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  • Ne possédant pas de pass sanitaire, il présente à l’entrée d’un hôpital le code QR du Président

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Pour entrer dans un hôpital où il “avait un rendez-vous”, un jeune homme, qui n’avait pas pris le soin de se procurer un pass sanitaire, a présenté le code QR d’Emmanuel Macron et a fini en garde à vue.

    Un jeune homme a été interpellé le 5 octobre à Marseille pour avoir pénétré dans un hôpital. Mais pas n’importe comment. En effet, il a présenté à l’entrée le pass sanitaire… du Président de la République. Les agents de sécurité s’en sont rendu compte et l’ont laissé passer avant d’appeler la police, relate Actu 17.

    Le jeune homme a été placé le même jour en garde à vue qui a été levée ce samedi 9 octobre en début de soirée. Il a déclaré que c’était juste “pour rigoler”.

    “Il a expliqué qu’il avait un rendez-vous et devait participer à un groupe de travail. Étant donné qu’il n’avait pas de pass sanitaire, il a décidé de présenter celui d’Emmanuel Macron, qui avait fuité sur Internet il y a quelques semaines”, a indiqué à Actu17 une source proche de l’enquête.

    Le jeune homme a fait l’objet d’une contravention de 4e classe pour “présentation d’un document sanitaire appartenant à un tiers lors d’un contrôle d’accès à un lieu dans le cadre de la lutte contre la propagation de l’épidémie”.

    Source

  • Les injections à ARNm à nouveau remises en question…

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Il ne se passe pas une semaine sans que même les médias au collier ne se retrouvent obliger d’évoquer une remise en cause des injections à ARMm, signe que malgré la censure sans égal pratiquée par les Gafam et les injonctions des gouvernements, les effets secondaires sont par trop visibles pour les occulter totalement.

    L’agence Reuters, France 24, Ouest-France, Lci, Le Monde, et tant d’autres, n’ont pu cacher ce samedi que les pays scandinaves, Suède, Finlande, Danemark, ont suspendu l’injection expérimentale Moderna pour les hommes de moins de 30 ans, l’Islande l’a suspendue pour tous. Les autorités sanitaires de ces différents pays ont déclaré avoir observé une augmentation de l’incidence de l’inflammation dans le péricarde et le myocarde après la vaccination par Moderna.

    Cependant l’Agence européenne des médicaments (AEM) a estimé début juillet que les myocardites et les péricardites (inflammation de la membrane recouvrant le coeur-NDLR) devaient être considérés comme un effet indésirable, survenant en particulier chez les jeunes hommes après l’administration de la deuxième dose du vaccin Pfizer ou Moderna.

    Quand on sait, outre la fait qu’il provoque les mêmes effets secondaires que Moderna, que le vaccin Pfizer est fabriqué sur le même principe à ARNm, on peut donc espérer une interdiction de ce dernier également, par précaution. Et si cette interdiction ne survenait pas, on pourrait alors se demander si un conflit d’intérêt n’existe pas entre le laboratoire Pfizer et les diverses autorités sanitaires tant européenne que des différents pays occidentaux…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Ne pas donner à la république le Bon Dieu sans confession…

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Les ministres de la République, qui connaissent mieux les loges que les églises, nous surprendront toujours. Après Monsieur Castaner qui, après des études poussées en poker, se mêlait de théologie en disant que les catholiques n’avaient pas besoin d’églises puisqu’ils pouvaient prier chez eux, nous avons Monsieur Darmanin qui prétend modifier la discipline canonique des sacrements au vu de la prétendue suprématie du droit républicain …

    Cette remarque fait suite aux remous suscités par la production d’un calamiteux rapport sur la pédophilie dans l’Eglise (rapport sur lequel il y aurait beaucoup à dire ne serait-ce que parce que, si les partisans de la laïcité le désirent, d’autres milieux plus proches d’eux pourraient bénéficier d’une étude comparable). Les recommandations des auteurs comportent notamment le souhait de la remise en cause du secret de la confession. Cette prétention témoigne de la part desdits auteurs d’une manie de réglementer tous azimuts et d’une ignorance crasse des bases de la religion qui était naguère encore celle de la majorité des Français.

    À vrai dire, cette intrusion des rapporteurs dans le domaine de la théologie relève de l’incompétence ou bien du phantasme. Comme si les criminels pédophiles se pressaient à l’entrée des confessionnaux ! Et les partisans de la laïcité qui font de telles recommandations n’oublient-ils pas quelques détails ? Ainsi est-ce leur clique qui a décidé, en 1905, la séparation de l’Église et de l’État. Depuis lors, en bonne logique, ils n’ont plus rien à voir dans l’organisation interne de l’Eglise. Il fallait y penser avant ! 

    D’autre part et surtout, il s’agit de discipline des sacrements. En cette matière, l’Eglise n’est pas libre de faire n’importe quoi. Outre le fait qu’il existe une législation canonique universelle, et non particulière à tel ou tel pays, l’Eglise  est tenue par des préceptes divins. C’est d’ailleurs là le nœud de la question, qui détermine tout : comme dans les Actes des Apôtres, l’on ne peut que répondre, lorsqu’un précepte divin s’oppose à la décision de Césars quelconques, qu’ils soient tyrans, empereurs ou républiques : « NOUS NE POUVONS PAS… » (« NON POSSUMUS », Actes IV, 20) et «  IL FAUT OBEIR A DIEU PLUTOT QU’AUX HOMMES. » (Actes V,29). 

    À ces citations, qui résolvent le problème sans discussion possible, l’on peut ajouter une observation de bon sens : si le secret de la confession n’était pas absolu, les gens qui ont de graves fautes à se reprocher ne se confesseraient pas, même s’ils en avaient la velléité. Ainsi le soi-disant remède entrevu par les auteurs du rapport ferait- il l’effet d’un cautère sur une jambe de bois… Il ne faut pas confondre un sacrement, qui permet parfois à des pécheurs, qui sont aussi des délinquants, de se reprendre, avec une institution de police. Mais, au-delà de l’absurdité, il faut relever, dans une telle proposition, un désir totalitaire d’assujettir l’Eglise à un Etat de plus en plus liberticide. À quand l’enregistrement obligatoire des confessions ?

    Nous devons noter qu’un évêque a répondu ce qu’il fallait. Une fois n’est pas coutume : nous avons plaisir à féliciter en cette occasion le président de la Conférence Episcopale, Mgr de Moulin-Beaufort, qui a rappelé, sans provocation, mais avec netteté que le secret de la confession l’emporte sur les lois de la République. Aussitôt l’on a eu des cris d’orfraie, comme à la suite d’un crime de lèse-majesté. Le porte-parole du gouvernement, Monsieur Gabriel Attal, qui n’a probablement qu’une notion vague du catéchisme catholique, a solennellement déclaré : « il n’y a rien de plus fort que les lois de la République dans notre pays. » Comme si la France n’avait pas vécu plus de dix siècles de monarchie ! Et comme si sa République, qui est la cinquième, ne changeait pas constamment de lois ! Monsieur Darmanin, le Ministre de l’Intérieur a même prétendu «convoquer » l’imprudent prélat comme on le ferait pour n’importe quel sous-fifre. Ce goujat de ministre ignore sans doute qu’un évêque n’a pas de compte à rendre à la République en matière religieuse… 

    Nous espérons que l’évêque maintiendra la position chrétienne qu’il a rappelée. Il pourrait en profiter pour rappeler à ses interlocuteurs que la séparation et la laïcité sont leur œuvre, et qu’il n’est pas soumis à la discipline des agents publics. Quant à la loi de l’État, l’obéissance lui est due en principe. Cependant elle ne peut et doit être respectée que si elle est respectable (pensons que c’est ce même Etat qui a, par exemple, prétendu légaliser l’avortement, c’est-à-dire le crime contre les tous petits, et qui s’apprête à allonger les délais du crime autorisé !) 

    La meilleure solution pour éviter les conflits entre l’ordre spirituel et l’ordre temporel serait d’avoir une législation « catholico-compatible », comme aux temps concordataires. Les républicains le comprenaient plus ou moins jusqu’à la Seconde Guerre Mondiale (par exemple, malgré la séparation de 1905, l’avortement est resté condamné par la loi jusqu’en 1975). Ne dissimulons pas que l’objectif politique de tout catholique, s’il a réellement la foi, doit être de faire du Décalogue une des sources de la légalité. Cette solution reviendrait seulement à appliquer les principes du Notre Père : « que votre règne arrive, que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. » À ceux qui invitent les catholiques à rendre à César ce qui est à César, il convient de rappeler inlassablement que César n’a le pouvoir légitime que s’il est lui-même soumis à Dieu.

    François Marceron

     

    Source : medias-presse.info

  • Slovaquie : un tiers des hôpitaux et des établissements médicaux interrogés refusent de procéder à des avortements

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

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    Slovaquie : un tiers des hôpitaux et des établissements médicaux interrogés refusent de procéder à des avortements

    Selon une étude sur la disponibilité de l’avortement en Slovaquie réalisée par l’organisation féministe Possibility of Choice, un tiers des hôpitaux et des établissements médicaux interrogés refusent de procéder à des avortements, pourtant légaux dans le pays.

    Les établissements médicaux appliquent l’objection de conscience.

     

    Source : lesalonbeige

  • « Pendant 45 minutes, ils attendent avec le terroriste » : le rôle des 5 mineurs mis en examen pour « complicité d’assassinat » qui ont dénoncé Samuel Paty

    Publié par Guy Jovelin le 11 octobre 2021

     

    Le rôle des cinq mineurs mis en examen pour « complicité d’assassinat » se précise : ces collégiens, qui avaient 14 ans au moment des faits, risquent jusqu’à vingt ans de prison. L’audition de l’un d’eux, M., le 7 octobre par l’une des cinq juges d’instruction chargés de l’affaire, donne des éléments clés. M. était alors entendu pour la troisième fois depuis les faits.

     
    […]

     

    L’enquête permet d’avoir une idée plus précise de ce qu’ils ont fait, su et vu. À 14 heures, le 16 octobre 2020, le futur assassin de Samuel Paty vient à la rencontre de M. Il lui montre « 300-350 € » et lui en donne 150. Le terroriste lui dit avoir vu la vidéo « d’un père de famille » – il s’agit de Brahim C., à l’origine de la cabale en ligne contre Samuel Paty (lire ci-dessous) – et lui demande d’identifier ce professeur qui aurait « sali l’image des musulmans ». Il lui raconte avoir déjà essayé de s’introduire dans le collège en grimpant par-dessus le grillage.

    L’adolescent demande de l’aide à des camarades car il ne se « sentait pas de le faire tout seul ». Il leur dit qu’un homme veut voir Samuel Paty « pour qu’il soit filmé en train de demander pardon pour la caricature du Prophète ». Un groupe de cinq se forme. Un sixième collégien les rejoint, mais il finit par s’éloigner pour se rendre à une activité extrascolaire. L’enquête montre que deux autres élèves, mis au courant, tentent de les empêcher de désigner le professeur, de peur d’un « drame ». M. dit leur avoir répondu qu’il « allait gérer ». Il aurait aussi emprunté veste et bonnet à un camarade, « pour ne pas être reconnu des caméras », selon un collégien du groupe.

    Les jeunes restent deux heures devant le collège. Entre 16 h 05 et 16 h 10, ils sont repérés par des policiers municipaux de Conflans-Sainte-Honorine, en patrouille. Le groupe se sépare en les voyant. Pendant 45 minutes, trois collégiens attendent avec le terroriste, un peu en retrait, tandis que les deux autres patientent devant le collège. Lors d’une audition, l’un d’entre eux a confié : « Je n’aurais pas dû être là, je me reproche de l’avoir désigné. Si j’avais réfléchi j’aurais peut-être pu prévenir quelqu’un. »

    […]

     

    Qu’ont-ils su exactement des projets du terroriste ? Qu’ont-ils vu de l’assaut ? L’instruction cherche encore à le déterminer.

    La Croix via fdesouche