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  • Le Toulousain Antoine Dupont élu meilleur joueur du Tournoi des VI Nations...

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    antoine dupont,meilleur joueur du tournois des 6 nations,toulousain

    Mal en point depuis bien trop d'années, le Rugby français a relevé la tête, ces derniers mois, et a fait un très bon Tournoi, qu'il aurait même pu gagner.

    Le public a son mot à dire, depuis quelques temps déjà, dans le sport, et c'est très bien ainsi : on se souvient que le magnifique but de Benjamin Pavard, lors du dernier Mondial de foot, avait été élu "plus beau but de la Compétition" par un vote des supporteurs du monde entier.

    C'est la même chose pour le Rugby: les supporteurs, d'où qu'ils soient, donnent leur avis et élisent "le meilleur joueur de la Compétition". Cette fois-ci, Il n'y a pas eu photo !. Après avoir survolé le Tournoi de VI Nations, le joueur du Stade Toulousain, Antoine Dupont (23 ans) a logiquement été élu meilleur joueur de la compétition par le public.

    Alors qu'il faisait face à cinq autres joueurs dont l'ouvreur du Stade, Romain Ntamack, et le Gersois Grégory Alldritt, Antoine Dupont a récolté à lui seul 46% des suffrages. Une juste récompense pour le demi de mêlée qui a ébloui le Tournoi de sa classe. 

    En plus des trois joueurs français, les 44.000 votants avaient aussi le choix entre l'Irlandais CJ Stander et les deux Anglais Maro Itoje et Ben Youngs, pourtant vainqueurs de la compétition avec le XV de la Rose. 

    (éléments d'information : La Dépêche)

     

    Source : lafautearousseau

  • “Est-ce qu’on a raté quelque chose ?” : les difficultés des services de renseignement face aux derniers attentats islamistes en France

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    Les assaillants des trois attaques perpétrées depuis septembre étaient passés sous le radar des services. Des failles structurelles sont-elles en cause dans ces ratés ? Si le phénomène d’un jihadisme de proximité n’est pas nouveau, le contexte dans lequel il s’inscrit dépasse la seule problématique de la détection.

    On parle beaucoup des services [de renseignement] comme des institutions. Moi je travaille depuis sept ans avec des hommes et des femmes de conviction. Ils ne sont pas rentrés là parce qu’ils ont vu de la lumière. Chaque attentat est ressenti comme un échec pour nous“, lâche-t-il derrière l’écran qui masque son visage. Au même moment, les téléphones portables se mettent à vibrer dans la salle d’audience : un homme vient d’attaquer au hachoir deux personnes devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. […]

    Un haut gradé de la DGSI reconnaît que le “travail d’initiative pour détecter ceux qui ne sont pas connus” des services doit être renforcé, en plus du suivi des 8 000 personnes déjà surveillées pour radicalisation islamiste. Mais il observe que si le mode opératoire des assaillants n’est pas nouveau – un jihad de proximité dit “low cost” avec une attaque isolée à l’arme blanche – leur profil l’est davantage : “On a affaire à des individus très déterminés qui ne justifient pas leur action au nom d’une organisation terroriste, mais au nom de leur religion, avec une atteinte portée au prophète.” Selon ce fonctionnaire, le contexte politique et diplomatique, avec une opinion dans certains pays musulmans très hostile à la France, peut expliquer l’origine étrangère de ces combattants, plus difficiles à détecter. […]

    Pour ce spécialiste, la question récurrente de la détection réactive les tensions “entre libertés et sécurité”. “L’idée même que tous les individus puissent être détectés et évalués en termes de menace renvoie à un autre régime politique que le nôtre...” estime Benjamin Oudet. “Nous avons tout sous les yeux, mais nous sommes en difficulté d’en déduire un référentiel d’action, car cela soulève des questions douloureuses : politique migratoire, politique de la ville, mémoire de la colonisation, politique étrangère ou encore opérations militaires extérieures françaises.” Des problématiques qui dépassent de loin les fonctions du renseignement.

    francetvinfo via fdesouche

  • Allah avant Marianne, c’est bien normal

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    Depuis quelques heures, mais ce n’est pas la première fois, je vois des hommes de mon camp se plaindre du fait que les musulmans préfèrent leur dieu à la République. Mais, loin d’être étonnante, cette « information » est absolument normale.

    En effet, la République est un régime détestable, né dans le sang des royalistes et des catholiques, qui n’a à proposer aux habitants de France que des valeurs hautement décadentes, comme l’avortement, l’homosexualité, l’antiracisme et la pornographie. J’espère que tous les catholiques de France placent le salutaire décalogue au-dessus des détestables droits de l’homme.

    Il y a deux choses à comprendre à ces sondages si l’on veut continuer à penser droit, et pas se retrouver à défendre le « régime » de Gérard Larcher face aux sectateurs de Mahomet. Tout d’abord, il est absolument normal que des peuples fiers, enracinés et identitaires conchient la République, cette parodie de régime qui a remplacé la patrie de nos pères par la patrie des idées des clubs et des loges. Ensuite, que les musulmans préfèrent la religion de leurs pères plutôt que la doctrine de professeurs qui montrent Mahomet le cul à l’air sur des dessins d’adolescents attardés c’est bien normal, mais à vrai dire on s’en fout, car la place des musulmans… c’est dans un pays musulman, donc hors de France !

    Au lieu de s’inquiéter du peu d’intérêt des musulmans pour la République maçonnique et apatride, les hommes de la droite nationale feraient mieux de se focaliser sur l’essentiel : rendre la France aux Français et donc, notamment, inverser les flux migratoires.

    Bruno Hirout - Secrétaire général du Parti de la France

  • Une nation debout célèbre ses héros. Pas ses victimes.

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    Toute ma compassion va aux familles des martyrs de la sauvagerie islamique. De Nice comme d'ailleurs.

    Mais une nation debout célèbre ses héros. Pas ses victimes.

    Et surtout pas par la voix de ceux qui les ont abandonnées à la lame des égorgeurs.
    JFT

    L’image contient peut-être : une personne ou plus et personnes debout
  • « Ne craignez pas d’être accusés de racisme en rejetant l’islamisme » : la lettre de professeurs en hommage à Samuel Paty

    Publié par Guy Jovelin le 07 novembre 2020

    Le temps n'a pas détruit certaines craintes. Professeur d'histoire-géographie, celui que nous appellerons Laurent, insiste : pour ne pas « attirer de regards malveillants sur [son] lycée ou [lui]même, dans le contexte difficile dans lequel nous vivons », il préfère finalement rester anonyme et que l'on taise le nom de son établissement. Pourtant, l'initiative est louable, nécessaire. Et même « salutaire », d'après certains de ses collègues interrogés. À savoir, la rédaction d'une lettre, par ses soins, puis amendée par quelques enseignants de l'établissement, pour rendre hommage à Samuel Paty et reprendre son flambeau, en réaffirmant notamment certains principes.

    [...]

    Fier de cette lettre, de ce sursaut commun couché sur papier, le collectif l'a transmis aux collègues des établissements alentour pour qu'elle soit présentée conjointement le jour de la rentrée, ce lundi 2 novembre. Dans certains, elle a été lue. Dans d'autres, refusée, en tout cas en l'état. « Il y avait une gêne sur le fait de désigner nommément l'islamisme, indique Laurent. On m'a par exemple suggéré de parler plutôt de fanatisme religieux en général, ou d'évoquer les crimes du christianisme ». Suggestions rejetées. Par volonté d'enfin nommer les choses pour mieux les affronter. Cette lettre, nous la publions, en soutien.

     

    [...]

    Marianne.net via lesobservateurs