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  • Le Liban plongé dans le noir à cause de la pénurie de carburant

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2021

     

    Il s’agit de la deuxième panne totale signalée depuis le début du mois. Pour la première, le réseau avait été rétabli quelques jours plus tard.

    Le Liban a été plongé dans un blackout total samedi 9 octobre après l’arrêt de l’activité de deux importantes centrales électriques faute de carburant, a annoncé la compagnie nationale Électricité du Liban (EDL).

    Englué dans une crise inédite, qualifiée par la Banque mondiale d’une des pires dans l’histoire du monde depuis 1850, le pays connait depuis des mois des rationnements draconiens de courant, culminant à plus de 22h par jour, et peine à importer du carburant, sur fond d’une dégringolade historique de la monnaie nationale et d’un assèchement des devises étrangères.

    Ces coupures paralysent la vie de la population et plusieurs secteurs vitaux, tandis que les gérants de générateurs privés, qui prennent généralement le relais, rationnent aussi commerces, hôpitaux et foyers, à mesure que le carburant se raréfie.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Abolition universelle de la peine de mort ? Commençons par abolir l’avortement

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2021

    Abolition universelle de la peine de mort ? Commençons par abolir l’avortement

    Depuis la loi Veil, il y a en France une peine de mort qui ne s’abat que sur des… innocents.

    C’est le cas au Texas, où le gouvernement avait annoncé que le jugement bloquant la loi sur l’avortement serait renversé d’ici la fin de la semaine. Le procureur général du Texas avait fait appel de la décision devant la Cour fédérale du 5e circuit (La Nouvelle Orléans), laquelle a suspendu le jugement en l’attente d’un examen de la loi (le 12 octobre). Laquelle est donc de nouveau en vigueur.

     

    Source : lesalonbeige

  • Un clip vidéo très évocateur sur le plan sexuel a été tourné dans le sanctuaire de la cathédrale de Tolède en Espagne

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2021

    Un clip vidéo très évocateur sur le plan sexuel a été tourné dans le sanctuaire de la cathédrale de Tolède en Espagne

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    L’archevêché de Tolède affirme qu’il ignorait absolument qu’on allait utiliser la cathédrale pour une clip si tendancieux avec un rappeur si connu.

    C. Tangana, musicien madrilène très renommé, conjointement à Nancthy Peluso, ont tourné un clip qui, à peine publié, a déjà plus d’un million de vues sur YouTube. Une grande partie du clip a été tourné dans la cathédrale de Tolède. On y voit de nombreuses scènes à caractère sexuel et aux positions très provocatrices, ce qui a suscité une forte polémique entre les fidèles et le clergé.

    Dans son communiqué, l’archevêque Primat d’Espagne affirme

    “regretter profondément ces faits tout en signifiant sa désapprobation des images enregistrés dans le sanctuaire”.

    “Nous demandons humblement et sincèrement pardon à tous les fidèles laïcs, consacrés ou prêtres, qui se sont sentis offensés par l’usage inapproprié d’un lieu sacré”

    L’archevêque s’engage à revoir le procédé suivi, afin que ne se renouvelle pas ce type de problème. Pour cela, un protocole sera établi pour l’enregistrement d’images à diffusion publique dans tout lieu de culte de l’archidiocèse.

    L’archevêque n’est pas revenu sur la déclaration du chapitre de la cathédrale qui justifie l’intérêt de cette vidéo dans ce lieu saint. Le chapitre s’est, en effet, justifié sur l’intérêt pastoral d’un clip qui s’appelle “athée” où les protagonistes disent “croire” depuis qu’ils se sont rencontrés et que leur relation amoureuse a pris corps en ces lieux…

     

    Source : lesalonbeige

  • Oser parler du racisme antiblanc

    Publié par Guy Jovelin le 10 octobre 2021

    synthesenationale

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    Mathieu Bock-Côté

    C’est une agression banale, mais il vaut la peine de la raconter. D’après les informations dont nous disposons, le 1er octobre dernier, à Lyon, une jeune femme rentrait chez elle, après une soirée, avec son copain, et un couple d’amis. C’est alors qu’un «jeune», comme disent ceux qui parlent l’orwellien, s’est mis à la harceler, avant de l’insulteren la traitant de «sale pute», car elle n’acceptait pas ses avances. L’intéressé ne s’est toutefois pas arrêté là et a rameuté courageusement ses amis tout en hurlant « nique sa mère à ce fils de pute de blanc », en parlant du compagnon de la jeune femme, qui s’était interposé. Les «jeunes» le rouèrent de coups alors que la police se fit attendre une bonne demi-heure avant d’intervenir, pour ensuite expliquer qu’elle ne pouvait pas faire grand-chose, car de tels événements se reproduisaient désormais très souvent.

    Les termes utilisés par l’agresseur ont la vertu de la clarté. Ces événements sont de plus en plus nombreux, mais ils sont toujours traités comme des faits divers, comme s’ils ne correspondaient pas à ce qu’il faut bien appeler une forme de persécution ethnique décomplexée de la part de voyous voyant le monde racialement et qui se prennent pour des conquérants en droit de faire la loi dans les quartiers qu’ils jugent leurs. Car comment nommer autrement une agression où la victime est désignée justement par sa couleur de peau ? Ces persécutions sont d’ailleurs célébrées dans le rap, où ne manquent pas les appels à niquer la France, à la violer, à la dominer, à l’humilier, certains confessant même leur désir de pendre des Blancs, comme Nick Conrad, il y a quelques années, qui présenta ensuite sa chanson comme un geste de résistance désespéré contre une France néocoloniale et discriminatoire. On notera aussi que ceux qui agressent les Blancs en tant que Blancs les agressent aussi en tant que Français.

    De ce point de vue, pour peu qu’on lise politiquement les événements, et qu’on ne se laisse pas convaincre d’en faire de simples faits divers, ils s’éclairent. C’est une souveraineté nouvelle  qui se déploie à travers ces agressions, qui de manière archaïque, cherche d’abord à s’exercer sur le corps des femmes, qu’il faut soumettre et humilier. Le souvenir des agressions de Cologne, il y a quelques années à peine, nous revient à l’esprit. Il n’est pas étonnant qu’un nombre croissant de femmes intériorise une boussole mentale de l’insécurité.

    À l’échelle de l’histoire, rien de tout cela n’est vraiment étonnant : quand la composition démographique d’une société change aussi brutalement, que la conscience nationale s’effrite, et que la machine à assimiler est grippée au point de se retourner contre elle-même, il est inévitable que les réflexes tribaux les plus agressifs se réactivent et cela plus encore si le discours dominant présente le peuple du pays d’accueil comme illégitime en son propre pays. Une guerre de territoires qui ne dit pas son nom se joue quartier par quartier : elle dessine au quotidien ce que les historiens demain appelleront probablement un choc de civilisation.

    Car la simple référence au racisme antiblanc continue de faire scandale chez ceux qui prétendent représenter la raison sociologique. Même si on trouve au cœur de l’espace public un dispositif sociologique déréalisant qui empêche de décrypter le sens des événements, et qui condamne à la peine de mort sociale et à la repentance la plus humiliante celui qui osera nommer la réalité telle quelle. Autrement dit, qui ose nommer le racisme antiblanc risque la déchéance symbolique de ses droits civiques. Il sera marqué à l’extrême droite, et traité comme un pestiféré, un diviseur de Français, un ennemi de la République. Et puisque la peur de se faire coller une telle étiquette est encore bien vivante, la plupart des politiques se taisent, usent de périphrases, et en viennent même à dire à l’inverse de ce qu’ils pensent.

    La lyssenkisation de la sociologie est un fait majeur de notre temps. La sociologie a paradoxalement pour fonction, aujourd’hui, de jeter un voile théorique sur le réel, de falsifier le sens des mots, de rendre invisibles des réalités qui pourtant frappent le regard de tous. Le choc des civilisations qui se déroule en France n’est nommé que pour expliquer qu’il n’existe pas. On fabrique une nouvelle définition du racisme expliquant que ce dernier est un système invisible encodé dans la matrice des sociétés occidentales persécutant les minorités pour les condamner à une position structurellement défavorable dans l’ordre social. Le Blanc serait nécessairement raciste, et le raciste serait nécessairement blanc. Inversement, le minoritaire ne pourrait pas être raciste, et même lorsqu’il utilise des insultes raciales, c’est à la manière d’un réflexe d’autodéfense dont on se désolera mais qu’on s’interdira de qualifier de raciste.

    Source : Le Figaro 9/10/2021

  • Grenoble. La drogue était emballée dans des sachets à l’effigie du ministre de la justice Eric Dupond-Moretti

    Publié par Guy Jovelin le 09 octobre 2021

    Les policiers ont retrouvé une savonnette de résine de cannabis, 86 barrettes de résine, 10 sachets d’herbe de cannabis et sept pipettes de cocaïne. Le tout conditionné pour la vente. Fait insolite, une caricature de l’actuel ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, est représentée sur les sachets de conditionnement.