Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2021
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Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2021
Publié par Guy Jovelin le 17 novembre 2021
Sur son compte Twitter, Alexander Soros a publié quelques photos de sa rencontre d’hier avec Emmanuel Macron. Précisons que ce n’est bien évidemment pas la première fois qu’Emmanuel Macron a rendez-vous avec le fils du milliardaire cosmopolite George Soros. Comme en témoigne la photo ci-dessous.
Mais qui est réellement Alexander Soros ?
Petite présentation par Pierre-Antoine Plaquevent, directeur de Strategika
Extrait du dossier : Société ouverte vs Chine : le choc des globalismes -première partie
Alexander Soros semble être actuellement le plus impliqué – en tous cas le plus visible – des héritiers de l’empire financier et métapolitique fondé par George Soros. Alexander Soros est aujourd’hui vice-président de l’Open Society et fut l’un des Young Global Leaders de 2018 du Forum économique mondial fondé par Klaus Schwab. Il est aussi le président fondateur de Bend the Arc Jewish Action[1], l’un des principaux lobbys chargés de ramener la communauté juive américaine à gauche ; association qui fut aussi très impliquée dans le soutien au mouvement Black Lives Matter[2]. Par ailleurs, Alexander Soros siège au sein du conseil d’administration de l’un des principaux organes d’influence des réseaux Soros en Europe orientale : l’Université d’Europe centrale[3] fondée par son père George Soros. Il fait aussi partie du bureau de Global Witness, une ONG qui mêle écologie et lutte contre la corruption politique[4] (deux domaines privilégiés de l’ingérence humanitaire) et de Libraries Without Borders, une autre ONG qui a par exemple mis en place des partenariats avec l’État français autour de questions aussi vitales et urgentes que l’accès des « publics migrants aux bibliothèques ».[5]Alexander Soros est surtout l’un des administrateurs de l’International Crisis Group aux côtés de personnalités influentes de la gouvernance euro-globaliste comme Federica Mogherini, ancienne Ministre italienne des Affaires étrangères et ancienne Vice-présidente de la Commission européenne. L’International Crisis Group[6] est un influent organisme de veille géostratégique qui produit des rapports sur les zones de conflit dans le monde ; publications qui permettent de documenter et de lancer de puissantes campagnes de lobbying et d’ingérence géopolitique.
[1] https://www.bendthearc.us/
[2] 600 Jewish Organizations Say Unequivocally: Black Lives Matter https://www.jewishstudioproject.org/news/600-jewish-organizations-say-unequivocally-black-lives-matter
[3] Alexander Soros – https://www.weforum.org/people/alexander-soros
[4] https://www.globalwitness.org/en/about-us/
[5] COMMENT MIEUX ACCUEILLIR LES PUBLICS MIGRANTS DANS LES BIBLIOTHÈQUES ?
« Grâce au soutien du ministère de la Culture et de la Fondation Valentin Ribet, Bibliothèques Sans Frontières forme et accompagne les bibliothécaires volontaires pour répondre de manière efficace aux besoins de ces publics. » https://www.bibliosansfrontieres.org/2021/02/05/comment-mieux-accueillir-les-publics-migrants-dans-les-bibliotheques/
[6] « L’ICG, qui se veut indépendant, est financé à 50 % par des fondations (comme celle de Bill et Melinda Gates, l’Open Society Institute de George Soros, le United States Institute of Peace, ou la Ford Foundation) et à 40 % par des gouvernements (surtout les grands pays occidentaux, mais aussi la Turquie et Taïwan). Les 10 % restants viennent de donateurs particuliers. (…) Son conseil d’administration ressemble à un « Who’s Who ? » des relations internationales : y figurent, entre autres, Louise Arbour, l’ancien procureur général du Tribunal pénal pour l’ex-Yougoslavie ; Zbigniew Brzezinski (1928-2017), ex-conseiller de Kennedy et de Carter ; Cheryl Carolus, ex-secrétaire général de l’ANC ; Wesley Clark, ancien commandant de l’OTAN ; Ellen Johnson Sirleaf (canditate malheureuse à la présidentielle libérienne de juillet 1997), auparavant directrice du bureau Afrique du PNUD ; Christine Ockrent, journaliste et épouse de Bernard Kouchner ; Mohamed Sahnoun, conseiller spécial de Kofi Annan pour l’Afrique ; Salim Ahmed Salim, ex-secrétaire général de l’OUA ; George Soros, l’un des hommes les plus riches de la planète… Grâce à ce réseau influent, l’ICG a su faire des 317 rapports qu’il a publiés à ce jour (dont 74 sur l’Afrique) des documents de référence sur les zones de guerre. » – International Crisis Group : une organisation influente, 05 janvier 2004, Élise Colette – https://www.jeuneafrique.com/130153/archives-thematique/international-crisis-group-une-organisation-influente/
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2021
Ce vendredi, un professeur d’EPS et ses élèves ont été caillassés en plein cours, dans un collège au cœur d’une « cité sensible » des quartiers Nord de Marseille. Les enseignants ont demandé à faire valoir leur droit de retrait. La cité de Campagne-Lévêque, dans le quinzième arrondissement, est notamment connue pour abriter un important trafic de stupéfiants de la cité phocéenne.
« C’était des grosses pierres, de la taille d’un poing d’adulte, et des pignes de pin. » Vendredi dernier, Jean-Charles [le prénom a été changé] donnait un cours de handball sur le plateau sportif du collège Jules-Ferry, situé au cœur de la cité sensible de Campagne-Lévêque dans les quartiers Nord de Marseille, quand ses élèves et lui ont été la cible de jets de pierre, provenant de l’extérieur de l’établissement. « J’étais en train de faire un retour à mes élèves de ce qu’ils venaient de faire, explique-t-il à 20 Minutes. J’ai entendu soudain un bruit sur les grilles. C’était vers 14h50. Et derrière la haie de cyprès, je les ai vus. Ils étaient trois ou quatre. J’ai immédiatement appelé la direction, qui a constaté les faits. Deux adolescents, camouflés dans leur sweat-shirt de sorte qu’on ne voit pas leurs visages, ont réussi ensuite à entrer dans le collège. L’un était en gris, l’autre en noir. Et ils nous ont canardés avec ces pierres, ça a duré vingt-cinq minutes. »
Et d’ajouter : « J’ai évacué les élèves pour les mettre en sécurité, un peu plus loin, sur un autre terrain, avant de devoir les emmener à la vie scolaire. Mais l’alerte intrusion n’a pas été déclenchée… » . « L’alerte intrusion fonctionne, mais elle n’a pas été donnée… confirme-t-on du côté du rectorat. Les deux plateaux sportifs ont été fermés depuis. » […]
20 minutes via fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2021
Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2021
Voici quelques jours, la Pologne était une menace fasciste au sein de l’Union européenne.
Aujourd’hui, elle est devenue le rempart de la démocratie européenne menacée par la Biélorussie.
Mais c’est, de façon générale, toute cette crise des migrants à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie qui est traitée, non seulement par les journalistes, mais aussi par les politiciens européens, de façon totalement incohérente.
Ainsi a-t-on entendu Josep Borrell, le chef de la diplomatie européenne (car, même si cette diplomatie européenne n’existe pas, elle a bel et bien un chef !), déclarer martialement que Bruxelles allait durcir ses sanctions contre « tous ceux qui participent au trafic de migrants vers la Biélorussie, y compris les compagnies aériennes, les agences de voyages et les fonctionnaires ».
Mais ignore-t-il que le problème n’est pas spécifique à la Biélorussie ? Du trafic de migrants, il y en a aussi dans les Balkans ou en Méditerranée.
Pourtant, là, l’Union européenne et les États membres, bien loin de sanctionner quiconque, subventionnent le trafic de migrants.
Comprenne qui pourra !
à vrai dire, ce n’est pas bien difficile à comprendre : Bruxelles cherche un casus belli.
Car, derrière la Biélorussie, celle qui est visée est bien la Russie.
Or, pour une raison mystérieuse, les dirigeants européens (qui étaient pourtant volontiers philo-communistes du temps de l’Union soviétique) considèrent aujourd’hui que la Russie est un bien plus grand danger pour l’Europe que la Turquie ou la Libye.
Ce qui n’empêche pas certains desdits dirigeants européens, à commencer par l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder, d’accepter des ponts d’or de la Russie.
Tout ceci donne une pénible impression d’amateurisme et de propagande grossière.
À la limite, on serait tenté de se dire que, peu importe la réalité de ce qui se passe à la frontière entre la Biélorussie et la Pologne, si nous parvenions enfin à avoir une diplomatie rationnelle, n’agissant pas en permanence sous la pression de l’émotion et de l’opinion publique manipulée.
Mais le simple fait qu’aucun grand média ne semble voir que ce qu’il dénonce en Pologne, il l’encourage hautement en Italie, en Espagne ou en Grèce, montre que nous en sommes loin.
Car l’émotion fait vendre des journaux et élire des politiciens.
Cependat, les peuples européens agonisent d’être ainsi dirigés n’importe comment !
Source : les4verites