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  • Pour l’Unicef la pornographie n’est pas un mal pour les enfants

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2021

    L’Unicef, le Fonds des Nations unies pour l’enfance, vient de publier un rapport, vite retiré de son site à cause du grand nombre de protestation et remanié, visant à dédouaner la pornographie.

    Cette agence des Nations Unies soutient l’idée que la pornographie n’est pas toujours préjudiciable aux enfants et aux adolescents. Ces derniers, toujours selon l’organisme international, ne devraient pas se voir refuser une « éducation sexuelle vitale », qui comprenne également l’avortement et les questions LGBT.

    Le rapport, intitulé Les outils numériques de vérification de l’âge et les droits des enfants en ligne à travers le monde, traite des outils de vérification de l’âge en ligne et des droits des enfants dans cinq domaines (jeux d’argent, pornographie, jeux en ligne, médias sociaux, matériel pédopornographique). S’agissant de la pornographie, il passe en revue les propositions législatives de certains pays et cite des recherches qui présentent, au-delà des données collectées, des jugements différents sur la question, soit totalement négatifs, soit substantiellement laxistes.

    A la question « Quelle est la preuve du risque et du préjudice ? », l’Unicef ​​préfère rappeler l’existence de « différents types de risques et de préjudices liés à l’exposition des enfants à la pornographie » en ajoutant immédiatement après que « il n’y a pas de consensus sur le degré auquel la pornographie est préjudiciable aux enfants ». Cette dernière partie sur l’étendue des dommages, et relative au « consentement » manquant, a été supprimée de la nouvelle version du document. Et, de même, de la réponse à la question suivante, « Les preuves justifient-elles des limites d’âge ? », l’agence des Nations Unies a éliminé la partie dans laquelle il était déclaré que « les preuves sont contradictoires, et il n’y a actuellement aucun accord universel sur le la nature et l’étendue du préjudice causé aux enfants par la visualisation de contenus classés comme pornographiques ».

    Pour le reste, s’il y a quelques mots qui ont changé par rapport à la première version, rien ne change la perspective scandaleuse de l’Unicef, qui prend soin de ne pas exprimer un jugement propre et clair contre la pornographie.

    Par exemple, l’agence onusienne estime qu’il y a des contenus qui peuvent être classés comme pornographie « dans certains contextes » et cela, en présence de restrictions liées à l’âge, « pourrait nier l’accès des enfants à des matériels essentiels d’éducation sexuelle » (p. 35). Il faut rappeler, comme le souligne un article italien, « que l’idée d’‘éducation sexuelle’ partagée par diverses agences des Nations Unies – de l’Unesco à l’ OMS avec ses tristement célèbres directives pour l’Europe – est en fait pornographique et tout sauf ‘’vitale‘’. Sans surprise, le rapport de l’Unicef exhorte plus loin à ce que les enfants à ne pas soient pas exclus des informations en ligne sur la ‘’santé sexuelle et reproductive‘’ (une expression incluant l’avortement), ‘’ y compris les ressources pour l’éducation LGBTQ‘’ (p. 39). »

    Maniant un relativisme pratique, l’Unicef ​​rappelle brièvement d’un côté l’existence de recherches qui soulignent « les conséquences négatives » de l’utilisation de la pornographie, telles que « la mauvaise santé mentale, le sexisme et l’objectification, l’agression sexuelle ». Et puis, d’un autre côté, il cite l’étude de la London School of Economics, EU Kids online 2020, basée sur des enquêtes menées dans 19 pays européens, dans laquelle il apparaît que « la plupart des enfants qui ont vu des images sexuelles en ligne n’ont pas été choqués ni heureux (de 27% en Suisse à 72% en Lituanie) ; entre 10% et 4% étaient assez ou très bouleversés ; et entre 3% des enfants (en Estonie) et 39% (en Espagne) ont déclaré se sentir heureux après avoir vu de telles images ».

    « Aucun jugement n’est exprimé, souligne l’article critique italien, sur le fait que se percevoir indifférent voire « heureux » pour des visions pornographiques est encore une perception éphémère et trompeuse – comme il en existe tant dans le monde (pensez aux drogues et à diverses autres addictions désordonnées) – qui se heurte aux données objectives selon lesquelles la pornographie est contraire au bien de la personne, crée une dépendance et des dommages psycho-physiques évidents à moyen et long terme. »

    Se référant aux limites de la pornographie commerciale fixées à 18 ans dans divers pays, l’Unicef suggère un système de classification par âge plus « nuancé »,se basant aussi sur les « différences dans le niveau individuel de maturité des enfants » (p. 38). Un autre passage de la partie introductive aux cinq domaines susmentionnés est également préoccupant : « Les enfants ont le droit d’être protégés en ligne contre l’exploitation et les abus sexuels et la violence, mais cela doit être équilibré avec leurs droits à la vie privée, à la liberté d’expression, à la participation, jouer et accéder aux informations » (p. 33), c’est-à-dire ces informations centrées sur la culture de mort considérées comme prioritaires par l’Unicef.

    En conclusion, la position de l’Unicef est loin d’être hostile à la pornographie. Comme les autres agences onusiennes, le Fonds des Nations unies pour l’enfance est une courroie de transmission des perversions contemporaines et un agent de la déconstruction de la personne humaine dès le petit âge.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Chronique du délitement

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2021

    Chronique du délitement

    délitement,macron

    Tandis qu’Emmanuel Macron s’amuse à l’Elysée, la vie se poursuit dans les quartiers perdus :

    • Colmar : un voyou de 17 ans fracasse les policiers municipaux à coups de casque, il est remis en liberté dans l’attente de l’examen de son dossier
    • Argenteuil : les pompiers et les policiers attaqués au mortier, 2 policiers blessés
    • Villejuif : un Tunisien en situation irrégulière se rebelle à l’entrée du commissariat et agresse un policier
    • Mandres les Roses (94) : un élu municipal (SE) d’opposition a vu un engin exploser dans son jardin
    • Ouges (21) : le maire a été agressé à coups de barre à mine

    Source : lesalonbeige

  • Covid-19 au Royaume-Uni : les données mobiles de millions d’utilisateurs analysées à leur insu

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2021

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    Mis à jour le 25 mai 2021 Auteurpar Rédaction
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    Oups, encore une fois les « complotistes » avaient raison d’être méfiants.

    « Une population entière scrutée comme des rats de laboratoire ? Le quotidien britannique Daily Telegraph a pu consulter un rapport du comité SPI-B, un groupe de chercheurs de l’université d’Oxford qui collabore avec le SAGE, le Conseil scientifique du gouvernement britannique, dans lequel il est indiqué que des millions d’utilisateurs de téléphone portable ont vu leurs déplacements suivis à leur insu en février. L’analyse aurait porté sur «10% de la population britannique». Les personnes concernées n’auraient pas été mises au courant de l’opération, rapporte le quotidien.

    Le but de ces recherches était d’analyser le comportement des personnes vaccinées par rapport aux autres grâce à leurs données de localisation. Les déplacements d’un groupe de 4 254 personnes identifiées comme ayant reçu une vaccination ont ainsi été scrutés la semaine précédant et la semaine suivant l’injection pour voir si un changement de comportement était observé en les comparant avec différents groupes tests.  Interrogé par le quotidien, un porte-parole du gouvernement a assuré que les données collectées avaient été fournies par une société chargée de les collecter et de les anonymiser conformément aux normes en vigueur sur la protection des données.  Entre les passeports Covid imminents et la surveillance téléphonique des vaccins, ce gouvernement est en train de transformer la Grande-Bretagne en un Etat Big Brother sous couvert du Covid «Les données sont au niveau de la tour de téléphonie plutôt qu’au niveau individuel», a-t-il assuré. Le projet aurait par ailleurs été approuvé par le comité d’éthique de l’université d’Oxford. Un nombre restreint de chercheurs aurait eu accès à ces données.  Mais ces agissements ont suscité l’indignation outre-Manche : «Entre les passeports Covid imminents et la surveillance téléphonique des vaccins, ce gouvernement est en train de transformer la Grande-Bretagne en un Etat Big Brother sous couvert du Covid. Cela devrait nous réveiller tous.», a notamment déclaré Silkie Carlo de l’ONG de défense de la vie privée Big Brother Watch au quotidien le Daily Telegraph. » (source francais.rt)

  • Roselyne Bachelot : «J’aime beaucoup Youssoupha, je suis allée à plusieurs de ses concerts»

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2021

    L'hymne de Youssoupha pour les Bleus «ne gêne absolument pas» Roselyne Bachelot

    La ministre de la Culture explique apprécier le travail du rappeur, mis en cause après plusieurs chansons aux paroles jugées haineuses. (…)

    Gênée aux entournures, Roselyne Bachelot a déclaré s’être «fait porter le texte de la chanson» créée pour l’Euro. «C’est un hymne aux Bleus et l’hymne de Youssoupha ne me gêne absolument pas», a-t-elle affirmé. «J’aime beaucoup Youssoupha, je suis allée à plusieurs de ses concerts», a-t-elle ajouté, prudente et bien moins enthousiaste qu’en début d’émission. La tension n’a pas échappé à Philippe Vandel, lequel a relancé plusieurs fois Roselyne Bachelot, arguant que la chanson litigieuse est bien antérieure à celle composée pour l’Euro.

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • Mantes-la-Ville (78) : écœuré par le saccage de son cabinet, un médecin de famille d’un “quartier populaire” jette l’éponge

    Publié par Guy Jovelin le 25 mai 2021

    Il exerçait depuis 45 ans au cœur du quartier populaire des Merisiers. Lundi 24 mai au soir, des inconnus ont vandalisé son cabinet. Bouleversé, Claude Fossé, 74 ans, l’un des trois derniers médecins de la cité, a décidé de mettre fin à son activité.

    Il peine à trouver les mots pour décrire sa tristesse. De son cabinet médical, il ne reste que les murs. L’intérieur a été saccagé, vandalisé avec un soin presque sadique. Claude Fossé, l’un des trois derniers médecins du quartier des Merisiers, à Mantes-la-Ville (Yvelines), est écœuré : des inconnus ont attaqué son local, implanté depuis 45 ans au cœur de cette cité populaire. « Tout ça pour rien. Il n’y a rien à voler dans mon cabinet, se désole, ému, le praticien ». […]

    Après une carrière bien remplie, le septuagénaire avait réduit son activité ces dernières années, se consacrant essentiellement à une médecine plus administrative. Il délivrait les certificats médicaux pour les conducteurs qui repassaient leur permis de conduire ou pour les professionnels du transport. Il assurait également la médecine du travail pour tous les embauchés de la fonction publique. […]

    Le Parisien via fdesouche