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  • COVID-19 : les Français solidaires, mais pas pigeons !

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2020

    Rédigé par notre équipe le 02 novembre 2020.

    Assurance_COVID_pertes_exploitation

    Frappés de plein fouet par la crise du COVID-19, de nombreuses professions accusent le coup, parmi lesquelles, les restaurateurs, qui cherchent par tous les moyens à obtenir réparation auprès de leurs assureurs. Problème : leur potentielle prise en charge est étroitement liée aux cotisations des Français…

    Qui n’a jamais pesté contre son assureur pour la simple et bonne raison que celui-ci rechignait à le rembourser ? En raison de la crise actuelle, les assureurs français sont plus que jamais pris à partie, notamment par les restaurateurs, qui multiplient les actions en justice pour exiger la prise en charge de leurs pertes d’exploitation, qu’on leur refuse jusqu’alors.

    Si tout un chacun ne peut que s’émouvoir de la situation et de ses implications pour celles et ceux qui, d’ordinaire, nous accueillent et nous servent, et prendre leur parti contre les méchants assureurs, qui, dans l’imaginaire collectif – bien souvent à raison –  engrangent les deniers quand tout va bien, mais se montrent bien moins charitables lorsqu’il s’agit d’indemniser leurs assurés, la question de la prise en charge des pertes d’exploitation liées au COVID-19 doit être abordée selon un prisme des plus rationnels.

    Car au-delà de l’aspect émotionnel d’un tel affrontement, qui amène chacun d’entre nous à se ranger du côté des victimes, des logiques mathématiques sont à l’œuvre, et elles pourraient bien prendre au dépourvu bon nombre de Français.

    Risque pandémique, quèsaco ?

    Le principe assurantiel est simple : chaque mois, l’assuré paye un ensemble de « risques » – calculés sur une série de variables allant de son passif au nombre de chevaux que possède son véhicule – à son assureur qui, en cas de pépins et selon certaines conditions, lui vient en aide, financièrement et/ou physiquement. En toute logique, plus la couverture proposée par l’assureur est étendue, plus le coût mensuel de celle-ci est élevé, les risques à couvrir étant plus nombreux.

    Or, depuis toujours, l’écrasante majorité des contrats assurantiel proposés en France ne couvrent pas les risques liés aux virus et autres microorganismes – parmi lesquels le COVID-19 -, ces derniers faisant partie des clauses d’exclusion contractuelles. En d’autres termes, les assurés n’ont jamais cotisé pour ce « risque », les empêchant, de fait, de réclamer sa couverture. Ceci étant dit, la situation étant pour le moins exceptionnelle, celle-ci appelle à une solidarité exceptionnelle.

    Oui, mais jusqu’à quel point ? Car si les assureurs n’ont jamais récolté de cotisations en prévision du risque pandémique, il n’existe aucune réserve devant permettre sa prise en charge. Dès lors, si la justice vient à obliger les assureurs à prendre en charge les pertes d’exploitation liées au COVID-19 des restaurateurs français, ils devront aller chercher l’argent là où il se trouve : dans la poche des autres assurés, c’est-à-dire des Français !

    Au bas mot, la couverture du risque pandémique se chiffre à 60 milliards d’euros, qui, rapportés au nombre d’assurés français, impliqueraient pour chacun d’entre eux une augmentation de 15€ de leur cotisation mensuelle. Le tout pour permettre aux restaurateurs français de réaliser un bénéfice similaire à celui de l’année passée !

    Solidarité à sens unique

    Cette logique mathématique est bien évidemment mise de côté par le syndicat des restaurateurs, l’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (UMIH), qui n’a de cesse de se présenter en victime de la crise et d’exiger la prise en charge des pertes d’exploitation des restaurateurs français par les assureurs.

    Plus roublards, les grands avocats parisiens mandatés par l’UMIH n’hésitent pas à tordre le cou au droit pour obtenir gain de cause. En témoigne les récents jugement rendu par les tribunaux de Commerce – qui n’ont pas peur du ridicule – en faveur des restaurateurs. Dans ces décisions, les juges non-professionnels de la justice commerciale retiennent souvent que les pertes d’exploitation des restaurateurs ne sont pas directement liées au COVID-19 !

    Comme si le confinement avait été décrété pour une autre raison que le COVID-19 !  Et l’instance de lobbying des restaurateurs d’appeler l’ensemble des restaurateurs français à avancer des arguments similaires devant les tribunaux ! Quitte donc à ce que, in fine, on vienne faire les poches des autres assurés français.

     

    Source : 24heuresactu

  • Toulouse : la 3e ligne de métro sera construite par une entreprise française

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2020

          Wikipédia.
    L’entreprise a remporté l’appel d’offre pour la construction de la troisième ligne de métro de Toulouse, sur le matériel roulant et le système automatique. 

    Alstom remporte l’appel d’offre pour la troisième ligne de métro. L’entreprise française, qui a déjà construit le TGV, aurait remporté le marché de la nouvelle ligne de métro à Toulouse, selon les révélations de La Dépêche du Midi. Elle sera chargée de de la construction du matériel roulant et du système automatique. 

    Lire aussi : Police : 200 agents supplémentaires attendus à Toulouse d’ici 2025

    Initialement prévue en juin dernier, la crise du coronavirus a mené au report de l’attribution du marché. C’est au final ce mardi 3 novembre que la commission d’appel d’offres s’est décidé, avant que le syndicat mixte Tisséo Collectives n’annonce officiellement le vainqueur, mercredi matin. 

    Quatre entreprises en lice

    Quatre candidats tentaient depuis octobre 2018 pour remporter ce marché estimé à 800 millions d’euros. Siemens, constructeur des deux premières lignes de métro à Toulouse était donné favori. Alstom, mais aussi le groupe Ansaldo-Hitachi ou encore la société espagnole CAF associée à Thales. 

    Lire aussi : A69 : vers une nouvelle ZAD près de Toulouse ?

    Si la troisième ligne de métro était prévue pour 2025, sa mise en service devrait être reportée, a annoncé en septembre dernier le maire, Jean-Luc Moudenc. Une fois en marche, elle devra emporter entre 5.000 et 15.000 passagers par heure et par direction, entre Colomiers et Labèges, en passant par la gare Matabiau et le quartier Montaudran. 

     

    Source : infos-toulouse

  • Attentat de Vienne : le terroriste, un sympathisant de Daesh

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2020

    L’Autriche finit également sous attaque terroriste : hier soir, lundi 2 novembre, une série d’attaques armées se sont déroulées dans le centre de Vienne. Selon le dernier bilan, elles ont fait 4 morts, deux hommes et deux femmes décédés des suites de leurs blessures, parmi les civils. Parallèlement, le nombre de personnes blessées lors de l’attaque est passé à 22 et sont actuellement hospitalisées.

    Le directeur médical Michael Binder a précisé que 6 d’entre eux sont en danger de mort, tandis que les conditions des autres restent stables; les conditions du policier blessé hospitalisé en soins intensifs restent critiques. Le nombre total de victimes s’élevait en fait à 5, car également le kamikaze a été tué : le criminel a été neutralisé à 20 h 09, comme l’a rapporté le chef de la police autrichienne Gerhard Puerstr, et abattu par la police près de l’église de Saint Rupert.

    « L’homme, raconte un témoin, s’est dirigé en courant vers les clients des bars avec son arme, il a tiré des dizaines, peut-être même des centaines de salves. Il faisait doux et c’était la veille du confinement, il a certainement profité de la situation pour faire un bain de sang. »

    Karl Nehammer, le ministre autrichien de l’Intérieur, a déclaré que le criminel était un sympathisant de Daesh. Il s’appellerait Kujtim Fejzulai, 20 ans, originaire de Macédoine du Nord et élevé à Vienne. En plus de la nationalité autrichienne, il avait également celle de la Macédoine du Nord. L’APA, l’agence de presse autrichienne, a révélé qu’il avait des précédents criminels pour association de terroristes. Le 25 avril 2019, il a été condamné à 22 mois de prison pour avoir tenté de se rendre en Syrie pour rejoindre l’Etat islamique. Le 5 décembre, il est alors libéré de manière anticipée : il était considéré comme un jeune adulte et tombait donc sous les privilèges du tribunal pour mineurs. Il avait donc réussi à « tromper » le programme de déradicalisation et ceux qui étaient chargés de son suivi, a déploré le ministre Karl Nehammer.

    « Il était dans les radars de l’Office fédéral pour la protection de la Constitution (un service de sécurité autrichien) parce qu’il faisait partie des quelque 90 islamistes autrichiens qui voulaient se rendre en Syrie mais qui en ont été empêchés en juillet », a déclaré le journaliste de l’hebdomadaire Folter. Peu de temps avant l’attaque, il aurait prêté allégeance au nouveau chef de Daesh, Abu Ibrahim al-Hashimi al-Quraishi, et aurait annoncé son geste sur Instagram en postant quelques photos.

    Lors de l’attaque, il était lourdement armé, mais la ceinture explosive qu’il portait était fausse. Son domicile a déjà été perquisitionné. Le maire Michael Ludwig a rapporté que les forces spéciales ont fouillé plusieurs adresses parmi les contacts du tueur : deux personnes ont été arrêtées à St. Polten, en Basse-Autriche, et n’ont pas résisté. A Linz, un homme a été capturé dans le quartier de Bulgariplatz, bloqué devant une maison, à l’issue d’une importante opération de police : l’homme arrêté était prétendument un islamiste bien connu; le lien entre lui et l’attaque terroriste reste à définir. Vienne reste « en état d’alerte maximale » : la police autrichienne pense qu’il y a d’autres terroristes impliqués dans l’attaque dans la capitale et qu’ils sont actuellement en fuite. Le journal autrichien Kronen Zeitung écrit que l’attaquant était un réfugié récemment arrivé en Autriche. « Cela ne peut être exclu. qu’il y a d’autres attaquants », a souligné Nehammer. Les Viennois ont été invités à rester chez eux pendant la phase délicate de recherche des auteurs, et les écoles ont été fermées pour aujourd’hui.

    Le ministre de l’Intérieur affirme que l’homme qui a mené l’attaque et dont nous avons des nouvelles était « une personne radicalisée », un sympathisant de la milice extrémiste de l’Etat islamique (Isis) : « Nous avons subi une attaque d’un terroriste islamique. Il était armé d’une ceinture explosive, et avait avec lui un sac contenant des munitions. Il a été tué par la police. » Il était équipé d’une ceinture explosive, d’une arme automatique, d’un pistolet et d’une machette. Les unités d’intervention d’urgence sont entrées en action très rapidement et la phase chaotique qui a suivi les attaques « n’a duré que très peu ».

    Le chancelier autrichien Sebastian Kurz a parlé d’un « acte terroriste hideux » qui a été préparé « de manière très professionnelle ».  

    A nouveau, le terroriste est issu de la communauté musulmane et immigrée. Cette communauté que les politiciens bien-pensants immigrophiles et immigrationnistes ont laissé s’installer massivement en Europe et que des Macron et Charlie Hebdo, tout aussi bien-pensants immigrationnistes et immigrophiles mais insultants pareillement, voudraient soumettre à la non-civilisation nihiliste occidentale arc-en-ciel sans Dieu ni foi ni loi naturelle. D’où la volonté morbide des blasphèmes à tout-va chez Macron and Co… Déclaration de guerre s’il en est pour les mahométans. Et la guerre est donc là, en Europe, doublement par la faute de ces politiciens et journalistes inconscients et inconstants.  

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • La controverse fait rage... Quel texte fallait-il lire lors de l'hommage "national" à Samuel Paty et dans les classes, à la rentrée du lundi 2 novembre ?

    Publié par Guy Jovelin le 04 novembre 2020

     

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    La lettre de Jean Jaurès aux instituteurs (janvier 1888) ? La lettre de Jules Ferry (novembre 1883) ? Beaux textes en l’occurrence mais qui contredisent complètement les excentricités pédagogiques soixantehuitardes mises en œuvre par le ministère de l’Éducation nationale et ses agents syndiqués. Et ce, depuis maintenant plus de 50 ans ! Chez nos têtes de moins en moins blondes, les dégâts sont là pour le prouver !

    Comme choix de texte, nous aurions plutôt proposé le texte de la conférence prononcée à la Sorbonne, le 11 mars 1882, par Ernest Renan, sur le thème si important et si actuel : Qu'est-ce qu'une nation ?

    En particulier, sa conclusion qui commence ainsi :

    « Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n'en font qu'une, constituent cette âme, ce principe spirituel. L'une est dans le passé, l'autre dans le présent. L'une est la possession en commun d'un riche legs de souvenirs ; l'autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l'héritage qu'on a reçu indivis. »

    Mais là, horresco referens, notre compatriote breton Ernest Renan aurait été traité de "fâchiste" !

    En ces temps lointains de la fin du XIXe Siècle, les penseurs pensaient droit...

    Depuis, on le voit, la décadence a fait son œuvre...

     

    Source : synthesenationale

  • Un cheikh palestinien de la mosquée Al-Aqsa : “La décapitation du professeur français Samuel Paty est un grand honneur pour tous les musulmans”

    Publié par Guy Jovelin le 03 novembre 2020