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  • Terrorisme islamiste : 230 individus dangereux vont sortir de prison, et rien ou presque pour les suivre !

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2020

    C’est un papier plus qu’inquiétant qui paraît, ce mardi, dans Le Figaro, sous la plume de Jean-Marc Leclerc. Il révèle que les djihadistes de la première heure – c’est-à-dire les plus dangereux – commencent à sortir de prison. Déjà 80, cette année, et près de 230, d’ici 2023. Ceux-là, « souvent hyper entraînés et prêts à tout, y compris à mourir, pour certains », vont être lâchés dans la nature car il n’y a quasiment aucun suivi prévu pour eux.

    Les chiffres font froid dans le dos, encore sont-ils « a minima », dit un magistrat au quotidien : ainsi, « sur 505 personnes incarcérées pour des faits de terrorisme en lien avec l’islamisme, 273 ont été condamnées définitivement et 232 sont actuellement soit mises en examen, soit en attente de jugement ». Depuis janvier de cette année, 63 ont déjà été libérés et une vingtaine sortiront d’ici fin décembre. 70 seront remis en liberté en 2021, une cinquantaine en 2022 et une trentaine en 2023 : « Total en quatre ans : environ 230 sortants de prison. »

    Comme l’explique ce magistrat spécialisé dans la lutte antiterrorisme, ces gens-là – les plus dangereux, redisons-le – bénéficient d’une législation infiniment plus clémente, à l’époque de leur condamnation, qu’elle ne l’est aujourd’hui. « Ils ont écopé de peines relativement limitées, de 5 à 6 ans de prison, parce que le départ pour les zones de combat en Syrie ou ailleurs n’était passible que de peines correctionnelles, c’est-à-dire d’un maximum de 10 ans de prison, quand ils ont été arrêtés. » Ce n’est qu’après janvier 2015 que la loi a été durcie et les départs vers « les théâtres de conflit » ont été criminalisés : « Aujourd’hui, pour un simple départ, un djihadiste passe aux assises et peut être condamné à 15, 20, voire 30 ans de prison, en fonction de la gravité de ce qu’il a commis sur place. »

    Il n’y a qu’en matière fiscale que la loi française s’offre le luxe d’être rétroactive, pas en matière criminelle. S’ajoute à cela une subtilité de la loi antiterroriste de 2016 (initiée par MM. Urvoas et Cazeneuve) qui, sous prétexte de durcir le régime de sanction, a en réalité quasiment supprimé, de fait, l’encadrement des djihadistes à leur sortie de prison. Ainsi, « sur les 273 détenus islamistes condamnés définitivement, seulement 80 environ bénéficieront d’un suivi sociojudiciaire à la sortie de prison, dont une trentaine parce que cette mesure fut décidée lors du prononcé de la peine ».

    De plus, pour les personnes condamnées à plus de sept ans de prison et pouvant, à ce titre, bénéficier d’un suivi, celui-ci a été calqué sur celui des délinquants sexuels et leur fait obligation de passer devant un psychiatre. Or, ces gens-là ne sont pas fous ni malades ! « Les médecins constatent le plus souvent que la personne présentée n’est pas folle, mais qu’elle a simplement fait des choix idéologiques », dit un policier au Figaro.

    Un suivi administratif – la MICAS (mesure individuelle de contrôle et de surveillance) – est également possible depuis 2017, imposant au libéré « des obligations de pointage, de résidence, des interdictions de paraître ou de rencontrer certaines personnes ». Malheureusement, ce suivi n’excède pas six mois, renouvelable une fois seulement et sur décision du juge à condition de lui apporter sur un plateau des « éléments nouveaux ».

    Résultat : « Les services doivent donc montrer patte blanche, au risque de mettre en danger des sources ou de révéler des méthodes ou des techniques de renseignement censées rester secrètes. »

    Traduction : les loups sont lâchés et on n’a rien pour les retenir !

     

    Source : bvoltaire

  • Béziers (34) : sept membres d’une même famille macédonienne condamnés pour 62 cambriolages, les parents s’enfuient pendant le délibéré

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2020

    Le mode opératoire était bien rodé au sein de cette famille de Béziers, dont sept membres ont été condamnés à des peines allant jusqu’à cinq ans de prison pour une soixantaine de cambriolages commis en six mois dans la région. Les vols ont été commis entre novembre 2017 et mai 2018 dans la région. Une huitième personne a été mise en examen dans ce dossier et sera jugée en février 2021. Présents à leur procès mais comparaissant libres sous contrôle judiciaire, les parents ont pris la fuite avant le délibéré.

    Ciblant des habitations supposées vides de leurs occupants en journée”, des mineurs “sonnaient aux portes pour vérifier l’absence des occupants, puis forçaient les portes ou fenêtres à la recherche de bijoux, de numéraire ou de petit multimédia“, a révélé mardi 10 novembre le procureur de la ville, Raphaël Balland, dans un communiqué.

    Après plusieurs mois d’enquête, les forces de l’ordre ont découvert que “le domicile situé à Béziers d’un couple quarantenaire de Macédoniens, déjà condamnés à plusieurs reprises pour des vols aggravés, semblait être le ‘port d’attache’ des équipes de jeunes cambrioleurs“.  […]

    actu.orange via fdesouche

  • Union Européenne : le président du Conseil préconise la création d’un «Institut européen pour la formation des imams»

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2020

    Union Européenne : Charles Michel préconise la création d’un «Institut européen pour la formation des imams»

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    Le président du Conseil européen, Charles Michel, s’est dit favorable lundi 9 novembre à la création d’un «Institut européen pour la formation des imams», après avoir rendu hommage aux victimes de l’attentat islamiste perpétré la semaine dernière à Vienne.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Figaro via fdesouche

  • Bondy (93): un propriétaire déloge des squatteurs, il se retrouve en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2020

    […]

    « Mon père a travaillé toute sa vie pour construire cette maison. Ce sera une assurance pour leur retraite. Nous voulons la récupérer », explique, au bord des larmes, le fils de Fernando (le prénom a été modifié).

    Ce maçon est propriétaire d’une belle maison en pierre de taille à Bondy (Seine-Saint-Denis). Mais depuis une semaine, son bien est squatté par une occupante, titulaire d’un bail bidon. Après un dépôt de plainte le propriétaire floué a dépêché, vendredi soir, une équipe de gros bras pour déloger l’intruse.

    […]

    Immanquablement, le père et son fils ont été placés quarante-huit heures en garde à vue.

    […]

    Les riverains font corps avec leur ancien voisin. Ils ont alerté le maire et le député. « Ce genre de chose peut arriver à n’importe qui. Vous vous absentez un weekend, et vous vous retrouvez avec des gens dans votre maison »

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien via fdesouche

  • Lille : Malik et Karim aux assises pour avoir tiré 15 balles de Kalachnikov sur une friterie, dont une dans l’épaule du tenancier, pour un hamburger servi froid

    Publié par Guy Jovelin le 10 novembre 2020

    Deux Lillois sont jugés à partir de ce mardi par la cour d’assises du Nord pour tentative d’assassinat. Tous deux ont passé la soirée au Network et admettent s’être bagarrés devant une friterie ambulante. Après la rixe, les deux hommes repartent furieux à bord de leur Golf 6 noire, menaçant, disent des témoins, de ne pas en rester là.

    Une demi-heure plus tard, une voiture noire comme la leur, arrive, avec à l’avant, assis en équilibre sur la portière, côté passager, un homme qui vise le camion de burgers et tire à la Kalachnikov. Une quinzaine d’impacts, la plupart à hauteur d’homme, sont relevés sur le camion, et sur des voitures, garées à proximité. Il n’y aura que deux blessés légers, dont un est atteint à l’épaule par une balle. (…)

    Karim Barnoussi est accusé d’être le tireur qui a mitraillé le food truck. Malik Aberkan est supposé être le conducteur de la voiture, d’où sont partis les tirs. (…)

    Mais Malik Aberkan et Karim Barnoussi ont contesté, pendant l’enquête, être les auteurs des tirs. Néanmoins, de nombreux témoins les désignent. S’ils ont raison, il y aurait eu une fusillade pour une histoire de hamburger froid…

    La Voix du Nord via fdesouche