été mis en examen pour avoir agressé vendredi un de ses professeurs dans un lycée de Reims (Marne), l’élève récusant tout lien entre son acte et la mort de Samuel Paty, a-t-on appris ce samedi auprès du parquet. «Le parquet national antiterroriste a été tenu informé de l’ensemble des éléments d’enquête» a déclaré  le procureur.

     «Un enseignant du lycée Jean Jaurès de Reims a été victime d’une agression par un de ses élèves hier après-midi alors qu’il se trouvait seul dans sa classe après un cours», a rapporté le rectorat dans un communiqué de presse. […] Selon le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourrette, cet adolescent letton de 15 ans et 11 mois, scolarisé en classe de première, a tenté d’étrangler son professeur puis a jeté une table dans sa direction.

    Bon élève mais manifestant un comportement plus difficile depuis la rentrée de septembre 2020, ce jeune homme «de confession musulmane» qui «pratique de manière assidue sa foi» a choisi de garder le silence pendant sa garde à vue mais a indiqué, «parmi les rares réponses qu’il a fournies, que les actes récents commis envers des professeurs étaient ‘des incidents très graves’», souligne le communiqué du procureur. […]

    Le Figaro via fdesouche

  • Nuit de violences à Oyonnax (01) : des scènes de guérilla urbaine en plein cœur de la ville, 3 policiers blessés, les habitants sous le choc (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    fdesouche

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    07/11/2020

    Les images sont impressionnantes. Des poubelles brûlées, feux d’artifice, pétards, des scènes de guérilla urbaine en plein cœur d’Oyonnax. Des voitures ont même été brûlées. Dans la soirée de vendredi d’importantes échauffourées ont opposé la police et des habitants non loin du Stade Charles-Mathon, à proximité du quartier de la Plaine, vers le cours de Verdun. La police et les pompiers sont intervenus pour éteindre les divers incendies et disperser les individus. La BAC a dû être appelé en renfort, tout comme le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Valserhône et Bourg-en-Bresse. L’heure n’est pas encore au bilan, mais beaucoup de mobiliers urbains ont été dégradés.

    La Voix de l’Ain


    Les tirs de mortiers d’artifice ont blessé trois policiers, dont l’un s’est vu prescrire 30 jours d’incapacité temporaire de travail (ITT) selon l’AFP. La Brigade Anti-Criminalité de Bourg-en-Bresse est venue prêter main forte à leurs collègues. Les faits se sont déroulés à proximité du Stade Charles-Mathon, du cours de Verdun et de la rue Normandie-Niemen, dans le quartier de la Plaine.

    Selon des sources policières, ces faits pourraient s’expliquer par un contre-coup du confinement. Des petites bandes pourraient “s’amuser” le soir en créant des “provocations“, pour s’occuper.

    (…) France 3


    06/11/2020

    Les tirs de mortiers et jets de cocktails Molotov se sont multipliés, certains d’entre eux auraient visé les policiers. Leurs collègues de la BAC de Bourg-en-Bresse ont été appelés en renfort.

    Plusieurs feux, au moins six, se déclarent sur la voie publique, l’intervention des pompiers a longtemps été compliquée voire périlleuse. Plusieurs véhicules ont été calcinés, notamment à proximité du centre social ouest, et le mobilier urbain a été dégradé.

    Vers 22 heures, le harcèlement des forces de l’ordre par les tirs de feux d’artifice se poursuivait, de façon intermittente mais soutenue.

    Le Progrès

  • A l’unanimité, les députés français bradent le patrimoine inaliénable de nos musées.

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    Le 6 octobre 2020, après avoir été présenté en Conseil des ministres et approuvé à l’unanimité par les commissions de la culture et des affaires étrangères, l’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité des présents (où étaient les députés du RN et ceux de la « droite de conviction » ?), le scandaleux projet de loi n°3221 sur rapport de M. Yannick Kerlogot, dérogeant au principe d’inaliénabilité du patrimoine national.

    députés français,musées,patrimoine inaliénableComposée de deux articles, cette loi stipule qu’à compter de l’entrée vigueur du texte, 26 œuvres d’art provenant du trésor du grand chef esclavagiste Béhanzin, roi d’Abomey (voir à ce sujet mon livre « Esclavage, l’histoire à l’endroit ») conservés au musée du quai Branly, cesseront de faire partie des Collections nationales.

    Or, il faut savoir que ce texte a été présenté en procédure accélérée, en loi d’exception, et non en loi de portée générale, ce qui signifie qu’il ne passera qu’une seule fois devant les deux chambres. Où était donc l’urgence en ces « temps de guerre » contre le terrorisme islamiste et le Covid ?

    Cette loi qui déshonore ceux qui l’ont votée mais également ceux qui, par leur absence se sont rendus complices du vote alors qu’ils n’ignoraient pas que sa discussion allait venir en séance, concrétise une promesse unilatérale faite par Emmanuel Macron le 28 novembre 2017 quand, lors d’une visite d’Etat au Burkina Faso, il déclara : « D’ici à cinq ans, je veux que les conditions soient réunies pour des restitutions temporaires ou définitives du patrimoine africain à l’Afrique ».

    Allant vite en besogne, et en violation flagrante du principe d’inaliénabilité des biens inscrits aux Inventaires nationaux, le 17 novembre 2019, à Dakar, le « sabre d’el-Hadj Omar » fut remis au président sénégalais Macky Sall - d’ethnie toucouleur comme el-Hadj Omar -, par le Premier ministre français Edouard Philippe. Or, cette arme qui, soit dit en passant, n’a rien d’africain puisqu'il s’agit d’un sabre d’infanterie de l’armée française modèle 1821 forgé à Kligenthal, en Alsace, honore la mémoire d’un conquérant « sénégalais » qui mit en coupe réglée et vendit comme esclaves les ancêtres de 90% de la population de l’actuel Mali…et d’une partie de celle du Burkina Faso...Un beau geste de paix dans l’actuel contexte de jihadisme…

    Dans la foulée de sa visite au Burkina Faso, le président Macron demanda un rapport sur les « restitutions » à Felwine Sarr de l’Université de St-Louis du Sénégal et à Bénédicte Savoy, historienne de l’Art et militante engagée que la sénatrice Catherine Morin-Desailly qui fut présidente de la commission de la culture au Sénat qualifie d’ « activiste ».

    Rendu le 23 novembre 2018, le rapport proprement surréaliste tant il est caricatural par son aveuglement idéologique et son ignorance historique, recense 46.000 (!!!) œuvres africaines qui devraient être « restituées » sur les 90.000 conservées dans les musées français ….

    Dans ce rapport, l’on peut lire que « les collections africaines conservées dans les musées occidentaux (sont) une frustration née de la colonisation (… et) une sorte de totem de cette souffrance ». Pour Bénédicte Savoy, toute œuvre d’art africaine conservée en France et plus généralement en Europe est en effet postulée être le produit d’un pillage…

    Une telle impudence a entraîné la vive réponse d’Hermann Parzingzer, président de la Fondation du patrimoine prussien qui gère de très nombreuses collections africaines et qui a qualifié le rapport « de jargon dominé par une idéologie d’expiation et de pénitence ».

    Cette présomption de « pillage » va donc contraindre les musées français à démontrer le caractère « légal » des acquisitions. Mais comment établir la traçabilité des achats, des échanges, des commandes datant parfois de plusieurs siècles, et des dons de collectionneurs, ces derniers constituant plus de 50% des collections ? 

    Alors que l’on attendait une vive réaction du Sénat, le 4 novembre 2020, ce dernier, tout en protestant, a lui aussi voté à l’unanimité (où étaient les sénateurs RN et ceux de la « droite de conviction ?), se contentant d’amender le texte en changeant simplement le mot « restitution » signifiant « rendre quelque chose que l’on possède indûment » par « retour »… Une grande marque de « virilité » qui constitue une garantie pour l’avenir de nos musées…

    La boite de pandore ayant été imprudemment et idéologiquement ouverte par Emmanuel Macron, cinq pays africains se sont immédiatement engouffrés dans la brèche offerte par la loi, en réclamant dès à présent 13.000 objets qui sont pourtant autant de biens inaliénables du patrimoine français.

    Mais plus encore, de nuit, en catimini, quasi clandestinement, la couronne du dais de la reine Ranavalona conservée au musée de l’Armée depuis 1910 et qui n’est pas une prise de guerre, mais le don d’un particulier, a été « restituée » à Madagascar. Qui avait autorité pour autoriser une telle sortie d’un bien inaliénable inscrit aux Inventaires nationaux ? Qui a donné l’ordre de cette inadmissible spoliation ?

    Quelle association habilitée osera porter l’affaire devant les tribunaux afin que toute la lumière soit faite sur ce scandale ? D'autant plus que la convention de l’UNESCO de 1970 concernant les œuvres d’art conservées dans les musées n’est pas rétroactive. 

    Précision ne manquant pas de « sel », la couronne de la reine Ranavalona, une superbe pièce en vermeil ornée de sept fers de lance représentant les sept maisons princières et surmontée d’un aigle était conservée dans le palais d’Andafiavaratra à Antananarivo… où elle a été volée en 2011…

    La « restitution » des œuvres d’art à l’Afrique est donc un gage de pérennité… Nous l’avons d’ailleurs observé avec les manuscrits de Tombouctou détruits par les jihadistes ou avec le pillage des collections du musée de Butare au Rwanda au moment du génocide… Si toutes ces collections avaient été abritées dans des musées européens, elles existeraient encore …

    Bernard Lugan

    Source : http://bernardlugan.blogspot.com/