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  • Couvre-feu à Joinville (52) : afin de “réduire la délinquance”, la municipalité interdit aux mineurs non-accompagnés de moins de 16 ans de sortir la nuit entre 23h00 et 06h00

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    Jusqu’au lundi 15 août, un arrêté municipal empêche les mineurs non-accompagnés de sortir la nuit à Joinville (Haute-Marne). Par ce couvre-feu, la municipalité entend ainsi réduire la “délinquance” sévissant selon elle dans ses rues.

    Aux grands maux, les grands remèdes. Bertrand Ollivier, le maire (DVD) de Joinville (Haute-Marne), a fait grand bruit en prenant une mesure peu conventionnelle : un couvre-feu.

    Pour lutter contre les incivilités qui se multiplieraient la nuit dans sa cité, l’édile a interdit aux mineurs non-accompagnés de moins de 16 ans de sortir la nuit, entre 23h00 et 06h00. L’arrêté municipal court jusqu’au lundi 15 août, et ne s’applique pas si les mineurs en questions sont accompagnés d’une personne majeure (plus de 18 ans), quelle qu’elle soit.

    France 3 Champagne-Ardenne a voulu en savoir plus, mais monsieur le maire étant parti en vacances, c’est sa première adjointe, Sandrine Jean dit Pannel, qui a expliqué ce qu’il se passait. “C’est pour éviter des dégradations qui se répètent : tags, vitres de maisons brisées, petits feux… Les gens commencent à avoir un peu peur dans certaines rues, et on veut éviter que ça n’empire les prochaines semaines, pendant les vacances.”

    Prévention d’abord, puis des amendes

    Une réunion de coordination a eu lieu avec la gendarmerie le mercredi 20 juillet pour commencer à appliquer cette mesure. “On a pris cette décision pour la sécurité de toutes les personnes. Les gendarmes vont être plus présents sur le terrain.

    La crainte de la municipalité, c’est que “si on ne fait rien tout de suite, on va arriver à des choses qu’on ne pourra plus maîtriser”. Les rondes de la gendarmerie ne versent pas directement “dans la répression complète” et viseront “dans un premier temps à avertir, pour ne pas que ça se reproduise”, mais pourront, in fine“aller jusque des amendes”.

    (…) France 3 via fdesouche

  • Perpignan : Amin dépouille et agresse deux jeunes enfants à la sortie de leur école

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    fdesouche

     

    Le jeune SDF n’avait pas hésité à s’en prendre violemment à deux garçonnets pour leur voler un téléphone et une trottinette. Toujours aussi violent lors de son interpellation, il a été rapidement jugé et condamné avec fermeté.“Des faits détestables, des vols avec violences sur des gamins d’une dizaine d’années“, en une phrase, la procureure a résumé la pensée de tous. Dans la salle d’audience, l’atmosphère est électrique :dès l’arrivée du prévenu, le père des petites victimes se lève pour l’invectiver. On peut bien sûr comprendre sa colère sa colère. Le président doit pourtant lui intimer l’ordre de se calmer. Il faut assurer la sérénité des débats. Ce 9 juillet, Amin, 19 ans, a aperçu les deux enfants devant une école de Perpignan. Il les a d’abord mis en confiance pour se faire remettre le téléphone, qu’il a très vite caché dans sa poche. il a ensuite arraché la trottinette de l’autre garçonnet. Quand l’aîné (12 ans) a tenté de lui barrer la route, il l’a violemment repoussé. Les blessures constatées par la médecin légiste montrent à quel point la chute a été rude. Néanmoins, le gamin a réussi à lui faire lâcher sa sacoche, dans laquelle on va récupérer une carte bleue. Après quelques péripéties, l’auteur des vols sera retrouvé et interpellé non sans mal par la police après géolocalisation du téléphone portable dérobé.Durant sa garde à vue et son déferrement, le comportement du suspect reste tout aussi outrancier, il ne manifeste d’ailleurs par le moindre remords ou regret. “Vous avez frappé le policier qui est venu vous arrêter”, tonne le président. 
    “La manière dont il m’a parlé, ça m’a pas plus !” (…) L’Indépendant

  • Les gens du voyage partis après s’être installés illégalement à Entrelacs (73), les riverains listent les dégâts : vols, siphonnages de réservoirs, dépôts d’ordures, branchement illégal sur le réseau électrique

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    Après s’être installée illégalement, durant plusieurs semaines, à Entrelacs, la communauté des gens du voyage est partie de la commune mercredi matin. Mais riverains, et entreprises voisines, eux, dénoncent des comportements « inacceptables » : « siphonnage de réservoir de voiture, vols, dégradations matérielles, parkings couverts de déchets… » Les tensions étaient telles que les gendarmes ont dû intervenir mardi soir pour tenir à distance les deux parties.

    Une perte de marchandises estimée à 35 000 euros pour une entreprise

    Aujourd’hui, les locaux dressent le bilan… Et selon l’entreprise agroalimentaire Savoies Primeurs, l’arrêt intempestif de ses réfrigérateurs, « dû à un branchement illégal des gens du voyage sur le réseau électrique », lui aurait fait subir « une perte de marchandises de 35 000 euros ».

    Les mêmes branchements auraient également été constatés sur le réseau d’eau potable, laissé alors ouvert. « En période de sécheresse et alors que l’on demande aux usagers légaux de restreindre leur consommation, c’est choquant », ont déploré certains locaux.

    […]

     

    Le Dauphiné via fdesouche

  • Insécurité à Lyon : découragé par l’inaction de la mairie écologiste, le collectif d’habitants “La Guillotière en colère” décide de cesser son activité

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    Une association de Lyonnais a décidé de cesser son activité. Plusieurs fois, ses membres avaient dénoncé l’inaction de la municipalité concernant la sécurité et la propreté.

    N’ayant plus d’espoir d’être entendus par la municipalité, ils jettent l’éponge. À Lyon, les membres de l’association la « Guillotière en colère » ont décidé de cesser leur activité, relate Actu.fr, mercredi 13 juillet. Ce collectif d’habitants a dénoncé à plusieurs reprises l’inaction de la mairie écologiste en matière de sécurité et de propreté à la Guillotière, quartier du 7e arrondissement. Tous fustigeaient par ailleurs « l’inaction » de la mairie écologiste, avec laquelle les relations étaient inexistantes. 

    « Nous avons combattu sans relâche les mensonges et surtout le déni des autorités d’hier ou d’aujourd’hui, face à la situation gravissime d’un quartier qui ne faisait qu’empirer de semaine en semaine », a fait savoir l’association par le biais d’un communiqué diffusé le 12 juillet et consulté par nos confrères.

    (…) Dans le même communiqué évoqué par nos confrères, l’association a dit regretter un impossible dialogue avec la municipalité et la métropole, avant de fustiger des réponses inadaptées. « Ceux-ci ont préféré, par un vaste système d’enfumage d’ateliers participatifs, donner le semblant aux citoyens que la mairie s’occupe d’eux, qu’elle écoute les problématiques et apporte des solutions, ont longuement détaillé les membres. Après deux ans aux manettes, chacun ici peut se rendre compte qu’il n’en est absolument rien ! » Et de conclure, pour étayer leur point de vue sur la question : « Là où les millions et les projets sont révélés chaque semaine concernant la Presqu’île et la Part-Dieu, pour la Guillotière il n’y a absolument rien. »

    Valeurs via fdesouche

  • Le maire LR de Valence (26), Nicolas Daragon, fait voter en conseil municipal la vente d’un terrain de la ville à une école musulmane hors-contrat qui serait proche des Frères musulmans

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    Le maire LR de Valence Nicolas Daragon a fait voter, en conseil municipal, la vente d’un terrain de la ville à une école musulmane hors contrat qui serait par ailleurs proche des Frères musulmans. Quelques élus de gauche et de la LREM, défenseurs de l’école publique, sont montés au créneau.

    Le point était à l’ordre du jour du conseil municipal du 27 juin dernier. Le maire de Valence a fait voter la vente d’un terrain municipal pour 500 000 euros à une association, « Valeurs et réussites », qui gère une école hors contrat musulmane appelée IQRA. Celle-ci, ouverte en 2012, compte pour l’instant deux classes hébergées dans les murs de la mosquée de Valence. Avec ce terrain, et donc avec la bénédiction de la Mairie LR, l’établissement a pour ambition de s’agrandir pour créer aussi un collège.

    Le projet est étonnamment porté par le maire LR, qui est par ailleurs vice-président du conseil régional d’Auvergne-Rhône-Alpes depuis 2016 et… proche de Laurent Wauquiez ! Le projet a été voté par l’ensemble des élus municipaux LR ainsi que par les élus d’opposition LFI. Mais, dans l’opposition, plusieurs élus se sont alarmés de ce soutien à une telle école hors contrat, contraire à leurs yeux à l’esprit républicain. Un élu ex-LREM, Bruno Casari, a ainsi voté contre et a demandé, en vain, des explications au maire, très peu prolixe sur le sujet lors du conseil municipal. Casari déplore ce soutien à une école hors contrat : « Dans ce type d’école, les profs ne sont pas obligés de suivre les programmes de l’Éducation nationale. Ce n’est pas ma vision de la République. » Il a écrit à la préfète et à l’inspecteur d’académie pour les alerter.

    […]

     

    Charlie Hebdo via fdesouche