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  • Squat : l’impuissance des propriétaires d’Île-de-France face aux Roms.

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Le Parisien  du 7 octobre consacrait un long article à la scandaleuse situation que vivent des petits patrons franciliens dont les usines et les bureaux sont squattés, puis dégradés et vidés par des familles entières de Roms.

    île de france,roms,squatFin 2020, les bureaux d’une  d’Évry-Courcouronnes, laissés vacants, ont été envahis par 250 Roms. Il a fallu huit mois pour les expulser d’un local qu’ils avaient transformé en décharge. Le propriétaire a perdu un demi-million d’euros.

    Cette situation n’est pas isolée. Les squats de résidences secondaires ont alimenté l’un des feuilletons de l’été. On sait aussi qu’au bout de 48 heures d’occupation illégale, le squatteur n’est plus expulsable. La loi française est souvent du côté du coupable. De la même façon, le propriétaire d’une usine ou d’une entreprise momentanément inoccupée est obligé d’engager une procédure judiciaire dès qu’un matelas est posé par terre. L’enquête du Parisien montre que les occupations illégales mettent les patrons sur la paille et les laissent, intellectuellement, profondément démunis.

    Vulnérabilité supposée des squatteurs, insolvabilité de familles qui, en plus, n’ont (et pour cause !) pas d’adresse et impossibilité légale, pour les patrons, de faire en sorte que leur lieu de travail soit protégé comme un domicile (et ce, même si ladite protection est dérisoire) : le sort s’acharne décidément sur des chefs d’entreprise franciliens déjà très durement éprouvés par la  dite sanitaire.

    Alors, combien d’occupations illégales faudra-t-il avant celle de trop ? Combien de ces iniquités manifestes se multiplieront encore, d’ici à ce que, peut-être, en mai de l’année prochaine, les choses changent ? « La colère, faut jamais la chercher… », chantait Jean-Pax Méfret à l’adresse des hommes politiques des années 1980. De telles situations, absurdes et révoltantes, sont de nature à faire monter encore davantage la contestation.

     

    Arnaud Florac

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Bien-être animal : les agriculteurs face à l’ultra-violence des antispécistes.

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Il y a quelque jours, Emmanuel Macron courtisait les chasseurs. Ce lundi 4 octobre, il visite un refuge de la SPA pour défendre la cause animale et flatter les militants du Parti animaliste. Le Président du « en même temps » devrait donc logiquement encenser les éleveurs lors du Sommet de l’élevage qui se tiendra, du 5 au 8 octobre, à Clermont-Ferrand. 

    Car eux non plus ne sont pas en reste concernant les maltraitances… Aspersions de sang, incendies d’abattoir ou de ferme, saccages de boucheries et de poissonnerie, vitrines caillassées, graffitis… La violence des antispécistes est sans limite au nom du bien-être animal. En 2018, une militante végane se réjouissait, sur Facebook, de l’assassinat d’un boucher lors de l’attentat de Trèbes. Le 4 mai 2019, une vingtaine de militants s’en prennent brutalement à Steevens Kissouna, boucher bio vendant sur le marché des viandes pourtant issues de l’élevage raisonné. Il s’en sort avec une côte cassée et la  de retourner travailler. « Depuis, on n’est plus du tout sereins, raconte le commerçant. Dès que des gens arrivent en groupe, on se crispe. L’agression n’a duré que dix minutes, mais elle était tellement violente que j’en ai gardé des séquelles psychologiques. À Lille, je connais des bouchers qui ont engagé des vigiles pour leur sécurité », témoignait-il dans Le Parisien.

    La sémantique employée est aussi agressive que leurs actions. À Paris, des antispécistes du mouvement Boucherie Abolition exhibant un cochonnet mort dénoncent ces commerces qui « vendent du meurtre », ajoutant : « Démembrer un corps, ça n’est pas un métier. » Solveig Halloin, cofondatrice du collectif, compare les abattoirs à des « camps de la mort » et l’élevage à un « zoolocauste ». En Bretagne, des inscriptions n’hésitent pas à donner dans l’amalgame noir : les mots « Élevage = Nazisme. Auschwitz n’a jamais fermé » recouvrent des bâtiments d’élevage. “Cette idéologie est brutale, ce mouvement  ne fait aucune différence entre une vache et un homme”, écrit le journaliste Frédéric Denhez, auteur de l’essai La Cause végane, un nouvel intégrisme ?Il a reçu des menaces de mort. “Dans un débat, j’ai ainsi entendu une militante parler de cochons gazés, poursuit-il. Certes, certains élevages peuvent s’avérer concentrationnaires, mais il me paraît dangereux de parler de génocide et d’holocauste pour la condition animale. C’est du terrorisme intellectuel ».

    « Il n’y a pas de frontière entre l’humain et l’animal et la prise en compte des intérêts des humains doit être identique à celle des animaux, nous expliquait Paul Sugy. journaliste au Figaro et auteur du livre Le Projet fou des antispécistes. On voit bien que c’est une  du combat pour la libération animale». Les plus radicaux vont même jusqu’à préférer défendre l’animal plutôt que l’humain, tel Paul Watson, de l’association Sea Sheperd, qui prétend qu’on peut choisir de protéger un requin plutôt que son pêcheur…

    Un combat de citadins ?

    À la veille du Sommet de l’élevage, Cédric Viallemonteil, éleveur de vaches dans le Cantal, est très actif sur les réseaux sociaux pour lutter contre la  de ceux qui « se permettent de raconter n’importe quoi et dès qu’on leur répond ils nous bloquent ». Citant notamment Nagui, Julien Courbet et Hugo Clément, il fustige cette « petite caste de journalistes citadins qui ne mettent pas un pied à la campagne, qui nous tirent dans le dos à boulet rouge et qui ne connaissent vraiment pas ce qu’on fait, d’autant plus que ce sont souvent des gens de l’audiovisuel public, payés par nos impôts ». Il manifeste une défiance complète à l’égard « des politiques qui viennent et qui font des grandes promesses et de beaux discours, qui nous caressent dans le dos et on ne voit jamais rien changer » et n’attend absolument rien de ce salon européen. L’éleveur est aussi très remonté contre les défenseurs du loup : « Quand je vois ces types qui soutiennent le loup, le cul dans leur fauteuil dans un appartement à Paris, ça m’agace, car ceux qui nous imposent le loup ne sont pas ceux qui vivent avec. C’est l’enfer pour les éleveurs qui subissent des attaques, ça devient invivable ! »

    De la violence à l’influence

    Alors, inlassablement, pour répondre à « tous les mensonges », Cédric, comme de nombreux éleveurs, passe ses journées entre les bêtes et Twitter. De leur côté, les Vegans tentent sans relâche de faire changer les mentalités.


    Ainsi, moins de jets de sang mais des Journées éthique animale et alimentation végétale sont organisées, le 16 octobre, par l’association L214. Chercheurs, associations, élus et professionnels alterneront pour discuter de l’éthique animale et de la végétalisation de l’alimentation, et tenter d’influencer ainsi l’opinion. L’association L214 vous accompagne dans cette « transition en douceur et en saveurs » en conseillant astuces, recettes et carnet d’adresses. L’abonnement à Mon Journal animal est proposé dans certaines classes et des ressources sont proposées aux « enseignant.es » pour initier l’éthique animale… à l’école ! Des animations gratuites sont également dispensées dans les écoles hôtelières pour sensibiliser les futurs chefs à la cuisine végétale. Si les méthodes évoluent, le message reste le même.

    Et les conséquences de ce conditionnement médiatique s’avèrent parfois irréversibles. En témoigne l’avertissement du professeur Patrick Tounian, chef du service de nutrition pédiatrique à l’hôpital Trousseau : « On voit de plus en plus de situations dramatiques dans nos services. Comme ce bébé végétalien de 13 mois qui, au moment de se mettre à quatre pattes, s’est fracturé les deux avant-bras et les deux jambes, par manque de calcium. Un enfant est mort récemment parce que ses parents ne l’ont alimenté qu’avec du jus de châtaigne. J’entends aussi de plus en plus de gosses me dire : Je ne veux pas faire de mal aux animaux, ou je ne veux pas manger ce qui a des yeux. »

     

    3.pngIris Bridier

    Journaliste

    Auteur
     
     
     
     
  • Viols en forêt de Sénart : la taille du sexe d’Aïssa Z. ne correspond pas à la description faite par les victimes (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    12/10/21

    Un urologue a rendu le résultat d’une expertise sur le sexe d’Aïssa Z., jugé en appel depuis le 28 septembre pour avoir commis des viols ou agressions sexuelles sur 34 femmes à la fin des années 1990. Plusieurs victimes avaient décrit un violeur «avec un micropénis».

    07/10/20

    Si l’accusé continue de nier en bloc, une nouvelle technique d’analyse ADN avait permis d’identifier «presque certainement» son ADN sur plusieurs de ses victimes.

    Le parquet a requis, mercredi 7 octobre devant la Cour d’assises de l’Essonne, 20 ans de réclusion contre Aïssa Z. pour une trentaine de viols ou agressions sexuelles commis dans la forêt de Sénart (Essonne) entre 1995 et 2000.

    «Lorsqu’on indique que (l’accusé, ndlr) est l’auteur des faits, on le fait à partir d’éléments purement scientifiques», a estimé l’avocat général Marc Mulet, en requérant la peine maximale. «Face à l’ADN, il y a très peu de possibilités de s’en sortir», a-t-il insisté, alors que l’accusé, père de famille de 45 ans, nie en bloc.

    (…) Le Figaro

  • Agnès B. et le Slip Français créent une collection avec des réfugiés et des migrants

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    Préserver et développer les savoir-faire. L’association solidaire, La Fabrique Nomade, qui agit pour l’insertion professionnelle des artisans d’art réfugiés et des migrants régularisés en France, en collaboration avec Le Slip Français, a lancé une collection de bandanas en voile de coton et de tabliers en toile de coton, disponible à la vente ce mercredi 13 octobre. La collection a obtenu le parrainage de la styliste Agnès B.

     

  • Le nouveau superman sera LGBT et préoccupé par la justice sociale, le dérèglement climatique, la crise des réfugiés (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021

    12/10/2021

    Dans une bande dessinée qui sortira en novembre, le nouveau Superman, le fils de Clark Kent, va tomber amoureux d’un homme et assumera son “identité” de “bisexuel”, a annoncé ce lundi 11 octobre l’éditeur DC Comics, filiale de Warner Bros, nouvelle illustration de l’adaptation de la BD américaine à l’évolution des mœurs.

    “J’ai toujours dit que chacun avait besoin de héros et avait le droit de se représenter dans ces héros”, a expliqué l’auteur de la BD, Tom Taylor, cité dans un communiqué illustré par un dessin de l’artiste John Timms, où le fils de Superman, Jon Kent, embrasse sur la bouche un jeune homme, un journaliste prénommé Jay Nakamura.

    L’annonce de DC Comics est ainsi titrée: “Jon Kent a trouvé son identité (…) Le nouveau Superman s’affiche comme bisexuel.”

    […] Dans cette nouvelle série de Superman intitulée Fils de Kal-El, Jon Kent est un super-héros aux préoccupations différentes de celles de son père: il est très impliqué contre les injustices sociales, le dérèglement climatique ou la crise des réfugiés.

     

    Huffington Post


    31/08/2021

    Après la récente nouvelle de Robin, on dit maintenant que DC Comics va rendre Superman gay.

    La nouvelle vient de l’ancien artiste de DC Comics, Ethan Van Sciver, qui a eu raison de la direction de DC Comics dans le passé. […]

    Van Sciver poursuit : “Clark Kent, je suppose, va disparaître et ils vont le remplacer par Jonathan Kent, et ensuite ils vont annoncer que Jonathan Kent est gay. Donc Superman est effectivement gay, tout le monde. Il est gay.” […]

    Cosmic Book


    […] DC Comics is currently intending him to be portrayed as a queer young man […]

    Cosmic Book