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  • Dreux (28). Un homme armé d’un sabre tué par une policière

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Paris est une ville de plus en plus sûre, selon les chiffres de la préfecture de police

    Un quinquagénaire armé d’un sabre a été tué par une policière samedi soir, «vraisemblablement en état de légitime défense». La jeune policière a tiré un seul coup de feu, blessant le quinquagénaire au bras avant que «le projectile se loge dans l’abdomen». L’homme est décédé quelques heures plus tard.

    La fonctionnaire intervenait avec deux collègues à la suite d’une dispute entre le quinquagénaire et une femme. Sur place, entendant les «cris paniqués» de la femme, manifestement «retenue contre sa volonté», les policiers ont «fracturé la porte». L’homme «très agité» et «armé» d’un sabre, a alors fait irruption dans le couloir de l’appartement, menaçant les policiers.

    Le Figaro via fdesouche

  • La Grèce condamnée par la CEDH pour le refoulement illégal d’un bateau de migrants, une décision “historique”

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Un arrêt de la CEDH pointe la responsabilité de la Grèce dans le naufrage d’un bateau de migrants, refoulé par les gardes-côtes. Onze personnes avaient perdu la vie. Saluée par les ONG et les associations, cette décision crée un précédent pour d’autres affaires de refoulement de migrants.

    La Grèce vient d’être reconnue responsable par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) du refoulement illégal et mortel d’une embarcation de migrants. Les faits s’étaient déroulés le 20 janvier 2014. Ce jour-là, un bateau de pêche transportant 27 migrants chavire au large de l’île grecque de Farmakonisi, près des côtes turques. Le naufrage se produit lors d’une intervention

    (…) La Croix

    Le 20 janvier 2014, un bateau de pêche transportant 27 migrants avait chaviré au large de l’île grecque de Farmakonisi, près des côtes occidentales turques : 11 personnes dont huit enfants périrent. La CEDH, qui siège à Strasbourg, a condamné jeudi la Grèce pour ce naufrage expliquant que d’après les requérants, «le navire des garde-côtes grecs aurait navigué à une très grande vitesse pour refouler les réfugiés vers les côtes turques, ce qui aurait provoqué le chavirage du bateau».

    Selon le Conseil grec des réfugiés (GCR) ce jugement est «historique» qui pourrait créer «un précédent important» pour d’autres affaires de refoulements de migrants «contraires au droit international». «À l’époque, nous avions l’impression que l’intention (des autorités grecques) était de clore rapidement l’affaire», a souligné Me Maria Papamina, une des avocates des requérants du GCR lors d’une conférence de presse conjointe lundi à Athènes avec d’autres ONG de défense des droits humains. «À la suite de cette décision de la CEDH, la justice grecque va devoir rouvrir le cas et rechercher des responsabilités pénales», a-t-elle ajouté. «Le cas de Farmakonisi crée un précédent judiciaire pour de nombreux cas de refoulements illégaux de migrants en mer Égée et à l’Evros (le fleuve qui marque la frontière terrestre greco-turque ndrl)», a renchéri Konstantinos Tsitselikis, professeur de droit à l’Université de Macédoine et représentant de la Ligue grecque des droits de l’homme.

    Selon la CEDH, les autorités grecques n’ont pas «fait tout ce que l’on pourrait raisonnablement attendre d’elles» pour protéger la vie des exilés. La cour a alloué un total de 330.000 euros aux 16 requérants en soulignant que les autorités grecques «n’ont pas mené une enquête approfondie et effective permettant de faire la lumière sur les circonstances du naufrage». Athènes avait soutenu à l’époque que «l’embarcation était remorquée vers l’île de Farmakonisi pour secourir les réfugiés et le chavirement du bateau a eu lieu en raison de la panique de ses passagers», selon la CEDH. Les autorités grecques ont toujours nié avoir recours aux refoulements illégaux de migrants, qui se sont intensifiés ces trois dernières années, selon médias et ONG. En décembre 2021, la CEDH a demandé à la Grèce de répondre à au moins 32 requêtes concernant quarante-sept demandeurs d’asile qui disent avoir été victimes de «pushback» depuis 2019.

    Le Figaro

  • Brest : Gwendal et son ami attaqués à la machette en pleine rue, ils ont des plaies de 25 et 33 cm. “Je n’ai pas d’explication. C’est ça le pire. Je vis dans l’anxiété permanente. Je ne sortirai plus jamais”

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Deux hommes ont été victimes d’une violente agression à la machette, le 14 juillet 2022, au petit matin, à Brest. Gwendal*, l’une des victimes, raconte ce déchaînement de violence incompréhensible.

    Il faut aider le solide gaillard à ôter sa chemise. Dans son dos, deux immenses pansements cachent les plaies de 25 et 33 cm qu’a laissées l’agression dont il a été victime le 14 juillet dernier, au petit matin, dans le quartier du Guelmeur. « On m’a posé 74 agrafes. Plus de 50 pour mon collègue, qui a également subi une greffe de peau ».

    (…) C’est là que la soirée bascule dans l’irrationnel. Et l’horreur. Peu avant 7 h du matin, alors que les deux copains attendent leur taxi, la voiture de la jeune femme est de retour. Mais, cette fois, « un mec sort avec deux machettes. Des lames de 40 cm, selon ce que nous a dit le chirurgien. Et il nous attaque ».

    (…) « On nous a dit à l’hôpital que si on avait été un peu plus gringalets, des organes vitaux auraient été touchés ».

    Je n’ai pas d’explication. Et c’est ça le pire. Depuis, je ne dors plus, je vis dans l’anxiété permanente. J’ai peur qu’il revienne finir le travail.

    (…) Des amis du duo ont également commencé à mener leurs propres investigations. « Le voisin qui a donné l’alerte leur a raconté qu’il avait entendu la fille dire à son pote “Vas-y, achève-les, finis-les”. On aurait pu y rester », souffle Gwendal.

    (…) Il jure de « ne plus jamais sortir à Brest à l’avenir ».

    (…) Le Télégramme via fdesouche

  • Toulouse : il grimpe jusqu’au premier étage, passe par une fenêtre entrouverte et viole une femme à trois reprises

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Un homme de 22 ans sera jugé en octobre devant la cour criminelle départementale pour trois viols commis sur une habitante du quartier Papus à Toulouse. Après l’avoir observée plusieurs jours, le suspect a grimpé jusqu’au premier étage pour se faufiler dans la chambre de la victime. 

    Qui n’a jamais ouvert une fenêtre pour lutter contre la canicule ? Ce qui est arrivé à cette mère de famille peut toucher tout le monde. Et ça fait froid dans le dos. Un homme s’est introduit chez elle en pleine nuit. Il s’est faufilé par une petite fenêtre laissée ouverte à un étage et a violé la propriétaire des lieux à trois reprises avant de prendre la fuite. Ce jeune né en 2000 est mis en examen. Son jugement devant la cour criminelle départementale est prévu en octobre. 

    Tout se déroule la nuit du 3 juillet 2020. Pour résister à la chaleur ambiante et dormir paisiblement, une habitante du quartier Papus laisse la fenêtre de sa chambre, située à l’étage, entrouverte. Peu de chance qu’un cambrioleur escalade jusque-là. Mais par précaution, elle baisse tout de même le rideau métallique jusqu’à 20 cm au-dessus du sol. Au petit matin, vers 6 heures cette femme de 53 ans entend un bruit étrange. Elle se réveille en sursaut et remarque une main sous son volet roulant. Un homme le soulève pour passer sa tête, puis son corps dans la chambre. La propriétaire qui vit seule est tétanisée. L’intrus, un jeune de 20 ans, lui fait signe de se taire et la déshabille de force. Un premier viol, puis un second sont commis. L’agresseur ne parle pas un mot français mais la victime tente de le calmer. Elle a peur pour sa vie. Cette femme très courageuse le convainc de fumer une cigarette et de boire un café au rez-de-chaussée. L’inconnu accepte mais finit par la violer une troisième fois avant de partir en métro. 

    (…)

    Ouest-France via fdesouche

  • Les dépenses des candidats à la présidentielle

    Publié par Guy Jovelin le 20 juillet 2022

    Les dépenses des candidats à la présidentielle

    Les comptes de campagne des candidats à la présidentielle sont parus au Journal Officiel du 19 juillet.

    Sans surprise, le candidat du “quoi qu’il en coûte” a le plus dépensé avec près de 17 millions d’euros.

    La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques doit éplucher les comptes d’ici à la fin de l’année.

    • Valérie Pécresse a consacré 14,3 millions d’euros pour un seul tour de scrutin, mais sans atteindre la barre des 5 % de voix qui lui aurait permis d’obtenir le remboursement de ses frais de campagne.
    • Jean-Luc Mélenchon a déboursé 13,7 millions d’euros.
    • Marine Le Pen a investi 11,5 millions d’euros.
    • Eric Zemmour a déboursé près de 11 millions d’euros.
    • Anne Hidalgo, dont le parti avait anticipé un score inférieur à 5 %, n’a dépensé que 3,7 millions d’euros.
    • Yannick Jadot, également sous la barre des 5 %, a investi 5,2 millions d’euros.
    • Fabien Roussel a dépensé 4,02 millions d’euros.
    • Le candidat qui a le moins dépensé est Jean Lassalle, avec 813.060 euros.
    • Il est suivi de près par le NPA Philippe Poutou (819.686 euros),
    • Nicolas Dupont-Aignan (871.410)
    • Nathalie Arthaud (891.098 euros).

    Le plafond des dépenses était établi cette année à 16.851.000 euros pour les candidats présents au premier tour, et 22.509.000 euros pour les candidats qualifiés pour le second tour.

    Les remboursements s’élèveront au maximum à 800.423 euros pour les candidats n’ayant pas atteint la barre des 5 %, 8.004.225 euros pour les autres candidats présents au premier tour et 10.691.775 euros pour les candidats concourant au second tour.

     

    Source : lesalonbeige