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  • Angers : « On ne règlera pas le problème de l’insécurité tant qu’on ne traitera pas celui de l’immigration »

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2022

    FIGAROVOX/TRIBUNE – À Angers, trois jeunes ont été tués au couteau dans la nuit du 15 au 16 juillet. Pour le délégué de l’Institut pour la Justice Pierre-Marie Sève, cette nouvelle attaque illustre le lien entre immigration illégale et délinquance.

    Pierre-Marie Sève est délégué général de l’Institut pour la Justice (IPJ), une association de citoyens mobilisés au côté des victimes.

    À Angers, dans la nuit du 15 au 16 juillet, trois jeunes ont été tués au couteau. Après être intervenus pour défendre une jeune fille victime d’agression sexuelle, ces trois jeunes, dont un était mineur, ont été tués par un réfugié soudanais armé d’un couteau de boucher. La veille, un sans-abri était tué au couteau à Amiens, par deux Tunisiens en situation irrégulière. Encore quelques jours plus tôt, une Montpelliéraine de 46 ans était attaquée et blessée au couteau par un Érythréen, lui aussi en situation irrégulière. Il est difficile de ne pas voir un lien entre l’extranéité des auteurs de ces attaques et ce mode opératoire particulier de l’attaque au couteau. En effet, si ce lien n’est pas systématique, les étrangers, qui représentent moins de 10% de la population, sont clairement surreprésentés parmi les auteurs.

    L’attaque au couteau est, par ailleurs, très fortement liée au terrorisme islamique. L’État islamique en avait ainsi fait une de ses spécialités. À Noël dernier encore, un projet d’attentat au couteau avait par exemple été déjoué par les services de renseignement français. Autre exemple: en 2019, dans une tristement célèbre vidéo de propagande de l’État islamique vue des centaines de milliers de fois, un terroriste appelait à tuer les Français sur leur sol en ces mots : «Nul besoin d’un fusil d’assaut ou d’une arme de poing, une simple arme blanche suffit». Enfin, cette violence exacerbée avait atteint un sommet lors de l’assassinat de Samuel Paty, décapité au couteau. Alors que le gouvernement vient d’annoncer sa volonté d’expulser les délinquants étrangers, cette vague d’agressions au couteau est le symbole d’une dimension centrale de l’insécurité: son lien avec l’immigration. Il ne s’agit pas, bien sûr, d’essentialiser à mauvais escient: une large part de la violence en France n’a pas de lien avec l’immigration et se déroule en France, entre Français.

    Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal , la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée.

    Pierre-Marie Sève

    Mais beaucoup d’éléments tendent à rappeler que le problème de l’insécurité ne sera jamais réglé tant que son lien avec l’immigration ne sera pas traité. Comme le rappelle un rapport de l’Institut pour la Justice, ce sont d’abord les statistiques officielles du ministère de l’intérieur lui-même qui notent une surreprésentation des étrangers dans la délinquance et la criminalité. Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal, la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée. Les étrangers sont donc surreprésentés dans toutes les catégories de crimes et délits du Code pénal: des homicides aux crimes sexuels en passant par les vols de voitures ou les escroqueries. Cette surreprésentation, qui ne prend même pas en compte les personnes issues de l’immigration devenues françaises, se retrouve logiquement dans la proportion d’étrangers en prison. En octobre 2021, le ministère de la Justice dénombrait 24,5% d’étrangers dans les prisons françaises. Une autre surreprésentation. En allant plus loin, on peut penser que l’immigration, même devenue française, peut être génératrice de violence. La fameuse étude «Le déni des cultures» du sociologue Hugues Lagrange constatait, en 2013, que les adolescents éduqués dans les familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués dans des délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones.

    Le constat d’une surreprésentation de la violence parmi les immigrés est sans appel et pose bien des questions. Ajoutons enfin que ce phénomène de surreprésentation des étrangers parmi les délinquants n’est pas non plus une exception française. Par exemple, le Conseil national suédois pour la prévention de la délinquance a déjà rendu plusieurs rapports mettant en évidence un taux de criminalité plus fort parmi les étrangers que parmi les Suédois. Ou encore, toujours en Suède, l’université de Lund a récemment établi que 47% des personnes condamnées pour viol étaient nées à l’étranger. Au vu de tous ces éléments écrasants, le lien entre immigration et délinquance, s’il a longtemps été nié, ne fait aujourd’hui plus aucun doute. Ce constat est d’autant plus fâcheux qu’il existera également une différence fondamentale entre la criminalité d’origine autochtone et celle d’origine étrangère.

    Pour ce vaste sujet de l’immigration illégale, il faudra notamment commencer par rétablir le délit de séjour irrégulier sur le territoire.

    Pierre-Marie Sève

    (…) Le Figaro via fdesouche

  • La ville de Zurich (Suisse) va introduire des toilettes « non genrées » dans les écoles, les urinoirs seront supprimés

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2022

    Un tiers des toilettes des nouveaux bâtiments scolaires sera désormais ouvert à tous les élèves des écoles en ville de Zurich, sans différenciation de sexe. Tous les urinoirs seront par ailleurs supprimés au profit des WC avec cabine.

    Cette règle du tiers de toilettes non genrées s’applique dans une première phase aux nouveaux bâtiments. Dans les écoles déjà existantes, elle devra être mise en application “dans la mesure du possible”, selon un nouveau règlement intérieur consultable en ligne révélé lundi le Tages-Anzeiger.

    Ce règlement stipule que les WC non genrés sont destinés à tous les élèves. Il n’y a pas de chiffres sur le nombre d’enfants et d’adolescents intersexués ou transsexuels à Zurich. Mais la Ville estime qu’une personne sur 1000 est intersexuée et qu’entre trois et 30 sur 1000 sont transsexuelles.

    Plusieurs autres nouveautés

    La nouvelle ordonnance sur les locaux scolaires comporte d’autres nouveautés pour les WC. Ainsi, les urinoirs seront supprimés. Il n’y aura plus que des WC avec cabine

    […]

     

    RTS via fdesouche

  • Oise : de plus en plus souvent, les policiers sont confrontés à des “petits caïds” âgés de moins de 12 ans, que les trafiquants vont “recruter” dans les foyers

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2022

    De plus en plus souvent, les policiers de l’Oise sont confrontés à des “petits caïds” âgés de moins de 12 ans, que les trafiquants vont “recruter” dans les foyers.

    Le phénomène, particulièrement inquiétant, est en hausse. Dans l’Oise, les forces de l’ordre sont de plus en plus régulièrement confrontées à des « petits caïds » de moins de 12 ans que les trafiquants « recrutent » dans les foyers pour enfants, nous apprend Le Parisien, lundi 18 juillet. Ces jeunes se retrouvent impliqués dans des affaires de drogue ou mêlés à des règlements de comptes. Tous ont le même profil : ce sont des mineurs sans attache qui se laissent appâter par le gain facile. Face à ce fléau, les autorités manquent de solutions. 

    Ce phénomène, les policiers le connaissent bien. Des enfants hébergés dans des foyers du département deviennent les petites mains des réseaux de trafiquants de drogue. Dans l’Oise, plus de 1900 enfants sont placés dans l’un des vingt établissements habilités. Et si la plupart se tiennent tranquilles, d’autres se font aisément enrôler. « L’été dernier, ça n’a pas arrêté, et là, ça s’annonce plus dur », observe Marie-Céline Lawrysz, procureure de Compiègne, auprès du quotidien. « On les retrouve sur des points de deal. Ils commencent guetteurs, déplacent des poubelles plus grandes qu’eux pour faire des barrages », détaille ensuite la magistrate.

    Le 5 juillet, un jeune garçon a été arrêté par les forces de l’ordre avec, en sa possession, plus de quatre grammes de crack. Parce qu’il a moins de 13 ans, la loi juge qu’il n’a pas le discernement nécessaire pour être pénalement responsable. Les enfants de son âge « ont une retenue de douze heures maximum, puis, ils repartent », déplore un policier auprès de nos confrères. Avant de poursuivre : « Le dernier a dit qu’il avait trouvé la drogue par terre et pensait que c’était de la cocaïne. Ce qui, en soi, est étonnant venant d’un enfant ! Faute de preuves suffisantes […] il a eu un rappel à la loi. »

    Valeurs via fdesouche

  • Il y a trop de personnes blanches à la télévision française, se désole l’Arcom (ex-CSA), qui appelle à une meilleure “représentation de la société française” sur les écrans

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2022

    L’Arcom (ex-CSA) note que des personnes blanches et aisées apparaissent bien plus que celles issues de l’immigration et de catégories sociales moins fortunées.

    « La République est une et indivisible ; elle doit l’être aussi dans sa représentation sur les écrans. » Cet impératif, énoncé par Carole Bienaimé Besse, membre de l’Arcom (ex-CSA), fait office de chimère pour la télévision. En un peu plus d’une décennie, elle n’a que peu progressé et préfère toujours montrer à l’antenne des personnes blanches appartenant à des catégories sociales aisées et vivant dans des grandes villes plutôt que celles issues de l’immigration, de catégories sociales inférieures et vivant à la campagne, conclut le rapport annuel établi par le régulateur de l’audiovisuel. Celui-ci s’est appuyé sur 1 800 heures de programmes tous genres confondus visionnés sur dix-neuf chaînes de la télévision numérique terrestre en 2021. « On voit qu’il reste extrêmement difficile pour les éditeurs de représenter la société française », se désole Carole Bienaimé Besse, également productrice.

    En 2021, la situation a même empiré pour « les personnes perçues comme “non blanches” ». Leur taux de représentation est passé en un an de 16 % à 14 %, notamment en raison des chaînes d’information en continu, où le taux n’a pas dépassé les 10 %, à l’exception de BFM-TV (14 %). Non contentes d’avoir été sensiblement moins représentées dans les programmes d’information, les personnes de couleur y ont tenu en 2021, dans 43 % des cas, un rôle négatif, soit un bond de 11 points en un an.

    Une occasion manquée, observe l’Arcom, alors que l’actualité française, dominée l’an passé par des sujets grand public comme la stratégie vaccinale, constituait « un terrain propice à la juste représentation de la société française »« Dès qu’on baisse la garde, on voit bien que le naturel revient au galop », poursuit Carole Bienaimé Besse, qui évoque toutefois des progrès accomplis en matière de fiction. « Les rôles proposés sont moins stéréotypés dans les fictions et laissent la part belle aux rôles positifs et de héros. »

    (…) Le Monde via fdesouche

  • La Confédération helvétique dit préparer la fermeture de supermarchés cet hiver pour « économiser de l’énergie »

    Publié par Guy Jovelin le 19 juillet 2022

    Le plan du Forum économique mondial de Davos et de son gourou Klaus Schwab continue de se réaliser sous nos yeux sans soulever la réaction adaptée.

    En Suisse, RTS (radio-télévision suisse) signale que les autorités politiques de la Confédération helvétique envisagent très sérieusement de fermer certains supermarchés cet hiver pour « économiser de l’énergie ». Osons dire que, sur le principe, la fermeture de supermarchés est plutôt une nouvelle qui devrait nous réjouir si elle permettait que les  » consommateurs » bifurquent en conséquence vers les petits commerces.

    Mais il faut bien sûr voir ici une manœuvre de plus pour développer le climat anxiogène méthodiquement entretenu sur base d’une alternance entre les thèmes de Covid et autres virus et variants, de réchauffement climatique et de catastrophisme écologique, et bien sûr de guerre en Ukraine et de pénuries en tous domaines accompagnées de flambée des prix et d’inflation générale.

    Pour en revenir à la Confédération helvétique, ses dirigeants travaillent en concertation avec le patronat des chaînes de supermarchés. Le groupe Migros annonce réfléchir à fermer une filiale sur cinq, soit 130 magasins sur les 658 que compte le pays. Les naïfs diront que c’est la preuve que les grandes entreprises sont également impactées par cette étape du Great Reset. C’est oublier que cette annonce signifie que de nombreux Suisses vont se ruer sur les rayons de ces supermarchés tant qu’ils sont encore ouverts. Une telle annonce programmée bien à temps devrait permettre à la chaîne de supermarchés de doper ses ventes et d’augmenter ses bénéfices pour la plus grande joie de ses actionnaires.

    Et pour accentuer le climat de peur propice aux achats compulsifs, RTS affirme que si le réseau électrique devait être coupé, « des régions seraient tout simplement privées d’électricité, le téléphone serait coupé, y compris pour les services d’urgence, et les usines seraient à l’arrêt ».

    Le Great Reset est une affaire bien gérée qui ne laisse rien au hasard.

     

    Source : medias-presse.info