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Un témoin raconte : « Je l’ai vu repartir à pied. Il descendait vers le parking. Je lui ai demandé de l’aide car j’avais un souci avec mon scooter qui ne démarrait plus. Il était calme. Mais quand j’ai vu qu’il était armé, j’ai pris peur. Il est monté dans une Golf. »
Un individu muni d’une arme blanche a blessé une policière municipale sur son lieu de travail.
L’homme a pris la fuite a priori à pieds. Son véhicule a en effet été retrouvé accidenté dans les rues de la ville. Il est activement recherché depuis par les forces de l’ordre. Deux hélicoptères de la gendarmerie, trois équipes cynophile, un escadron de gendarmerie mobile ainsi que le GIGN sont sur place.
“La personne recherchée est dangereuse et armée. Tous les établissements scolaires sont fermés, les enfants sont mis en sécurité par précaution. Nous demandons aux habitants de rester chez eux”, indique la mairie de La Chapelle-sur-Erdre contactée par LCI.
Une enquête a été ouverte et confiée à la section de recherche de Nantes
Cellule de crise à La Chapelle-sur-Erdre, commune située à 3 kilomètres au nord de Nantes. Ce vendredi 28 mai, vers 10 heures, un homme a porté un coup de couteau à une policière municipale dans les locaux de la police municipale de La Chapelle-sur-Erdre.
Pour l’heure, aucun élément n’a filtré sur les motifs de cette attaque.
L’agent municipale a été gravement blessée à la cuisse et a été transportée aux urgences du CHU de Nantes. Son pronostic vital serait engagé, selon plusieurs sources.
L’information pourra difficilement être qualifiée de “complotiste” puisqu’elle fait l’objet d’une dépêche de l’Agence France Presse (AFP) relayée par le journal Le Monde autoproclamé boussole de la Vérité sur le Covid et tout ce qui l’entoure.
Des ingénieurs du Massachusetts Institute of technology (MIT) ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’œil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée.
La Fondation Gates, qui finance le projet, a aussi lancé des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.
L’idée est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin (….)
Le système, décrit mercredi dans la revue Science Translational Medicine, n’a pour l’instant été testé que sur des rats mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates (partenaire du Monde Afrique), espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années, dit à l’AFP la coautrice Ana Jaklenec, ingénieure biomédicale de MIT.
(…) La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées des boîtes quantiques (« quantum dots » en anglais), de 3,7 nanomètres (nm) de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (μm, 1 μm égale un millionième de mètre, et 1 nm égale un milliardième). Le tout est injecté par un patch de microaiguilles de 1,5 mm de longueur.
Après avoir été appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points, répartis par exemple en forme de cercle ou bien d’une croix. Ces petits points sont excités par une partie du spectre lumineux invisible pour nous, proche de l’infrarouge.
Un smartphone modifié, pointé sur la peau, permet de faire apparaître, fluorescent sur l’écran, le cercle ou la croix. Les chercheurs voudraient qu’on puisse injecter le vaccin contre la rougeole en même temps que ces petits points. Un médecin pourrait des années plus tard pointer un smartphone pour vérifier si la personne a été vaccinée.
(…) En outre, les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau pour chaque vaccin? Et qu’adviendra-t-il des points quand le corps des enfants grandira ?
La Fondation Gates poursuit le projet et finance des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination.
Tout commentaire serait superflu. L’AFP et le journal Le Monde viennent simplement de confirmer ce que les médias alternatifs, traités de complotistes, annonçaient depuis au moins un an.
Drapé dans les incohérences, les omissions et les mensonges du « rapport Duclert », le président Macron vient :
1) Contre l’état des connaissances historiques, de reconnaître « la responsabilité » de la France dans le génocide du Rwanda. Un génocide effectué avec des machettes….arme jusque-là considérée comme peu en usage en France…
2) De cautionner l’histoire du génocide écrite par le régime du général Kagamé. Une histoire-propagande qui tient en trois points :
1) Le génocide était prémédité. 2) La France a soutenu les génocidaires groupés autour du président Habyarimana. 3) Le président Habyarimana a été assassiné par ces mêmes génocidaires.
Or, ces trois points ayant été définitivement balayés par les travaux du TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda-ONU) consciencieusement ignorés par le « Rapport Duclert », en plus d’humilier la France, Emmanuel Macron laissera dans l’histoire l’image d’un Lyssenko de l’histoire. Il ne pourra en effet pas dire qu’il ne savait pas puisque la réfutation détaillée de cette propagande historique a été faite dans mon livre « Rwanda un génocide en questions » publié au Rocher et réédité en 2021 et que je lui ai fait directement parvenir à l’Elysée. Ce livre peut être commandé à l’Afrique Réelle.
Chrétiens, musulmans et juifs ont posé jeudi à Berlin la première pierre d’un lieu de culte commun, un projet présenté comme unique au monde.
Bâti sur une ancienne église détruite du temps de la RDA communiste, le bâtiment a été conçu par le cabinet berlinois Kuehn-Malvezzi.
La mosquée, la synagogue et l’église protestante seront reliées entre elles par un grand hall commun où des événements et fêtes pourront également être célébrés ensemble. L’imam, le pasteur et le rabbin de la «House of one» ont prononcé de courtes prières avant que des objets symboliques des trois religions du Livre ne soient coulés dans le béton.
Lockheed Martin, né en 1995, par la fusion de 2 groupes aéronautiques : Lockheed et Martin, est le leader mondial dans les domaines de la défense et de la sécurité. En 2010, sur les 45,8 milliards de dollars de son chiffre d’affaires, 17,3 milliards proviennent de contrats signés avec l’administration américaine (10,9 milliards dans la défense, 6,6 milliards dans le civil). Lockheed Martin reste entre autres connue pour ses avions de combat, le F-16, le F-22 et le F-35. Ils représentent environ 20 % du chiffre d’affaires en 2008.
Lockeed Martin a récemment envoyé nombre de ses cadres dirigeants et stratégiques dans un camp de “rééducation pour hommes blancs” de trois jours afin de déconstruire leur “culture d’hommes blancs” et d’expier leur “privilège d’hommes blancs”.
Le programme a été dirigé par le cabinet de conseil White Men As Full Diversity Partners, dont le leitmotiv consiste à permettre aux hommes blancs de se “réveiller ensemble” (Awaken Together).
Parmi les participants figuraient un ancien général trois étoiles et le vice-président de la production pour le programme de chasseurs F-35 (d’un budget de 1,7 milliards de dollars).
En entame de stage, les “formateurs en diversité” ont mené un exercice “d’association libre”, demandant aux employés de Lockheed d’énumérer les connotations du terme “hommes blancs”.
Parmi les termes cités par les participants : vieux, racistes, privilégiés, anti-femmes, en colère, nation aryenne, KKK, pères fondateurs, fusils, coupables, ne sachant pas sauter.
Les formateurs ont ensuite demandé aux participants “en quoi se sentaient-ils différents en tant qu’hommes blancs ?”.
Ont notamment été énumérées les réponses suivantes : “Je communique plus efficacement avec mes collègues”, “Je comprends mieux la vie de mes collègues”, “[je vais] améliorer la marque, l’image, la réputation des hommes blancs”, “J’aurai un sentiment de culpabilité moins tenace qu’un(e) autre si je suis le problème.”
Une fois ces réponses obtenues, le cabinet de conseil commence à expliquer aux participants le mode de pensée traditionnel des hommes blancs, notamment en lien avec leurs racines culturelles.
Sont notamment cités comme stéréotypes perçus vis à vis des autres membres de leur communauté “l’individualisme robuste”, “l’attitude positive”, “le travail acharné”, “le respect de certains principes”, le fait qu’ils “aspirent au succès”, etc. Le cabinet explique que ces pensées sont “dévastatrices” vis à vis des femmes et des minorités.
Ensuite, les participants doivent réciter et intérioriser 50 “privilèges de Blancs“, comme :
“ma culture m’apprend à minimiser le talents et les perspectives d’évolution des personnes d’autres races”, “je peux commettre des actes de terrorisme, de violence ou de crime sans que cela soit attribué à ma race.”, “ma race ou mon poids n’ont pas d’effet sur l’odeur que je dégage”, “je gagne de façon significative davantage d’argent dans la vie qu’une personne d’une autre race”, etc…
Puis de réciter et intérioriser 59 “privilèges masculins“, comme :
“Mes organes reproducteurs ne sont pas considérés comme la propriété d’autres hommes, du gouvernement et / ou même d’étrangers en raison de mon sexe”, “Mon salaire est de 15 à 33% supérieur à celui d’une femme”, “je ne suis pas jugé sur la propreté de mon domicile” ou “Si je choisis d’être célibataire, ma masculinité ne va pas être remise en question”…
Puis de réciter et intérioriser 50 “privilèges hétérosexuels“, comme :
“On ne me demande pas pourquoi je suis hétéro”, “je peux voir des films avec des relations entre personnes ayant le même type de relations que moi” ou “Je peux avoir des amitiés avec des enfants ou travailler avec eux sans être suspecté de quoi que ce soit”…
Enfin, les participants doivent lire une série de plaintes (fictives) récitées par des minorités telles :
“Je suis fatigué d’être noir”, “Je suis fatigué que des garçons / filles noirs soient assassinés” ou “Je suis fatigué de ne pas avoir de femme comme supérieure hiérarchique”
Cet article, issu d’une série de tweets, dont l’auteur est Christopher F. Rufo, est reprise dans un article du très sérieux City Journal